Glen Turner 12 ans

40% alc./vol.

RV 85%
Dommage qu’on ne connaisse pas sa provenance, car j’aimerais bien faire la découverte de ses sœurs. Poussière de cerise très mûre, dès l’ouverture il parait assez typé pour un single malt de provenance douteuse. Arrive très soporifiquement en bouche, heureusement le grain brûlé se révèle plus tard, avec un petit côté floral pas trop puissant. Avec sa belle finale très fruitée, il s’agit d’une agréable surprise tout en grain (blé et orge) à un prix plus que respectable.

Glen Turner 18 ans

40% alc./vol.

André 81%
Un single malt rince bouche, inoffensif et ordinaire. What you smell is what you get ! Épices et sucres caramélisés, grains d’orge bien sentis. Aucune différence en bouche qu’au nez. Finale sur le sucre brun et le caramel. Un single malt de type « fast forward », que l’on préfère consommer plutôt que savourer.

RV 82%
Adolescence turbulente et difficile. Orge malté, persil séché, son et dattes, un nez facile mais qui tombe justement un peu trop dans la facilité. L’arrivée en bouche est plus épicée même si le grain reste en contrôle au travers d’un mouvement aigre-doux qui ne livre malheureusement pas assez d’action. En finale, l’alcool est d’abord vinaigré, puis industriel (tapis neuf?), donc très difficile à sizer. Après le 12YO, une déception qui fait regretter le 6 ans de vieillissement supplémentaire et le fait d’avoir payer le double du prix.