Arran Machrie Moor Cask Strength

56.2% alc./vol.
Sur la côte ouest de l’île d’Arran se trouve une tourbière mystique et balayée par le vent appelée Machrie Moor. Des cercles de pierre et des pierres dressées de l’âge du bronze sont disséminés sur son terrain aride et vallonné. L’un des cercles de pierre est connu sous le nom de Fingal’s Cauldron Seat, où se trouve une pierre avec un trou sculpté. On dit que le légendaire guerrier géant Fingal aurait attaché son chien préféré Bran à cette pierre.

André 83%
Nez plutôt muet, la tourbe verte est effacée. Grosse vanille, fumée diffuse, fruits exotiques, terreau humide et laine de mouton mouillée. Texture huileuse cachant bien le jeu de l’alcool. Douce tourbe, anis et bois calciné, cendre froide, sel de mer, ananas, pommes vertes. C’est plutôt plat comparativement au souvenir que j’avais des éditions précédentes. Finale moyenne en longueur, très vanillé, finement tourbée et saline.

Patrick 88%
Un très bon whisky avec une intensité bien mesurée, et don’t la fumée de tourbe, d’une intensité bien mesurée, permet de saisir toute la complexité du dram. Nez : Sent la fumée de tourbe, le plastique brûlé et les oranges brûlées. Bouche : Des oranges sucrées, du chêne brûlé, des pommes vertes et une belle fumée de tourbe qui enveloppe bien le tout. Finale : D’une belle longueur, avec de la fumée de tourbe, des agrumes, une goutte de vanille et des pommes vertes.

Martin 82%
Nez: Sucre à glacer, s’mores, poivre, bois, fruits tropicaux et herbe verte. Bien plaisant quoique j’ai l’impression que cet embouteillage cache bien son jeu. Bouche: Sucre d’orge, poivre rose, céréales et chêne. Épices et fruits des champs, pommes rouges et mini-touche de tourbe et de cuir. Finale: Bien chaude et plutôt douce pour son degré d’alcool. Notes de pommes mijotées et de belles épices. Équilibre: Pas mauvais, mais je trouve que cette édition n’est pas à la hauteur par rapport aux anciens Machrie Moor.

Kim 82%
Nez : Chocolat au lait à la guimauve, réglisse rouge, une pointe d’anis étoilé fraichement moulu et étrangement des épinards poêlés. Bouche : Sur le grain à fond, mais la réglisse rouge est encore là. L’alcool s’impose par la suite et prend la place, ce qui est un peu dommage.

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