45% alc./vol.
André 78%
Brown sugar, fond de rye très discret, nez souple et dilué. Cannelle et clou de girofle, fruits secs. En bouche, le whisky est fortement dilué et la texture en souffre énormément. Vu le 45% d’alcool, je m’attendais à un whisky à une plus forte personnalité et des saveurs soutenues sans en amputer la souplesse générale. Encore une fois le caramel n’est pas subtil, la cassonade cache certaines subtiles saveurs. Fruits rouges, caramel et cassonade, une touche de chêne et une finale qui s’étire sur quelques épices presque muettes. J’avais bien aimé leurs autres whiskys, surtout le rye mais cette édition est un retour en arrière à tous les niveaux ; texture, saveur et équilibre. On retourne à la planche à dessin…
Martin 81.5%
Brun-rosé cachant une certaine iridescence. Nez: Caramel chauffé et cassonade bien attendus d’un Canadian Whisky. Le seigle est présent, mais en proportion très minime. Un second nez le révèle un peu plus. Raisins secs et autres fruits séchés. Bouche: Fortement sucré, les mêmes saveurs détectées au nez reviennent à la charge, malheureusement sans grande subtilité. Finale: Une fois le whisky en bouche, une planche de chêne gorgée de rye nous donne espoir pour une finale spectaculaire, mais hélas le tout s’effondre un peu dans un amas de solvant et d’épices diffuses. Équilibre: Comme le dit André, les attentes étaient élevées. Pas infect, mais comme certains disent, expected more…