Dewar’s White Label

40% alc./vol.
Blended créé voilà près de 100 ans, comprenant plus de 40 whiskies différents dont le cœur du mélange provient de la distillerie Aberfeldy. Tout commence en 1846, quand John Dewar, crée sa propre affaire de whisky à Perth, dans la partie sud des Highlands. Ce sont ses fils John, Alexander et Tommy Dewar qui créent la Distillerie Aberfeldy, toujours à l’origine du single malt présent dans chaque blend Dewar. Aujourd’hui, la marque occupe une place légitime au sein des grandes marques internationales.

André 78%
Herbe et céréales séchées nappées de miel, poires, chair de pommes, belle vanille onctueuse. Rien qui casse la barraque mais rien qui est désagréable. On se la joue sûr. Première impression en bouche, la fumée de tourbe et le bois brûlé, fumée plus discrète mais le brûlé plus évident. Le mélange de miel et de vanile arrondit beaucoup mais le whisky demeure un peu sec en bouche. Les mêmes saveurs humées présédemment se développement lentement au nez. Le whisky inspire la quiétude et le calme général. Douce finale de miel et de vanille fumés, céréales et poires caramélisées, toffee.

Patrick 78%
Je suppose qu’après avoir goûté au 12 ans de la même marque, mes attentes étaient peut-être trop élevées. Enfin, faut pas s’attendre ici à autre chose qu’un jeune blend bas de gamme. Nez : Un beau parfum de céréales et de fleurs, avec des volutes d’alcool pas très subtiles. Bouche : Le sucre de l’orge, de l’alcool de grain plus ou moins dissimulé et du bois brûlé sans grande finesse. Finale : D’une longueur moyenne, marquée par l’alcool et le bois brûlé et globalement pas très agréable.

Martin 83%
Au niveau de l’apparence, on s’éloigne un petit peu de la tire-éponge pour se diriger vers la marmelade. Nez: Un léger malt fumé nous accueille, pour poursuivre sa route sur vanille et caramel. On sent à l’horizon un petit accord de pommes et de vernis à ongles. Bouche: Peu présent en bouche, se concentre plus sur le caramel et la vanille. Un peu de gruau aux pommes tente de briller, mais son manque de poids allié à une vague d’alcool nous fait rapidement déchanter. Finale: À peine de caoutchouc, de fumée amère et d’épices. Décevant quant à sa durée. Équilibre: Façile d’approche, et pour le prix, ça a bien de l’allure. Encore une autre raison de se débarasser de son JW Red.

RV 84%
Loin d’être une étiquette blanche. Pour une bouteille d’apparence aussi ennuyante, à l’ouverture par un bonbon au caramel, elle insiste pour se démarquer du blend générique. Après un discours de caramel aux papilles, elle termine sa tournée électorale en gorge, avec un beau toffee brûlé. Le meilleur Dewar’s jusqu’a maintenant, et ce n’est pas parce que c’est le premier.

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