55.8% alc./vol.
“Candy floss in a fairground” – Distillé le 9 novembre 1989 et vieilli en ex-fûts de xérès, 617 bouteilles.
André 88.5%
Ha oui, ma sherry… Beau nez de fruits secs, pelures de raisins, noix, fumée de tourbe, d’épices. En bouche, texture huileuse, saveurs fruitées et encore les noix salées et la tourbe intense se pavanant dans des draps satinés de sherry un peu secs. Le chocolat noir devient plus apparent avec le temps et s’associe bien avec les saveurs de noix salées. Il y a une sensation de corde de bateau rêche en fond de bouche qui rend le whisky plus pointu que le nez le laissait supposer, je dirais même que cela ressemble même presque à des cendres froides. La finale est pointue, on aurait pu s’attendre à un effet arrondissant du sherry mais ce n’est pas le cas, même si les saveurs qui y sont associées sont bien là. Bouffée d’épices, fumée de tourbe et salé maritime. Un whisky qui ne se livre pas complètement, réservé et farouche.
Patrick 94%
Une autre démonstration de la qualité des embouteillages de la SMWS. Je n’en reviens tout simplement pas! Un autre whisky extraordinaire fait exactement mes goûts! Nez : Fruits sucrés, chocolat, noix, raisins et une pointe de fumée. Bouche : Sel, tourbe, fumée, vanille et fruits. Touche de chêne. Finale : Longue et salée, avec une pointe de fruits et de chêne.
Martin 93.5%
Un pâle Laphroaig digne de la teinte de son tube original ou bien de la tourbe qu’il contient. Nez: Médicaments, xérès, tourbe subtile, fruits doux et rouges, chocolat, nougat et noisettes. Bouche: Vanille et coco-noisettes. Malt grillé, noix grillées et chêne tout aussi grillé. Asphalte et goudron. Caramel brûlé. Exquis. Finale: Longue, épicée et tourbée, avec un retour des céréales. On surfe longuement sur des notes de chocolat, de caramel, de mûres et de noix. Équilibre: Épique. On comprend tout de suite la valeur d’un embouteillage de la SMWS et aussi pourquoi notre bien-aimé prince Charles a donné son mandat royal à Laphroaig.