Sons of Liberty Uprising

46% alc./vol.
Mash provenant d’une bière de type stout, avec du Dehusked Chocolate Malt, du Roasted Barley, du Malt Crystal 45, du Biscuit Malt et du Pale Malt. Le tout avec des levures de Classic American Ale. Vieilli plus de 18 mois.

André 79%
À l’image des meurtres camouflés, où le tueur crisse le feu dans la barraque pour cacher son crime… C’est un peu ça que on a ici. Un whisky qui aurait pu être bon, dont la jeunesse a été cahé sous une couverture de bois de chêne calciné. Beaucoup d’oranges et de cerises poivrée, cannelle, léger chocolaté puis de bonnes effluves d’alcool très jeune et de céréales séchées, graines de citrouille. La bouche est monopolisée par le bois de chêne brûlé, la texture est ronde mais l’ensemble des saveurs est très acéré. Très prononcé sur les notes de cannelle et grains de café torréfiés, poivre, oranges, fruits rouges divers. Finale poivrée, passablement de cannelle et de saveurs de bois calciné, un peu maladroit et brut comme présentation.

Patrick 89%
Un superbe whiskey original et délicieux. Une vraie récompense pour ceux qui osent sortir de leur zone de confort de dégustation! Nez : Un arôme évanescent de stout légèrement sucrée, du chocolat, des bananes, de la cerise et de la vanille. Bouche : C’est bon ça! Crémeux, avec du gâteau au chocolat, de la vanille, des cerises, du gingembre et une note de bois brûlé, voire de cendres. Finale : D’une belle longueur, avec une touche poivrée et des petits fruits rouges sucrés.

Martin 78%
Nez: Un peu de céréales et de chocolat, bien que le reste semble vouloir rester voilé. Vanille et pain aux bananes, bois et cannelle subtile. Bouche: Cerises, fraises et autres fruits des champs. Raisin et chêne, touche d’épices et de miel chaud. Marc de café avec une touche de chocolat. Finale: Poivrée, elle nous laisse principalement sur le café et le cacao, avec chêne et épices pour supporter. Pas méchant. Équilibre: Une drôle d’expérience qui n’est pas sans rappeler des trucs bizarres et innovateurs comme le Wiser’s Hopped. Pas pire, mais jamais au grand jamais je n’en achèterais pas une bouteille.

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