40% alc./vol.
La distillerie (Glengoyne) est officiellement fondée en 1833 sous le nom de Burnfoot Distillery. Glengoyne reste la seule distillerie, avec Macallan, à utiliser l’orge « Golden Promises », de faible rendement, mais de meilleure qualité. L’approvisionnement en eau de la distillerie vient de la rivière Glengoyne qui coule de la colline Dumgoyne voisine dans les terres de la distillerie avant de se jeter dans le Loch Lomond. Contrairement à beaucoup d’autres distilleries, Glengoyne utilise l’air chaud pour sécher le malt au lieu de la fumée de tourbe. Le séchage de malt sans fumée de tourbe a cependant amené certains à situer le whisky de Glengoyne comme étant plus proche d’un whisky des Lowlands que des single malts des Highlands
André 81.5%
La puissance du malt et des céréales, enrobées de miel et d’amandes. Clairsemé en bouche; vanille et un peu de jus de citron. Très unidimensionnel en bouche, mais agréable. Miel et toffee en finale se jumelant aux céréales maltées. Est-ce que Glengoyne remplacerait Tomintoul en tant que « The Gentle Dram » ?
Patrick 82%
Céréales et sucre blanc au nez. En bouche, goûte les céréales avec une touche de miel… Cheerios au miel? Finale relativement courte et… Feuillue? Un bon whisky, sans faute, mais aussi sans grand relief.
RV 85.5%
Joue un peu trop retourné vers son ampli en côté de scène, mais de manière assurée en performant un beau solo. Grain à l’orange, un peu discret mais varié, vaut mieux brasser beaucoup le verre, ce qui ajoute un peu de de cerise et de miel. L’arrivee est lente mais franche, avec tour à tour le grain, le grain sucré, le sucre brûlé, pour se terminé sur le sucre. La finale est forte en bois et en tannins, avec un petit piquant léger comme certains armagnacs. Peu d’aftertaste, mais de bon gout, qui coiffe un whisky inoffensif mais appétissant.
Eli 82%
Charmant comme Highland. Un goût assez mielleux, mais sans longueur. Ça s’arrête assez brusquement même. Une belle vanille, en bonne dose, bien réelle. Des arômes qui ne jettent pas à terre, mais qui titillent les papilles autant que les narines. Je goûte un peu les Bran Flakes de Kellog’s. Une céréale fine, mais qui rend fait que la dégustation penche plus vers le levain.