49.3% alc./vol.
Embouteillé en 2012, bouteille 31 de 155.
André 92%
Des flocons de tourbe qui fondent simplement sur la langue, finement assaisonnés de sel de mer et de chocolat noir fourré à l’orange et une légère acidité d’agrume. Avec le temps, la vanille crémeuse, le sorbet à la glace de vanille et une tourbe maritime fort distinguée assaisonnée de sel de mer émergeant en lent crescendo. Nectarines, chocolat noir, caramel fleur de sel. Finale longue malgré la douceur du whisky dans son ensemble et le taux d’alcool vraiment réservé. Personnellement, je m’attendais au jeu de l’alcool avec plus de prestance. Mes attentes étaient élevées et la notion historique aidant, n’en demeure que l’expérience est inoubliable tout en mettant en contexte que c’est fort probablement un des derniers embouteillages encore ‘’achetable’’ de la distillerie que nous verrons sur le marché.
Patrick 93%
Port Ellen. L’émotion m’a étreint dès que j’ai ouvert le bouchon : Je venais de faire disparaître une autre portion de la glorieuse histoire liquide de cette distillerie. Nez : Tourbe, cendre et goudron. Notes maritimes marquées par les algues. Pointe boisée. Boule d’émotion dans la gorge. Bouche : Puissant sel, tourbe, algues, cendres et bois carbonisé. Puis, on détecte le cuir, le mocha et le chocolat noir. L’alcool assez doux. J’ai pourtant les larmes aux yeux! Finale : Longue et savoureuse, dominée par des effluves rappelant un feu de camp sur le bord de la mer.