47% alc./vol.
Mashbill composé de malted et lightly roasted American Barley, ayant été distillé dans un alambic de type pot still que la distillerie utilise aégalement pour produire leur brandy. Le résultat est ensuite vieilli pendant une période variant entre 3 et 4 ans en ex-bourbon casks et ex-french wine casks, pour être finalement affinés dans des barils ayant préalablement servi à la maturation d’une liqueur de prunes.
André 78%
Au nez, ça sent le jeune spirit, sur l’alcool un peu brut. L’alcool de prunes est rapidement évident lui aussi, avec des variantes de fruits séchés, les cerises, zeste d’oranges et de sirop de poires également. Très singulier comme approche, je ne suis pas certain si j’aimes. La texture en bouche est très intéressante, bien sucrée. Cela m’évoque de la confiture de pommes, la purée de prunes, une pincée de cannelle, fruits tropicaux agrumes, citron. Quelques notes s’approchent aussi des saveurs que l’on retrouve dans le Sauternes cask. Finale sur l’alcool de fruits. En gros, on a plus affaire à quelque chose qui pourrait s’approcher d’un alcool de type artisanal sur les fruits. Pas mal funky comme amalgame. Le pire c’est que je suis certain qu’avec certains plats japonais, il y aurait des acords hallucinants à faire, mais neat comme ça en dégustation, pas vraiment… Unique, mais pas nécessairement pour le mieux.
Patrick 75%
J’admets avoir acheté ce whiskey car je trouvais l’étiquette plutôt cool. La gaffe, toi. Le parfum est infect, et la bouche, dégueulasse à la première gorgée, finie par être passable après quelques gorgées. Décevant. Ça va me prendre de l’imagination pour finir ma bouteille. Nez : De l’herbe mouillée, du jus de légumes pourris qui a coulé dans le fond du réfrigérateur à la job et qui est là depuis le début de la pandémie. Et une touche d’agrumes. Bouche : Toujours l’herbe et le jus de légume, mais aussi du bois, des prunes, des agrumes et des épices. Le tout porté par une texture huileuse. Finale : D’une longueur moyenne, boisée et épicée.
Martin 70%
Nez: Ok. Ok. Ouff. Floral, mais floral comme dans un Febreeze de salle de bain à la lavande. Gomme au savon. Herbe, eau de cologne et liquide à vaisselle. Je ne trouve littéralement aucune note plaisante dans ce nez. Bouche: Il y a une très belle texture en début de parcours, mais les saveurs bizarres, voire même désagréables, viennent pourrir l’expérience. Épices, savon, lavande artificielle. Un léger combo poivre-bois-cuir tente de nous rappeler que c’est un whisky, mais je ne suis pas interessé. Finale: Longue et épicée, la finale fait perdurer des saveurs qu’on veut justement oublier au plus sacrant. Équilibre: Vraiment une curiosité. Expérience ratée? Embouteillage bouchonné? Je ne sais pas, mais ce n’est définitivement pas une de mes recommandations.