43% alc./vol.
Distillé en novembre 1991 et embouteillé en décembre 2010.
Andre 79%
Ok, rien à se tirer par terre… vanille, crème fouettée, sucre. en bouche, un peu plus fruité avec un kick de bonbon mentholé. Finale fondue et uniforme de vanille et de sucre.
RV 68%
Beefeater s’il faut: après ce whisky, n’importe quoi d’autre dans le bar. Au nez, Speyside anonyme, en bouche, Mr. Muffler version whisky. Finale franchement dégueulasse avec du miel passé date dans de la lavande moisie. Pourri au propre et au figuré, le petit côté magiquement vicié des mauvais Penderyn et tout ce que ça prend pour me pousser à me lever du sofa pour me servir n’importe quoi d’autres.
Patrick 67%
Parfum légèrement mentholé rappelant plus un gin cheap qu’un scotch. En bouche, on croirait faire affaire à un scotch fait dans un alambic ayant servi auparavant à faire du gin et qui aurait été mal nettoyé. Puis, nous arrivons à la finale, plutôt marquée par le purin. Eurk. Dans l’évier.