58.4% alc./vol.
Distillé le 12 juillet 1991, embouteillé le 28 mars 2008, 618 bouteilles, fût #629. Rare single malt disponible uniquement à la distillerie ou au Whisky Exchange.
André 87%
Nez riche et costaud; fruits secs, résineux, miel, toffee et sherry puissant. Affirmé à l’arrivée, effet du fût de sherry bien présent, raisins secs encore une fois, retour sur la cire d’abeille, le miel et les fruits secs en toute finale. Pourrait ressembler à un mélange de Glenfarclas 105 et de Glendronach single cask…
RV 91%
Le corps, le cœur et les sentiments. Complètement. Le corps: Les céréales qui se poursuivent tout au long de l’expérience, mélangé au pain et à la muscade. Le cœur: Le sucre du sherry, définitivement plus à l’aise que celui de certains Glendronach par exemple. Les fruits rouges amènent aussi une dimension plus apprivoisable au sherry. Enfin, la chaleur indéniable de l’alcool, de l’arrivée en bouche à la finale, me fait prendre partie dans ce combat où les protagonistes sont loin de se ressembler, ou même d’aller dans le même sens, mais où le spectacle qu’ils donnent est amoureusement attirant.
Patrick 91%
Gâteau aux fruits, chêne et épices. Bref, parfum classique et intéressant. Très chaleureux, très vineux… Au point qu’on jurerait qu’on a ajouté une bouteille de xérès au fut juste avant de l’embouteiller. On y retrouve aussi une pierre à savon et un sel rappelant les anciens Bowmore 15 ans (les cylindres blancs…). La finale, plutôt longue, nous fait presque penser à un whisky maritime. Sa chaleur en fait un whisky parfait pour une soirée où rage une tempête de neige (comme ce soir!), assis au coin du feu, ma fiancée sur mes genoux.