40% alc./vol.
André 84.5%
Sorry, jamais je ne comprendrai l’attrait de diluer un whisky à 40% d’alcool mis à part l’aspect économique. Difficile d’avoir un rendu textural intéressant avec une dilution si prononcée et une filtration qui enlève une bonne partie des gras jouant sur la texture. On a beau avoir la plus belle palette de couleur, si la toile de support est à chier, ça sera difficile de rendre une œuvre remarquable. Le nez est structuré et attirant mais pas punché du tout; poires, oranges, melon au miel, agrumes, vanille. On a troqué le taux d’alcool pour un age statement et au final on récupère un peu sur le rendu en bouche qui est tout de même amoureux sans être passionné; agrumes, oranges, melon, vanille, cannelle. On peut même dire que la bouche offre même quelques attraits intéressants… Avec le temps, les notes de marmelade d’oranges et de tangerines juteuses émergent plus distinctement, raisins mauves, notes d’agrumes aussi. C’est frais et festif comme présentation. Finale de bonne force, fruitée avec générosité, agrumes, oranges et chicolat au lait. La surprise du lot…
Patrick 83%
Un whisky qui ne passera pas à l’histoire: À l’image de House Baratheon, their house now lays in ruins. Nez : Tomate verte, malt et bois sec (bâillement). Bouche : Orge, bois sec et une touche de fumée de tourbe subtile, mais tout de même surprenante. Finale : Courte, avec du bois et toujours la subtile note de tourbe.
Martin 83%
Nez: Un peu plat au niveau des arômes, du moins leur intensité. Melon, miel, fleurs, vanille, bois et poire. Bouche: Beau poids. Miel et épices, vanille et chêne, orge et malt grillé. On marque quelques points ici qui peuvent rehausser le nez. Finale: Pouet, pouet, pouet. Transparent, vaporeux, rien ne reste dans cette courte finale. Quelques épices, mais ça reste un doux highlander sans trop de personnalité. Équilibre: Encore cette obsession à rester à 40%… Je peux comprendre le côté pingre, mais à ce compte là, on l’oubliera aussi facilement que l’usurpateur Baratheon…