Laphroaig Cairdeas 2010 Master Edition

57.3% alc./vol.
Les embouteillages spéciaux Càirdeas sont spécialement mis sur le marché pour le Fèis Ìle Festival d’Islay et pour les Friends of Laphroaig. Cairdeas signifie « amitié » en Gaélique. Cette édition est un vatted de Laphroaig âgés entre 11 et 19 ans, en édition spéciale du Fèis Ìle 2010 limitée à 5000 bouteilles.

André 90.5%
Notes (sans surprises) maritimes et « Islayesques » de tourbes, cendre, de fumée… arrondies par le citron, le miel et les bananes salées. Le haut pourcentage d’alcool ne se sent vraiment pas et offre une belle surprise – très sournoise d’ailleurs – où il est étonnant de sentir ces mêmes arômes s’élever du verre sans qu’elles ne soient anesthésiées par l’alcool. Ce qui permet aussi, d’étirer la finale longuement en se berçant de satisfaction.

Patrick 92%
Nez : Tourbe sale intense de Laphroaig, marquée par la cendre, les herbes, le poivre et les épices. Bouche : Tourbe intense, poivre, air marin et planches de chêne. Finale : Extrêmement longue, fumée et intense. Touche de fruits. Balance : Laphroaig à son meilleur, complexe et intense.

Martin 93%
Nez: Dès les premiers instants, on est accueilli par un bouquet de fumée, de tourbe et de sel. On ferme les yeux et on se retrouve sur Islay. Bouche: Une complexité exceptionnelle. Les saveurs de la tourbe et de la fumée sont équilibrées par une douceur subtile, qui rappelle les agrumes et la vanille. Le tout est enveloppé dans une texture veloutée qui rend ce whisky incroyablement facile à boire malgré son degré d’alcool. Finale: Superbement longue, chaude et épicée. La tourbe est ultra-puissante et douce à la fois. Équilibre: Un dram exceptionnel, chaque gorgée est une expérience unique et inoubliable. Un autre grand disparu.

RV 90%
Laphroaig après une manucure, pédicure et un revamp partiel; toujours sexy, mais différente. Au nez, elle est assez douce et distinguée – pour une Laphroaig – avec de la tourbe cendrée mais aussi des épices sèches. En bouche, transitionne vers du poivre, des agrumes cendreux et une finale un peu boisée. Exit le côté médicamenteux, l’infirmière sympathique s’est transformée en femme d’affaires accomplie, et c’est une nouvelle profession qu’elle exerce admirablement bien.

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