Still Waters Stalk & Barrel Single Malt Whisky Cask #12

63.2% alc./vol.

André 86%
Beaucoup de notes de céréales au miel, de vanille, nappé de salade de fruits et de pêches, de raisins verts. Aucunes traces de l’alcool et a plus de 63%, je m’attendais à une vague déferlante alcoolisée au nez, mais il se reprendra en bouche. En arrivée, la bouche offre une douce approche fruitée, les raisins verts, rien de brut ou d’austère, juste des saveurs fraiches. Jus de salade de fruits Del Monte, citrus et le retour des saveurs organiques qui ressemblent au Virgin Oak. Finale avec une belle texture en bouche, un peu sèche et brève, chocolat blanc.

Patrick 88%
Nez : Le nez, d’une belle intensité, me fait penser aux céréales « Honey Bunches of Oats », avec une planche de chêne qui tremperait dans le bol. Bouche : Fruits verts, chêne et agrumes, le tout avec une bonne dose de sucre rappelant un jeune rhum agricole. Balance : Un whisky vraiment agréable, dont on ne sent presque pas le fort taux d’alcool. Espérons qu’ils ont pris la recette en note!

Martin 85%
Un bon cran de richesse de plus au niveau de sa couleur que ses homologues plus dilués, mais on reste tout de même dans le jaune soleil. Nez: Une belle poignée de noix et de céréales nappées de miel dans un bol en bois. Quelques morceaux de poire et de cannelle se retrouvent dans la mixture. Aucune trace de son violent taux d’alcool. Bouche: Poire, miel et épices nous introduisent maintenant au dit solide taux d’alcool. Une vraie montagne russe de cannelle, de caramel salé et d’agrumes. Finale: On ralentit doucement la cadence en finale pour apprécier ses touches de chêne, de nougat et de pêche. Assez sèche, merci. Équilibre: Sans vouloir trop me plaindre, tous les Stalk & Barrel devraient rester cask strength, du moins avant d’atteindre un certain âge.

Crown Royal Black

45% alc./vol.
Le Crown Royal Black vieilli dans des tonneaux de chêne desséchés et son assemblage se fait à une teneur supérieure de 45% au lieu de l’habituel 40%.

André 86.5%
Nez prononcé à la Jack Daniel’s Single Barrel, sucres caramélisés et céréales Sugar Crisp. Moelleux et très collant en bouche, axée sur les divers éléments sucrés soutenus par une bonne présence d’alcool qui se sent par ailleurs plus en bouche qu’au nez. Finale plus rêche, cannelle et pain d’épice avec un léger feeling de savon à vaisselle en poudre en toute finale.

Patrick 93%
Je n’ai jamais senti un nez aussi intense dans un whisky canadien! Le chêne brûlé nous donne l’impression que c’est notre maison qui vient de passer au feu! Les céréales ne donnent pas leur place non plus, alors que le soupçon de fruits qui parvient à s’échapper du verre nous surprend agréablement. En bouche, le chêne brûlé partage l’avant scène avec le caramel, qui se font toutefois brasser la cage par un fruit sucré typiquement canadien! La finale offre une belle longueur et une belle richesse. Globalement, ce whisky offre une complexité et un équilibre rarement rencontrée chez un whisky canadien. Définitivement LE whisky canadien que j’ai eu le plus de plaisir à boire, boire et boire! En fait, son prix très raisonnable et son goût facile d’approche mais offrant tout de même une belle profondeur, en font un whisky de tous les jours qui saura satisfaire le connaisseur. En fait, pourquoi une si bonne note? Parce que ça fait longtemps que je n’ai pas eu autant de plaisir à boire un whisky sans prétentions! Je vais m’assurer d’en avoir toujours une bouteille, même si comme TOUJOURS, la SAQ boude un excellent produit canadien bon marché.

Martin 88%
Rouge aussi profond que le meilleur des fûts de xérès espagnols. Il y a juste une chose qui ne cadre pas, c’est un whisky canadien. Nez: Un solide départ qui évoque Forty Creek par moments. Vanille, maïs, seigle et poivre nous leurrent sur la curieuse piste que nous pourrions avoir affaire à un bourbon, mais la couronne finit par nous rappeler à l’ordre avec de la cerise noire et du bon vieux sirop d’érable canadien. Bouche: Poivre, seigle, orange, cassonade, cerise et noix. Le bourbon disparaît ici pour laisser briller l’âme d’un authentique Crown Royal. Finale: Encore seigle, poivre et orange, mais cette fois sur une trame de pamplemousse. Équilibre: Le bad boy de Crown Royal. Le dram que boit la reine quand elle est en tabarnac.

RV 86.5%
Un beau tour dans une belle Cadillac, mais sans courbe pas moyen de tester les vrais capacités de la machine. Avec un nez assez ordinaire canadien, l’ouverture est passable avec le cuir de Canadian Club, sans profondeur. Au goût, le bois se déclare, mais c’est vraiment en finale que le caramel, la vanille et le chêne sortent pour laisser une profonde empreinte en gorge. Un bon whisky, qui gagnerait peut-être encore plus à sortir davantage des sentiers battus.

Still Waters Stalk & Barrel Single Malt Whisky Cask #10

46% alc./vol.

André 84%
Nez très doux, les poires, la vanille sucrée, crémeux et agréable, agrumes. En bouche, les mêmes saveurs organiques citronnées retrouvées dans le cask 4, plus relevé que le nez le laissait supposer. Les effets du fûts sont très perceptibles. Finale encore plus forte en saveurs, le taux d’alcool semble s’être décuplé, kick de poires poivrées et épicées, sèche et persistante. Un whisky tout en crescendo mais dont l’éventail de saveurs est un peu trop limité, ce qui me déçoit.

Patrick 80%
Nez : Herbe verte, chêne fraichement coupé et poires vertes. Bouche : Agréables notes de céréales évoluant rapidement vers des notes de citron et d’agrumes en général. L’alcool semble plus fort que le taux indiqué sur la bouteille. Finale : Longue et poussiéreuse. Balance : Un bon whisky, mais pas dans mes goûts.

Martin 83.5%
On peine à faire une différence visuelle avec le cask #4. Nez: Un hybride vanille-mélasse plutôt prononcé nous assaille. La céréale et le bois humide vont bon train, main dans la main avec herbe et citron. Pommes et poires. Prometteur. Bouche: Miel, mélasse et vanille. Herbe, citron et poivre. Les saveurs sont beaucoup plus vibrantes et affirmées. Peu de variété mais ses quelques facettes offrent un remarquable contraste. Finale: Moyenne et fade sur des accents d’herbe, de poussière et de bois. Certaines saveurs durent plus en bouche que les autres, mais ce ne sont pas nécessairement celles qu’on voudrait. Équilibre: Somme toute une belle amélioration par rapport au cask #4, navré de comparer encore, c’est de même! On lâche pas, on est sur une pente montante!

Still Waters Stalk & Barrel Single Malt Whisky Cask #04

46% alc./vol.
3 ans d’âge, 294 bouteilles exclusives au marché de l’Alberta.

André 83%
Grains de céréales, vanille et miel, boisé du fût, aves fruits et poires. Petit côté organique avec accents citronnés. La bouche est poivrée et soutenue, sucrée en avant-plan, avec ces mêmes saveurs de céréales au toffee et au miel. Je lui trouve des ressemblances avec certains embouteillages en Virgin oak. Le poivre sortira gagnant en finale de bouche, affinant l’effet de l’alcool. Je lui ai trouvé quelques accents d’herbe verte et de menthol en toute finale de bouche. Dans l’ensemble, un bon whisky mais qui, personnellement, manque de “wow factor”.

Patrick 76%
Nez : Léger parfum de céréales, de notes citronnés, notes quasi-agressives de métal et miel brut. Bouche : Citron, herbe verte et métal. Finale : Menthol, poivre. Balance : Pas leur meilleur.

Martin 79%
Chardonnay pâle, teinte de fût de bourbon et de citron. Nez: Vanille très fruitée, miel très riche, avec quelques notes de céréales flottant autour de belles touches de chêne humide et citronné. Un peu de réglisse rouge se démarque au fond du verre. Bouche: On commence sur un tango de poivre et citron pour passer agréablement aux Cheerios au miel et aux noix nappés de sauce caramel. Le rêve s’écroule rapidement par contre quand une sorte de menthe poivrée vient maladroitement souiller cette harmonie. Finale: La menthe poivrée casseuse de party poursuit ici son oeuvre en laissant sur son passage un infect arrière-goût de métal. Équilibre: Assez surévalué. On aimait bien le cask #2, mais là Still Waters nous effraie un peu. Attendons de voir ce que les autres fûts vont nous offrir.

Toronto Distillery Co. New Make 100% Organic Ontario Wheat

50% alc./vol.
Batch #1.

André 86%
Mélange de genièvre et de pain frais. Très doux en bouche, tout comme au nez. Background fruité assez prononcé, très agréable. La bouche me rappelle un new make spirit amadoué, plus fluide, avec des accents de Tequila, de nectarines ceinturées de fines épices allié d’une texture effervescente. Dans l’ensemble, cet embouteillage me rappelle les premiers embouteillages Preludium de Mackmyra avec un twist de céréales et d’agrume.

Patrick 85%
Nez: Blé un peu sucré avec une pointe de fruits des champs et quelques épices à steak. Bouche : Frais, sucré et fruité. Le blé aussi est toujours très présent. L’alcool semble plus fort que 50%. Finale : Courte, mais savoureuse et sucrée. Balance : Je ne suis pas un fan des « new makes »… Mais je me dois d’admettre qu’on découvre ici un produit promis à un bel avenir, pour autant qu’on puisse le faire vieillir quelques années dans un écrin de chêne approprié. Rappelez-moi lorsque vous y serez rendu!

Canadian Rockies 10 ans

40% alc./vol.
Exclusivité pour Taiwan, de Highwood Distillers.

André 83%
Nez au départ un peu franc, gingembre poivré, mais qui mutera pour quelque chose de plus doux très rapidement… Maintenant plus citrusy et fruits exotiques, vanille. Belle texture en bouche, le poivré se repointe le bout du nez et les épices explosent avec vitalité, le rye est désormais évident et refera brièvement surface en rétro-olfaction. Longue finale épicée et poivrée, le rye soutiendra celle-ci de belle façon. Un whisky Canadien qui ne redéfinit pas le style mais de bonne conception.

Patrick 90%
Nez : Épices du seigle, chêne poussiéreux, agrumes. Bouche : Fruits mûrs et fruits de la passion, chêne, caramel, gingembre et évidemment toujours les épices du seigle. Plutôt sucré et savoureux. Finale : Fruitée et rafraichissante. Balance : Une autre démonstration que le whisky canadien est sous-estimé. Le mélange d’épices de seigle et de fruits tels que ce whisky présente est simplement exceptionnel.

Myriad View Strait Shine

50% alc./vol.

Patrick 84%
D’accord avec RV, ça doit être excellent avec une glace sur le bord d’une rivière quand il fait chaud. Nez : Nez sucré et fruité rappelant plus un new make de rhum que de whisky. Agréable. Bouche : Autant le nez me rappelait un rhum que la bouche me laisse ambivalent entre le rhum et le whisky. Plus sucré et plus doux qu’un whisky, mais plus épicé qu’un rhum! Avec aussi de belles notes fruitées qui sauront plaire à tout le monde. Finale : Courte et sucrée.

RV 85%
Quand le terme « estival » n’est que beaucoup trop atténué. Impressionnant de sentir à quel point de la morne mélasse peut se définir de manière assez fruité : tarte aux fraises avec gelée et jell-o du même fruit. En bouche, la mélasse s’apparente davantage au sirop d’érable brulé, le tout dans une tranquillité relative malgré les 50% d’alcool. La finale, son point faible, est un peu trop hétéroclite, malgré que l’aftertaste est doucement et excessivement glucose. J’applaudis enfin le fait d’embouteiller à 50%, permettant ainsi de mettre un cube de glace dedans avant d’aller se promener sur le bord du canal Lachine avec un gros Saint-bernard.

Myriad View Strait Lightning

75% alc./vol.

Patrick 84%
Nez : Doux nez de céréales avec une pointe de fruits et de térébenthine. Boucche : Belle sensation huileuse en bouche, avec une saveur beaucoup plus sucrée et fruitée que je m’y attendais. Je crois y reconnaître un mélange de céréales avec le côté sucré du maïs, les épices du seigle et une pointe fruitée venant de l’orge? Finale : Assez longue, mais surtout marquée par l’alcool. Balance : Mis à part la finale qui manque de rondeur, il s’agit d’un très bon whisky qui m’a agréablement surpris. Une belle découverte.

RV 85.5%
Tout un périple entre les brusques rhums insulaires embouteillés dans l’Est canadien et les montagnes perdus de la Géorgie. Très sucré, la base de mélasse est très puissance devant le grain, mais aussi très alléchante, en donnant même un petit côté fruité (jell-o aux fraises). En bouche, puisqu’il s’agit tout de même d’un alcool à 75%, le liquide est volatile, brulant, et la mélasse beaucoup plus concentrée avant un élan de grain qui meure tranquillement en finale et qui donne enfin justification au nom de straight lightning. À 75%, ce rhumskey se prête aussi super bien au RockStar Burner ou au Fruitopia Punch aux Frutis. Et moi qui pensait qu’il n’y avait que les transylvaniens de Las Vegas pour être assez fous pour mélanger distillat de whisky et de rhum, mais il semble que les insulaires font plus dans la subtilité.

Toronto Distillery Co. New Make 100% Organic Ontario Red Fife

50% alc./vol.
Batch #1. Fait à 100% de blé Red Fife ontarien organique.

André 81.5%
Belle douceur pour un new make, le blé est soyeux et racoleur. Je lui attribue bien des qualités du maïs, le côté sucré et soyeux de celui-ci. L’alcool est présent mais pas nécessairement en avant-plan, le sucré monopolise beaucoup des saveurs du nez, appuyé par une bonne dose de vanille et de quelque chose qui ressemble à du raisin mauve. Le nez est donc assez générique et dans la ligne du style. Superbe texture huileuse et pulpeuse en arrivée de bouche, l’alcool ne tarde pas à vouloir prendre sa place, s’associant à quelques notes d’épices plus musclées. Heureusement les céréales au beurre viennent calmer la donne rapidement pour encore une fois être poussées par un ressac d’alcool et d’épices . La finale est soutenue, merci au bon taux d’alcool et aux épices. J’adore la texture qui tient la route malgré le taux d’alcool. Un bon début prometteur pour cette nouvelle distillerie Canadienne.

Patrick 82%
Nez : Beaucoup plus agressif que son confrère, le blé peine à se démarquer au travers d’un mélange d’épices rappelant celles du gin ainsi que des fruits sur l’acide. Au nez, l’alcool semble plus être de l’ordre de 70% que de 50%. Bouche : Plus douce qu’on s’y attendrait, mais tout de même pas un dram pour les enfants. Toujours les fruits sur l’acide, on jurerait y retrouver aussi de petites notes rappelant des épices boisées. Enfin, peut-être est-ce le feu de camp à proximité… Finale : Courte et épicée. Balance : Le nez est définitivement trop agressif à mon goût, mais on découvre un alcool qui pourrait être utilisé pour faire un gin spectaculaire ou avec quelques temps en fût, un whisky étonnant.

Martin 85%
Clair de lune, lol. Nez: Très fruité et sucré pour un new make. Légères traces de mélasse, mais l’alcool est beaucoup moins présent que je ne l’aurais cru. Bouche: Fruits épicés encore avec mélasse, mais beaucoup plus doux que ce à quoi je m’attendais. Le nez ne fait pas de fausse représentation de ce qui se passe ici. Finale: Plutôt courte mais tout de même agréable, sur des notes de sucre d’orge brûlé et de lilas. Équilibre: Assez bien construit. Je suis plutôt excité au sujet de ce dram. J’aime bien, et d’habitude les new makes ne sont pas mes favoris. Un vieillissement en règle ne peut qu’enrichir cette expression.

RV 84.5%
Même si c’est un whiskey canadien, se mérite un gros E entre le K et le Y. Odeur assez générique de corn whiskey, mais bien persistante avec le maïs au vinaigre qui s’imprègnent au palais. En bouche, ça s’incruste encore plus, mais ça reste un peu horizontal… en bouche, car dans la gorge c’est la douceur de la vanille, le sucre de la cassonade ainsi que le floral de lilas qui se laisse découvrir. Finale un peu courte peut-être dû à l’âge minimum du liquide. Tout jeune whisky d’une toute jeune distillerie, c’est un bon départ, mais si je l’embouteillais ça pourrait être dans un pot maçon.

Alberta Premium 30 ans

40% alc./vol.

André 88%
Invariablement rye, si vous n’aimez pas le rye, vous n’apprécierez pas le style. Seigle et céréales, vanille extraits du fût qui a fortement marqué de ses influences ce whisky typiquement Canadien. En bouche, encore ces céréales séchées, un peu poussiéreuses, du toffee très discret et quelques fruits épars. C’est crispy et très effets du fût de chêne mais tellement agréable et d’un superbe équilibre.

RV 86%
Un excellent whisky ordinaire. De sages senteurs de seigle saisissent le départ, où s’ensuit un suite sucrée de saveurs disparates. En bouche, trop sage alors que le caramel, le seigle et le bois jouent sagement dans une terre de blé, avec de terminer leur journée dans une soirée assez courte sous le signe de la tradition canadienne. Je reconnais bien sur la qualité de ce whisky mais que ce soit le 20, le 25 ou le 30, ce whisky n’a, jusqu’a maintenant, pas réussit à saisir mon attention mis a part celui de mon portefeuille.

Patrick 92%
Nez offrant un mélange complexe de fruits mûrs et de chêne brûlé, l’ensemble marié par le seigle. C’est toutefois en bouche que ce rye prend toute sa dimension, avec une belle profondeur et une richesse incomparable. Les saveurs de seigle et de fruits sont surpassés par un puissant chêne brûlé qui lui donne un air vraiment viril. La finale , initialement marquée par le chêne brûlé, s’étire longuement sur les épices du seigle… A ce jour, mon Alberta favori! Et je dois admettre que j’aime bien le pied de nez qu’il se permet à tous les whiskys âgés de plus de 20 ans qui se détaillent habituellement à un prix au moins 4 fois plus élevé! Je crois que je vais aller m’en acheter rapidement une autre bouteille! Bravo!

Martin 90%
D’une belle couleur or profond et cuivrée presque bronze, il est difficile de m’empêcher de faire des blagues de sirop d’érable. Nez: Explosion subtile de seigle et d’eau d’érable. Fond de miel, de vanille et d’herbe. Touche de fruits et de clous de girofle sur une planche de cèdre. Bouche: Très doux. Fondation de caramel salé et de fruits séchés sur laquelle se bâtit une tout de noisettes, de vanille et de butterscotch supportée par des madriers de cèdre. Reste de céréale poussiéreuse sur la fin. Finale: Longue et douce, poivrée de seigle, de cannelle et de bois cramé. Équilibre: Superbe douceur, un puissant exemple de l’influence d’un grand vieillissement.