56.4% alc./vol.
« Tasty Farmhouse Cooking » – Distillé le 25 septembre 1997, 591 bouteilles
André 86%
Sherry plus discret que dans l’édition 3.237. On dirait aussi que le sherry a un peu tourné en barrique car il libère quelques saveurs de viande qui accrochent au nez. Oranges confites, toffee, sherry et un brin de fumée saline. En bouche, le whisky a un côté épicé ou d’herbes qu’on cultive pour assaisonner la nourriture. Outre les épices, le sherry est sec et un peu malhabile. Les oranges et une touche de fumée salée reviennent aussi en finale qui est moyennement longue, fruitée et sèche-épicée. Il y a un p’tit quelque chose qui accroche tout au long de la dégustation; j’accuse le fût de sherry. J’espère qu’il n’ira pas en appel.
Patrick 94%
Quand la SMWS et Bowmore s’unissent pour faire un whisky, le résultat ne peut être qu’excellent. Nez : Suave parfum de xérès et d’algues en train de sécher au bord de la mer. Exactement ce qu’on attend d’un excellent Bowmore. Bouche : Xérès, miel, nougat et chocolat, le tout baignant dans l’eau de mer et les algues. Quelques notes terreuses viennent compléter le tout. Finale : Longue, suave, sucrée, fruitée, terreuse et chaleureuse.
Martin 86%
Ambre doré alléchant. Nez: Légère vague d’alcool qui se dissipe rapidement pour faire place à un mélange d’orge herbeuse, de tourbe salée, d’orange et de caramel croquant. Le caractère de Bowmore se fait discret. Bouche: Orge et caramel, orange et épices, xérès et bois de chêne. Les épices et le feu du cask strength occultent malheureusement ici les éléments plus subtils de ce whisky. Finale: Sèche et moyennement longue, avec des notes de fumée maritime, d’agrumes, de xérès et d’épices. Assez grossier dans la livraison. Équilibre: Intéressant, mais le sherry est beaucoup trop à l’avant-plan, et le taux d’alcool nous le force un peu dans la gorge. Une grande déception tellement la subtilité habituelle de Bowmore est absente.