45% alc./vol.
Reserve de Wild Turkey désormais hors marché.
André 82%
Rye poussiéreux. Le fruité est discret, comme atténué, mis entre parenthèse. Frais en bouche, un peu trop épars et diffus, cerises marasquin, miel et vanille, piquant de fraises et toujours ce twist poussiéreux. Finale à saveur de poivre et de muscade. Manque de consistance et de ligne directrice. Ensemble mal défini et décevant.
Patrick 84%
Un superbe bourbon pour ceux qui ont la dent sucrée et qui aiment la vanille. Trop sucré à mon goût, mais tout de même très bon. La bouteille devrait se vider assez vite! Nez : Très sucré, vanillé et fruité, marqué par les cerises, et une pointe subtile (vraiment subtile) de bois brûlé. Bouche : L’un des whiskys les plus vanillé que j’aie jamais goûté. Avec aussi des notes de cerise, de bois brûlé et ses épices caractéristiques. Intense, pas subtil pantoute (surtout pour un 10 ans!), mais vraiment intense. Finale : Longue et marquée par la cerise et le bois brûlé.
RV 88%
À cheval sur la ligne jaune, la route du bourbon appartient aux Russell l’espace d’un instant. Premier mot olfactif: équilibre. Deuxième mot: bourbon. On est dans le on-ne-peut-plus standard, mais quel standard! Bien que l’appellation suggère 51% de maïs, on croirait avoir à faire avec une recette tier-tier-tier où la vanille joue doucement avec le grain. L’arrivée continue en douceur mais grimpe et grimpe, alors que du miel se joint à la danse. La finale légèrement aigre est ensuite corrigée par l’aftertaste de retour à l’équilibre, presque parfait. Le genre à prendre lorsque le confort prime sur l’originalité.