46% alc./vol.
André 81%
Le travail des céréales, très unidirectionnel, sur les céréales avec un côté papier sablé du style que l’on retrouve dans certains whiskies Canadiens, agrémenté d’un p’tit côté estival à saveur de citron. La bouche manque de personnalité, offrant tout de même quelques variantes sur le grain d’orge, mais ne nous amenant pas sur des sentiers méconnus ou nouveaux. La finale est la suite logique et prévisible du nez et de la bouche mis à part un léger côté brûlé très fin. Le grain, le grain et le grain. Un single malt sans surprise et hautement prévisible.
RV 81%
Quand on parle d’un whisky qui tombe à plat. Ni rébarbatif avec ses effluves de coquille d’œuf et de malt trop simple, ni appétissant avec son petit nez de noisette. L’arrivée d’orge vanillée, de trèfle et de noix n’est vraiment pas si mal, mais… mais… hého… plus rien. Et dans la même veine, aucune finale mentionnable.
Patrick 80%
Malt et… c’est tout! Un des nez les plus fade que j’aie senti. En bouche, le jeune âge du whisky nous apparaît évident tellement les saveurs sont peu intenses. Mais peut être est-ce aussi à cause de la triple distillation qui, portant le distillat à un plus taux d’alcool, oblige à y ajouter beaucoup plus d’eau pour le ramener à 46%. Enfin, probablement un peu des 2… Bref, malt et un peu de fruits. La finale, plutôt sèche, semble s’évaporer rapidement, laissant une légère chaleur en bouche provenant de l’alcool, sans plus. À classer dans la catégorie « curiosité intéressante ».