48.4% alc./vol.
André 95.5%
Notes médicinales et tropicales, agrumes, citron, vanille pulpeuse, tranches d’ananas tout juste coupées, les pommes poires, notes de bitume chaud, léger poisonneux, pansements gorgés d’antiseptique. La bouche est grasse et huileuse, sensation grisante, hyper texturée, c’est comme être touché par l’esprit saint, c’est presque mystique comme sensation. Super équilibre entre la tourbe d’une douceur surprenante d’où émergent les saveurs de fruits tropicaux détectés au nez (ananas, poires, citron) et les petits feux d’artifices de la tourbe presque pétillante, trame maritime sans ambiguïté, ainsi que des petits flocons de tourbe qui fondent littéralement sur la langue. La finale est douce mais les notes phénoliques gonflent littéralement en intensité et se fanent lentement partout en bouche en s’accompagnant d’étincelles de gingembre, de sel de mer et de vagues de vanille et de miel.
Patrick 94%
Il est toujours étonnant de plonger son nez dans un si vieux Laphroaig et de constater à quel point la tourbe s’est adoucie. Oui, c’est bien notre Laphroaig, mais simplement plus mature : Sa force est toujours là, mais il a appris à la contrôler au lieu de la laisser exploser. Nez : Notes de vanille, poivre et tourbe dont la puissance est contenue. Bouche : Belle fumée d’intensité moyenne, avec des notes épicées et poivrées, le tout évoluant sur une pointe vanillée. Finale : Très longue et intense, fumée et épicée.