46% alc./vol.
André 87%
Fruits, tourbe et nez très envoûtant d’agrumes et de citrons. Bouche encore plus citronnée, liquide et claire, mais soutenue par l’alcool, et toujours cette tourbe et cette suie de charbon et de sel qui s’étirent dans des notes d’agrume. Finale décevante, axée principalement sur cette fumée de tourbe, mais la rétro-olfaction est vraiment intéressante.
RV 88.5%
Toujours sur Islay, on se croirait dans une vallée inconnue des distillateurs. S’agit-il réellement d’un Bowmore? Au nez, c’est une tourbe sans sel surplombée par une fumée de cèdre étrange. Cependant en bouche, on aperçoit au loin les pagodes de Bowmore, avec une finale non sans rappeler l’ancien Darkest d’où un peu de fumée s’échapperait de la pierre polie. Un peu blasé des Bowmore traditionnel? L’aftertaste de sel mais aussi de chêne confirme de manière convaincante ce choix.
Patrick 85%
Nez marqué par la tourbe les herbes et une touche d’agrumes. En bouche, la texture est très huileuse, et le goût fumé et tourbé. En fait, on dirait un l’odeur se dégageant d’un feu de camp le lendemain matin… La finale, fumée, est plutôt courte. Un très bon scotch, mais manque d’intensité au niveau de la finale, ce qui fait perdre plusieurs points.