55.8% alc./vol.
Vieilli dans des fûts ayant contenu du sherry.
André 89.5%
Fromage de chèvre. Cerises, fraises et réglisses rouges fraiches. Fruité à souhait au nez. L’arrivée en bouche est superbe et le sherry appuies à merveille le taux d’Alcool. La finale est puissante sans être imposante. Le Ben Nevis peut se vanter de pouvoir regarder de plus haut, bien des distilleries du Speyside. Avec ce single cask, la distillerie atteint de « nouveaux sommets » sans pour autant être un défi inaccessible aux amateurs en apprentissage.
RV 94.5%
Marmelade d’orange très sucrée mais surtout très sirupeuse: ce qui collerait dans le fond de la marmite d’une batch de confiture d’orange. Le chocolat est davantage brun que noir, plus sucré qu’amer, alors c’est l’alcool qui pique la langue de manière très brulante jusqu’à ce que le pamplemousse et l’orange prennent le dessus pour une finale admirable. Avec le 12 ans, Ben Nevis est vraiment à mon goût, et cette édition mérite définitivement une place dans mon top 10, tout prêt d’Aberlour. 175$? Pas assez chère. Un gros french collant avec la plus belle des brunes qui vient de manger de la tire d’érable.
Patrick 94%
Chocolat à l’orange très prononcé. Particulier : chocolat au lait plutôt que le chocolat noir que l’on retrouve habituellement dans les whiskys. Très sucré au goût, enveloppées de guimauve, les oranges prennent plus de place qu’elles partagent avec un pamplemousse sorti de nulle part. La finale me rappelle l’odeur d’un tabac aromatisé au chocolat. Délicieux, exquis, surprenant. La preuve que ce n’est pas à cause d’un problème de qualité si certaines distilleries sont moins connues.