Jefferson’s Ocean – Voyage 17

45% alc./vol.
Batch 746 – Embouteillé exclusivement pour le Kensington Wine Market

André 80%
Mélange de caramel dilué à l’eau, de pommes caramel et de cannelle, cassonade, réglisse rouge, bois toasted, chocolat noir amer. Définitivement le style typique bourbon avec une touche discrète de sel. La texture déçoit, diluée et sans côté huileux amoureux et racoleur, les épices sont maintenant plus prononcées en bouche, mais l’arrière-bouche est drabe, astringent, presque poussiéreux, sans être franche, juste froide… les barres Turtles, pacanes, fruits secs, réglisse éventée et la pomme caramel. Finale à la fois salée et astringente. Débalancé et amalgame de saveurs discutables.

Patrick 92%
Un superbe whiskey, riche, savoureux et simplement trop bon. J’ai bu des bourbons à 100$ de la shot qui ne lui arrivaient pas à la cheville! D’ailleurs, je m’assure d’en avoir toujours une bouteille à la maison. Nez : Le parfum unique du Jefferson’s Ocean: du bourbon, avec son maïs sucré, son bois, une touche sucrée mais surtout une belle petite dose de sel de mer. Bouche : Du bois brûlé, du sel, du maïs, un peu de sucre chaleureux. L’ensemble, très chaleureux, est porté par une belle texture huileuse. Finale : D’une belle longueur, plutôt salée et donne le goût de s’en servir un autre verre.

Martin 89.5%
Nez: Riche bourbon classique, réglisse, fruits et maïs. Vanille, chêne et vent marin. On tient quelque chose je crois. Bouche: Juteux et sucré, vanille et bois, les épices sont un peu timides. Le maïs est définitivement au rendez-vous. Finale: Bien que l’alcool prenne l’arrière-plan pour la majorité de l’expérience, ici il refait surface, avec un curieux punch. Le chêne, la vanille et le maïs dominent la chaude et relevée finale. Équilibre: Une belle unicité, un bon dram, qui s’affirme, sans tomber dans le piège évident de la douceur à outrance.

Jefferson’s Reserve – Batch G-621

45.1% alc./vol.
Batch G-621, bottle 47. New Hampshire Exclusive.

Martin 86%
Nez: Quelques fruits rouges et un peu de cassonade nous mènent vers la planche de chêne qui supporte l’expérience. Maïs séché, foin, vanille et poussière arrondissent le portrait. Bouche: Gomme savon et petits coeurs à la cannelle. Pomme de tire et poivre blanc. Le tout bien encâdré par le bois brûlé. Bien savoureux. Finale: Chaude et épicée mais concise. Cannelle, bois et caramel. Touche de cire. Équilibre: Un bourbon quand même bien arrondi, rien pour tout à fait épater la galerie, mais toujours bien mieux que le bottom shelf régurgité par les clients de MGP qui ne veulent pas payer pour un assemblage de qualité.

Jefferson’s Reserve Groth Reserve Cask Finish

45.1% alc./vol.
Affiné en fût de chêne Français ayant préalablement servi au vieillissement de vin Cabarnet Sauvignon Groth de la vallée de Napa.

André 88.5%
Nez singulier, hyper challengeant. Douceur du blé, sucré du maïs, fruité du Carbarnet, épices du chêne… c’est la totale. Belle gamme de nuances de caramel, de toffee. La bouche elle aussi étonne aussi et nous amène dans des sentier méconnus. Texture vraiment moelleuse et douce, l’épine dorsale de Jefferson’s est bien là, puis les épices et les fruits rouges, les cerises, la sauce à fondue bourguignonne, le chêne, s’installent progressivement. Les saveurs les plus douces servent d’édredon aux épices du fût et du rye qui sont plus relevées. J’adore l’intégration du cask finish avec les saveurs moelleuses qui me rappellent le blé, surtout le fait que la cask finish ne masque pas trop les autres saveurs. Mélange de cannelle, gingembre, sucre, vanille et caramel-toffee avec une finale ou le rye et la cannelle sont plus puissants. J’adore le mélange de saveurs et la singularité de l’ensemble. Belle présentation, soucis du détails et présentation inusuelle. Bon voyage au pays des saveurs!

Patrick 79%
J’adore le cabernet sauvignon, mais on y a été un peu fort ici. Le vin camoufle en effet la complexité du whisky et en vient presque à nous lever le cœur par son intensité. Dommage, c’était prometteur comme concept. La prochaine batch sera peut être mieux? Faites-moi signe si c’est le cas! Nez : Pas de surprise, le nez est marqué par un vin chaleureux et épicé. Quelques clous de girofle, du chêne brûlé, de la vanille et une note de feuillue viennent compléter le tout. Bouche : L’arrivée en bouche nous fait presque penser à un brandy! Ensuite, les épices et le chêne brûlé nous rappellent qu’il s’agit tout de même d’un whisky américain. Finale : Longue et chaleureuse, marquée par les notes du vin.

Martin 89%
Nez: Vanille, maïs de Neuville sucré, vin rouge et ses tannins. Chêne, fruits rouges, caramel, raisins secs et épices. Un amalgame auquel on est plus ou moins habitués, mais un hyper nuancé et vraiment séduisant. Bouche: Cerises, fraises et framboises, épices, vanille, caramel, cannelle, maïs et bois carbonisé. Une bonne douche poivrée s’abat sur le tout. Finale: Caramel, seigle frais, crème, bois et épices pour nous faire un beau portrait. Les tannins du Cab-Sauv nous bouclent le tout. Équilibre: Un beau whiskey bien construit, le caractère parfois austère du bourbon adouci par le profil suave et affirmé à la fois du cépage de ce Groth. Je suis converti.

Jefferson’s Ridiculously Small Batch Wood Experiment – Batch #03

46% alc./vol.
Baril de 60 gallons American Oak with a low, deep impact toast profile.

André 86%
Nez beaucoup plus neutre que la batch #10, le caramel est plus feutré, plus rond aussi. Les notes de bois sont évidemment là mais passablement plus équilibrées. Si l’édition 10 aurait été sablé, ça aurait été avec du 80, celui-ci plus avec du 400. J’ai en tête les friandises ‘’turtles’’, avec du caramel et des pacanes, les fruits rouges lointains et de la réglisse éventée. Si le nez est docile, la bouche est plus relevée. Les fruits rouges ont beaucoup de caractère, mélange de miel et de caramel, du sirop d’érable peut-être, nougat, bois toasté. La finale est remplie de cannelle et d’épices des Caraibes, de poivre aussi avec un bon retour sur la réglisse.

Patrick 82%
Un beau whisky d’une belle intensité mais j’ai l’impression que, malgré qu’il s’agît d’une batch ridiculement petite, on a effectué la dilution du whisky trop rapidement. Nez : Un beau parfum où le sucre des céréales se mélange agréablement avec des notes de bois sec. Bouche : En bouche, j’y découvre de belles épices chaleureuses que je ne n’avais pas suspecté au nez. J’y retrouve aussi du bois brûlé, des biscuits et une touche de sucre brun. La texture en bouche laisse toutefois un peu à désirer. Finale: D’une belle longueur, boisée et légèrement sucrée.

Martin 86%
Nez: Maïs et cerise, léger caramel suivi de bois sec et brûlé.Quelques noix nous sortent un peu, mais agréablement, des sentiers classiques du bourbon. Bouche: Texture à peine cireuse, notes de poivre rose, de bois sec et de maïs. Cassonade et sirop de table arrondissent le tout sans étouffer les épices relevées. Quelques baies pour couronner le tout. Finale: Bien droite, bois, fruits, sucre brun, caramel et poivre. Équilibre: Le nez n’annonçait pas une poigne de cette trempe, bien que ça reste un dram de qualité fortement plaisante.

Jefferson’s Ridiculously Small Batch Wood Experiment – Batch #04

46% alc./vol.
Baril de whiskey standard – medium char – dans lequel on a inséré des cubes de chêne carbonisés afin d’infuser le whiskey.

Patrick 83%
Un bon whisky, mais que j’aurai oublié demain matin. Nez : Le parfum est ici un peu plus fruité que la batch 3, les céréales étant toujours présentes, et une touche de sucre brun. Bouche : L’arrivée en bouche me fait penser à un whisky canadien traditionnel, avec un mélange d’épices semblant venir du seigle et du chêne. Finale : Un peu courte, marquée par du bois sec.

Martin 85%
Nez: Le bois carbonisé paraît au nez mais n’est pas agressif. Beaucoup de notes secondaires de poivre noir, de fruits rouges, de caramel chauffé et de vanille. Bouche: Léger au départ, poivre et bois, maïs et caramel. Touche de vanille, de cannelle et de réglisse. Finale: Bien acérée et solide, sur de accents cireux. Le bois, le maïs et le poivre blanc dominent, mais je me serais attendu à un chêne beaucoup trop agressif, je suis agréablement surpris. Équilibre: Une belle expérience ici, sans être un bourbon stellaire, on a affaire à un dram plutôt estival.

Jefferson’s Ridiculously Small Batch Wood Experiment – Batch #06

46% alc./vol.
Baril de bourbon originaux – light medium char – dans lequel on a inséré des planchettes de chêne légèrement toasté afin d’infuser le whisky.

André 81%
Nez rempli de cannelle poivrée et de réglisse rouge. Les notes boisées ne sont pas trop loin aussi, celui-ci est gorgée de notes de caramel et de miel. La présentation est relativement simpliste niveau aromatique en dehors de l’épine dorsale habituelle des bourbons. En bouche, le trio habituel, cannelle, réglisse poivre et un apport du bois beaucoup plus ressenti. Bois sec qui apporte une astrigence à la bouche, et une rétro-olfaction de cannelle poivrée soutenue et de cerises noires. On a tout le même droit à une onctuosité moelleuse apportée par les grains de céréales de maïs. Finale un peu mince niveau pérennité, bois brûlé, cannelle et réglisse.

Patrick 84%
Un assez bon whisky dont je pourrais peut-être abuser… Bref, facile et agréable à boire. Nez: Les cerises sont ici un peu plus présentes, avec une touche de caramel et de biscuits. Bouche : Du bois brûlé et épicé, avec une petite touche sucrée. Finale: D’une longueur moyenne, boisée et légèrement sucrée.

Martin 80%
Nez: Mélange de poivres et de bois, entouré de fruits rouges et d’épices, plus particulièrement la cannelle. Un peu de cassonade, de chêne et de miel. Bouche: Cerise noire, poivre noir et bois carbonisé. Les épices et le bois brûlé dominent, nous faisant presque croire à un taux d’alcool supérieur. Finale: Se résorbe un peu trop rapidement, nous laissant avec des souvenirs de cerise, de cannelle, de caramel, mais surtout de bois et de poivre. Équilibre: J’aime croire à l’innovation et aux nouvelles façons de tenter d’impartir plus de saveurs à nos whiskys, mais ici on est un peu trop dans le brûlé.

Jefferson’s Ridiculously Small Batch Wood Experiment – Batch #10

46% alc./vol.
Baril de 60 gallons fabriqué à partir de chêne hybride – French & American oak – low deep impact toast profile.

André 82%
Épine dorsale du bourbon avec les saveurs de réglisse et de pomme caramel, de cerises, miel mais effectivement un bon apport de bois toasté, entre le mielleux et le caramélisé. Avec le temps, j’ai presque des notes de raisins mauves pressés. La bouche est sucrée, fortes notes de réglisse roulées autour d’éclisse de bois de chêne fortement brûlé, de Root Beer et de cannelle persitante, caramel. Texture très ronde, moelleuse avec une bonne rasade d’épices. Finale portée sur le bois, èa la fois caramélisé et carbonisé.

Patrick 85%
De la série, c’est le seul dont j’ai vraiment le goût de me servir un second verre! Nez : Un parfum de bourbon assez classique, avec une petite touche de cerises et de caramel. Bouche : Un whiskey savoureux, avec du beau bois sec et épicé, de la cassonade et de discrets fruits des champs. Finale : D’une longueur moyenne, sucrée avec de belles céréales.

Martin 87%
Nez: Les belles saveurs classiques caramélisées du bourbon, vanille, cerises, chêne sec et grillé, avec une touche de réglisse. Bouche: Cire, cerise, bois sec, vanille, poivre blanc. Le maïs en puissance, le miel et une impression beurrée. Excellent. Finale: Douce, longue, avec une texture cireuse et mielleuse. Belle pente descendante. Équilibre: J’adore souvent ces expériences du monde des bourbons. Le seul problème c’est la difficulté à s’en procurer ne serait-ce qu’un dram.

Jefferson’s Ridiculously Small Batch Wood Experiment – Batch #12

46% alc./vol.
Baril de bourbon originaux dans lequel on a inséré des planchettes de chêne toasté pendant tune longue période afin d’infuser le whisky.

André 84%
Simonac, influences du bois de chêne vous avez dit? Planchettes de bois, réglisse et cannelle, caramel chauffé, cerises. Bouche très ferme, fortes épices; Sherry Coke, réglisse, caramel, cannelle, raisins mauves. Côté cireux genre Crayola. Finale de bois de cerisiers et de bois brûlé carbonisé, grosse cannelle. Intense au carré.

Patrick 83%
Un bon whisky discret mais tout de même bien construit. Nez : Un parfum plutôt léger avec des céréales discrètes et sucrées. Bouche : Du whisky boisé, épicé avec une touche sucrée. Le goût est bien supérieur à ce que le nez laissait présager. Finale : D’une longueur moyenne, marquée par les céréales et un peu de bois.

Martin 88%
Nez: Caramel, maïs, vanille, poivre broyé, réglisse rouge, cerise, mais surtout le chêne. Bien construit! Bouche: Arrivée douce, bardée de sirop de table, de maïs, de fruits rouges et de poivre rose. Le tout bien sûr chapeauté par le chêne cramé. Finale: La réglisse et la gomme balloune prennent cette étape un peu plus de front, comparé aux saveurs secondaires ici de bois, de sucre brun et d’épices. On apprécie l’originalité du changement. Équilibre: Un beau voyage qui tente d’explorer les contrastes du bourbon. J’adore.

Jim Beam 12 ans Signature Craft

43% alc./vol.

André 85.5%
Vague déferlante d’orange avec soubresaut d’épices et de céréales de seigle, puis le toffee et la cannelle éventée. La bouche est épurée et un peu fade, la texture est soyeuse mais un peu trop molle même si l’apport des épices tente bien que mal de soulever la foule. Après ingestion, les épices et la cannelle montent en crescendo et forment un duo réussi avec les saveurs de fût brûlé. La sensation en bouche est soutenue et bien épicée, un peu poreux en finale de bouche. La longueur de la finale étonne mais les épices y sont pour beaucoup.

Patrick 90%
Un bourbon comme on l’aime. A 43% d’alcool, difficile de trouver mieux. Nez : Beau maïs sucré et fruité. Aussi une belle vague de chêne brûlé comme on l’aime dans notre bourbon. Définitivement un bourbon qui “sent le Kentucky”: Chaleureux, intense, frais et riche. Bouche : Belle arrivée chaleureuse, marquée par le chêne brûlé et quelques cerises. Le tout évolue vers le chêne frais et la cassonade et les épices à steak. Finale : Longue et épicée. 2e Tasting: 83%. Étant amateur des différents bourbons venant de cette distillerie, j’étais plutôt excité à l’annonce d’un Jim Beam de 12 ans. Je fus toutefois déçu en constatant que les comptables avaient eu le dessus dans le choix du taux d’alcool. Bref, du bon Jim Beam, mais un peu trop dilué. Si on visait le marché des afficionados de bourbon, c’est raté. Achetez plutôt un Knob Creek, presque aussi vieux, avec 7% plus d’alcool et surtout 30% moins cher! Nez: Le bourbon de Beam comme on l’aime mais plus riche. Chêne brûlé, épices, caramel et une touche de cerises. Bouche : Toujours le chêne brûlé, mais l’intensité de la cassonade m’a pris par surprise. Les épices finissent tout de même par dominer, avec une petite pointe de cerise. Finale : Relativement courte, mais chaleureuse.

Martin 86%
Semble plutôt pâle versus les bourbons typiques. Nez: Bonbons durs, maïs et vanille avec un petit aspect savonneux. Accents de noix grillées au miel et de caramel au beurre. Feuille de menthe poussiéreuse. Bouche: Doux avec miel et vanille. Le maïs et les épices s’éveillent peu après. Assez soyeux en bouche, avec une agréable impression de biscuits graham et de mangue fraiche. Finale: Assez courte en démontrant des pointes de cacao, d’épices et de zeste d’orange avec un retour des bonbons du nez. Équilibre: Un beau bourbon presque top shelf. De temps en temps, il est bon de laisser de côté les bourbons d’entrée de gamme et de sortir un peu plus d’oseille et de profiter d’un produit de qualité. 12 ans de vieillissement en plus!

Jim Beam Devil’s Cut

45% alc./vol.
Édition produite avec un procédé breveté pour retiré le liquide toujours contenu dans les planches du baril afin de l’embouteiller.

André 86%
L’approche épicée est vite remplacée par le bois sec, légèrement vinaigré, vague de céréales assaisonnées de cannelle et de sucre avec un retour sur les épices tapissé d’éclisses de bois. Je préfère le Jim Beam Black mais pour le prix il reste un bel embouteillage avec un p’tit twist particulier. Un ajout intéressant au portfolio de Jim Beam.

Patrick 78%
Pointe de cerise prenant de plus en plus de place à mesure que le whisky respire. Il reste toutefois un peu de place bonne une bonne dose de vanille et une petite pointe d’épices. En bouche les épices et le chêne brûlé reprennent la place qui leur revient. La finale s’étire d’ailleurs sur cette dernière note. J’aime le marketing de la bouteille, mais l’ensemble goûte finalement ce qu’il est finalement: le fond de chaudron. Nope.

Martin 88%
Ambre cuivré profond, tel une lunette vers l’enfer. Nez: Des épices assez fortes tentent d’occulter le tout, mais le reste du profil réussit à sortir avec une certaine finesse. Cerise, yaourt, chêne et punch aux fruits. Noix et caramel peaufinent le portrait. Bouche: Vanille de plein fouet, surenchérie d’abricots et de pêches, en-dessous de quoi on sent bien le maïs. On goûte à fond le bois sec et les épices du bourbon. Finale: Douce, pour son taux d’alcool, et longue. Couche par-dessus couche de maïs, de caramel épicé, de vanille et de café moulu. Équilibre: À des années-lumière de l’original. Je ne sais pas au juste quel « procédé » ils prennent pour extraire ce jus de planche, mais c’est bon en diable.

RV 87.5%
Vraiment pas mauvais. Bien défini mais aussi varié au nez, on sent un peu du Jim Beam standard avec une touche de chêne toute en nuances. En bouche, l’arrivée est douce, en étapes croissantes, avec le bois sans vanille, puis en bois caramélisé. Difficile à résumer, mais dangereux par sa drinkability sympathique.