52.8% alc./vol.
Maturation initiale en American Oak casks et affinage en Tawny Port Casks. Édition limitée de 15000 bouteilles.
André 86%
Fruits rouges séchés mais présentés de façon beaucoup plus léchée que dans les éditions sherry cask, sensation soyeuse, cerises-fraises-framboises, raisins secs, tourbe plutôt effacée, bois de chêne brûlé et poivre broyé. La texture en bouche est plus pointue que l’annonce du nez. Aspect licoreux relevé par la fumée de tourbe terreuse beaucoup plus importante. Fruits rouges séchés, cerises, raisins, prunes, caramel salé, cannelle, sel de mer, poivre, terre remplie de peat moss, plus épicé en finale de touche et avec une impression de fumée très intense remplie de poivre de cayenne et d’anis. Longue finale sur la tourbe épicée. Dans les meilleurs GS à date, avec une note de 86%, faut le faire…
Patrick 89%
Très très bien… Ça serait même excellent si ce n’était de la sensation de brûlure qui persiste longuement en bouche. Nez : Sucré, fruité et présentant du malt grillé et du caramel, le parfum présente juste assez d’originalité pour capter mon attention. Bouche : Une délicieuse présentation de fumée de tourbe poivrée et fruitée, complétée avec du caramel salé. Le tout porté par une belle texture huileuse. Finale : D’une belle longueur, fumée, chaleureuse et épicée. L’alcool fait toutefois ici un retour en force un peu trop remarqué, ce qui fait perdre à l’ensemble un précieux point juste avant la ligne d’arrivée.
Martin 89.5%
Nez: Doux et suave, on veut en découvrir plus. Malt grillé, fraises et framboises, infime tourbe sèche, bois, toffee et touche de cinq poivres. Bouche: Texture crémeuse, onctueuse et huileuse, j’adore. Caramel salé, chêne et vanille. La tourbe se présente ici comme plus maritime et arrondie. Finale: Longue et chaude, sur des accents de tourbe salée, de vanille, de confiture de fruits et de chêne carbonisé. Les quelques tannins de ce dernier nous offrent une belle dose d’espresso. Équilibre: On a visé dans le mille ici. Le fût de porto a bien payé. Ils ont peut être annulé le festival des malts de Campbeltown l’an dernier, mais on a au moins eu l’embouteillage, un sacré embouteillage, alors je mets quiconque au défi de se plaindre.