58% alc./vol.
André 81%
Sirop d’érable, poudre de calcaire. Puissant en bouche, chocolat au piment, vanille avec l’effet bien présent du cask finish. Finale aux accents de bourbon, sucrée et épicée. Personnellement, je trouve le pourcentage d’alcool trop fort et sans valeur supplémentaire à l’ensemble.
Patrick 89%
Au nez, très marqué par le vin et l’orge. En bouche, un vin profond et intense. En fait, on dirait presque un brandy! Finale longue et riche. Un peu unidimensionnel, mais pour ceux qui aiment les wine finish, et les cask strength, parfait.
Martin 83%
Nez: Voile d’alcool, vanille, orge, miel, épices et vin. Un peu de craie. Bouche: Épices et vin, chêne et xérès. Feu roulant. Le taux d’alcool est n peu exagéré ici. Finale: Chaude et épicée, presque trop. Équilibre: Un bel essai, le wine finish n’est pas tout-à-fait raté, mais le degré d’alcool n’est malheureusement pas adapté à cet embouteillage. C’est rare que ça arrive, mais ici c’est trop fort.
RV 81%
Même le vin n’y peut rien dans ce produit anodin. Odeur de caramel et de poussière végétale, puis de caramel brûlé, en étant suffisamment patient une variété de saveurs font beaucoup évoluer le nez. Le même phénomène se répète en bouche, où l’alcool se fait sentir et pimente ce qui d’abord semble être soit un bon bourbon bon marché soit un whiskey de qualité mais ordinaire. La finale est de son côté emportée vers un single malt très ordinaire, concluant ainsi une autre édition qui n’ennuie pas mais étonne guère d’une distillerie qui semble se complaire dans cette stratégie.