40% alc./vol.
Essentiellement vieillie en ex-fûts de bourbon. Son nom provient de sa situation géographique en plein coeur de la région de Speyside non loin de la ville d’Elgin.
André 73%
Vives notes de sac de la désherbeuse rempli d’herbe verte mouillée, pomme verte, les roues de la tondeuse nappées de boue terreuse, miel et crème fouettée. L’été a définitivement l’air de me manquer. Rectiligne et soporifique, mais ce n’est rien en comparé de la texture en bouche…Shit… De l’eau aromatisée à la vanille… flat, aucun amour, rien. Notes de poivre et de cannelle, d’orge maltée, la vanille diluée, les fleurs blanches, l’herbe et des notes de tourbe délicatement industrielles. Courte finale sur la vanille et les céréales séchées dans l’herbe mouillée. Une bonne amélioration sur l’édition précédente, c’est d’ailleurs une des rares éditions phares à s’être améliorée depuis le départ de Billy Walker.
Martin 79%
Nez: Oufff. Ça sent le vieux bas taché de gazon ça. un peu de pommes, de terre et de sucre pour tenter de sauver la mise. Sinon, pas beaucoup d’intensité ça c’est certain. Bouche: Texture plate, saveurs franches par contre de pommes vertes, de melon et de miel. Sucre à glacer, herbe et fleurs blanches. Finale: Courte et plate, sur des accents de vanille essoufflée, de bois humide et de sucre en poudre. Pommes encore une fois. Équilibre: Le nez m’avait vraiment écoeuré, mais le reste de la dégustation m’a offert quelques qualités rédemptrices. Mais de là à en acheter une bouteille, non merci!