Macallan Lumina

41.3% alc./vol.
Le Single Malt Macallan Lumina vient compléter la collection Quest de la distillerie. Une série de whiskies qui explorent les saveurs et les textures à travers le voyage et le mariage des bois du monde. Pour obtenir ce résultat, la distillerie Macallan a marié les essences de l’ancien et du nouveau monde à travers 15 000 kilomètres et trois types de fûts différents. Le processus de maturation a été réalisé à travers des fûts de chênes européens, de chênes américains assaisonnés de Xérès et des fûts de Hoghsheads (fûts reconstitués à partir de 25% de Bourbon et de chênes neufs).

André 76%
Sherry chocolaté des nouvelles éditions Macallan dans le style, sirop de poires, pelures de pomes rouges, vieilles cerises séchées éventées, touche de cannelle relevée de fruits rouges, bois de chêne toasted. La bouche est déséquilibrée, sur les notes de bois secs et beaucoup d’épices dont la cannelle et le gingembre, des flocons de poivre aussi. La force du whisky vient de décupler en quelques secondes pour un taux d’alcool si réservé. Fruits rouges (cerises, pommes, raisins) divers trempés dans le caramel chaud et le chocolat au lait, noix cuites au four. Je n’aime pas du tout la tournure de l’intensité générale du whisky en bouche. Aucune texture, le whisky est liquide, froid et anonyme. La finale est courte comme un orage avec de bons souvenirs épicés et des saveurs astringent es de bois séché. Un peu décourageant venant d’une si prestigieuse distillerie.

Patrick 80%
Plutôt décevant, je m’attendais à plus de profondeur et d’intensité de ce scotch. Sans être mauvais, ce n’est pas digne du nom Macallan. Nez: Les fruits mûrs typiques d’un bon Macallan, avec une touche de vanille et de caramel Écossais. Bouche : Le caramel écossais, le bois brûlé et épicé, et quelques fruits mûrs. Finale : D’une longueur moyenne, épicée et fruitée.

Martin 80%
Nez: L’épine dorsale du malt de Macallan est bien là, mais à l’image de ses expressions plus disons « paresseuses » (oui, Gold, c’est toi que je regarde), on dirait qu’une certaine maladresse s’installe. Morsure d’alcool abrupte, quelques fruits nappés de miel. Pommes vertes et herbe. Melon, vanille et caramel. Le fait de le laisser respirer m’apaise et me réconcilie un peu. Bouche: Menthe fraîche, caramel et melon. Bois et fruits des champs. Quelques épices. Le malt se perd un peu dans l’expérience. Assez jeune comme traitement, palette décousue. Non. Finale: Assez astringente et épicée sur les bords. Retour du bois vert et de la pomme. La texture, qui ne partait déjà pas d’une super position, est en déconfiture, de plus en plus insipide d’une seconde à l’autre. Équilibre: Au prix et à la rareté que sont les embouteillages de Macallan, on est en droit de s’attendre à de la bombe. Parfois oui, je le concède, mais de plus en plus souvent on essaie de nous en passer des p’tites vites. Malheureusement une autre « attrape » du marché duty-free.

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