43% alc./vol.
André 85%
Pleine intégration des 2 types de fûts, le bourbon et le sherry, le whisky en a tiré le meilleur des deux parties; pomme, vanille, caramel, fruits secs épicés… mais l’ensemble a beaucoup plus été influencé par le fût de bourbon. La texture crémeuse annoncée au nez est transposée en bouche en arrivée, beaucoup de miel et de vanille, les céréales Honeybomb au miel qui représentent tant la distillerie, avec une finale de bouche sur les fruits, les raisins secs et une bonne rasade d’épices. Sérieusement, je ne m’attendais pas à un whisky si influencé par le fût de bourbon, d’où ma déception. De plus pour le prix déboursé et après avoir goûté au 12 ans single cask…
Patrick 80%
OK, Balvenie est définitivement capable de beaucoup mieux. Je ne comprends pas pourquoi ils conservent un tel whisky dans leur line up. Probablement pour passer du whisky vieilli dans des fûts trop usés tout en faisant une passe de cash. Désolé, mais je m’attends à tellement plus d’un whisky de 17 ans venant d’une distillerie avec tant de bons artisans. Nez : Caramel et chocolat au lait. Le tout recouvre subtilement un peu de bois, des fruits mûrs et des oranges. Appétissant, le parfum d’un délicieux dessert. Bouche : Du bois légèrement brûlé, des oranges et, de façon plus subtile, du chocolat. Mouin. Le parfum était plus prometteur que ça. Finale : D’une longueur moyenne, marquée par des épices rappelant presqu’un rye whisky.
Martin 87%
Pas mal roux de sa demie sherry. Nez: D’une grande douceur, tellement que ça masque un peu les notes habituelles du fût de xérès. Doux raisins, dattes, pruneaux et pelure d’orange. Bouche: Doux sherry. Après tous les fruits du nez, un beau cuir prend la place qui lui est destinée. Finale: Épices et cuir. Chaude et longue comme les meilleurs fûts de xérès. Équilibre: Le plus doux des Balvenie à date. L’âge est un plus.