57.2% alc./vol.
RV 87.5%
Et moi qui pensait que la guimauve était faite à partir de sucre. Le nez au-dessus du verre, le sherry puis la guimauve très sucrée donnent l’impression qu’on a pas à faire avec un single grain mais plutôt un single malt dans la trempe des Michel Couvreur ou des Aberlour. En bouche, bien que dans la poêle les résultats seraient désastreux, la guimauve se retrouve étrangement caramélisée. C’est plus tard, en finale et spécialement en aftertaste, où le grain qui descend lentement la gorge se fait bien sentir. Étoffé, bizarrement conçu mais bien gouteux, servi parmi ses confrères single grain il sortirait peut-être un peu malhabilement du lot mais parmi les single malts, il serait sûrement très bien accueilli.