42% alc./vol.
Distillée en 2004, affinage en Ex-Red Wine barrels du producteur Foreign Affair (acheté par Corby) situé à Niagara-On-The-Lake. Édition limitée de 2058 bouteilles.
André 89%
Bleuets et pelures de raisins mauves, prunes, confiture de pommes rouges, une touche de rye épicé en background, légère sensation tannique au nez, mais une rondeur attirante. La bouche offre une sensation gommante de caramel chauffé associé à une touche tannique. Mélange de prunes, raisins secs et pelures de pommes, rye à saveur de cannelle et de poivre, bleuets sauvages, cassonade, cerises noires, oranges. Finale de fruits séchés roulés dans la cassonade. Sérieusement dangereux ce whisky aux accents du terroir alcoolisé Ontarien. On en redemande.
Patrick 89%
Le meilleur de l’alcool Ontarien est ici réunit pour notre plus grand bonheur. Idéal pour l’amateur de whisky canadien, mais aussi pour l’ami fan de vins rouges intenses qui est curieux au sujet de votre passion sur le whisky. Nez: Un beau parfum vineux, plein de beaux fruits mûrs sucrés, avec une touche de vanille, de caramel, de maïs sirupeux et une délicieuse note épicée. Bouche : Toujours le chaleureux Cabernet Sauvignon en premier lieu, mais suivi ici de belles épices semblant de venir du seigle. Le tout complété par du caramel et du maïs farineux. La texture, plutôt épaisse, est assez agréable aussi. Finale : D’une belle longueur, fruitée, avec des notes boisées.
Martin 90%
Nez: Grappes de raisins, marmelade, touche de rye, explosion de vanille et de caramel. Le vin est bien sûr au garde-à-vous, avec chêne, maïs et fruits à peine trop mûrs. Bouche: Eau d’érable, vin chaud, caramel, maïs. D’une douceur déconcertante. À peine poivré, nous sommes passagers sur un joli voyage qui se termine avec chocolat noir, vanille et pincée de muscade. J’adore. Finale: Longue mais douce. La texture n’a pas restée hyper durable, mais le caractère unique des saveurs rachète cet insignifiant faux-pas. Équilibre: Solide whisky canadien, un nectar dangereux avec lequel il sera trop facile de perdre les pédales et de se réveiller le lendemain matin dans le bain.