Valinch & Mallet Ledaig 10 ans Single Cask

48.8% alc./vol.
Distilled 2008 Bourbon Hogshead #18-1001, 267 bottles.

André 87%
Y’a des whiskies qui livrent vraiment leur potentiel, les whiskies maritimes et tourbés particulièrement lorsqu’ils sont encore jeunes au niveau maturation, on dirait que cela accentue leurs saveurs maritimes et fumées. Ledaig est un des ces whiskies. Beau nez affirmé mais pas trop fort, tourbe grasse et verdâtre, terreuse aussi, genre terre mouillée mélangée d’algues séchées, mélange de vanille et miel aussi, sel de mer, poires. Un peu dilué en bouche, tout de même huileuse, sel de mer séché, tourbe avec des accents verdâtres, terre mouillée, viande fumée et feu de plage avec du bois mouillé, embruns maritimes, varech. Finale fraiche, citronnée et poivrée. Amalgame de saveurs intéressantes et singulière, belle texture et profil aromatique challengeant.

Talisker 8 ans Special Release 2018

59.4% alc./vol.
1st fill Ex-Bourbon Hogsheads, Limited Edition of 4680 bottles

André 88%
Poivre puissant avec accents médicinaux plus Islayesque que Skyesque, la tourbe est industrielle et froide, sale, le bois de chêne carbonisé et le bbq sur le feu de plage qu’accompagne une sauce aux petits fruits rouges sauvages, tranche d’ananas avec jambon fumé, caramel brûlé dans la pan. La bouche affiche des accents herbeux et des notes de charcoal un peu brutes, le whisky dans l’ensemble un peu fougueux de par sa jeunesse et sa maturité pas encore complètement assimilée. Ananas, pommes vertes, herbe, charcoal, bbq sur la plage, poivre noir moulu. Un peu de patience apportera des notes de melon et d’oranges. Le whisky est très évolutif et l’aération nous amène dans un maelstrom de saveurs et d’arômes intrigantes. Encore quelques minutes et des notes de poires apparaissent maintenant avec toujours la mer et ses draps iodés en arrière-plan. Étrangement on a aussi des saveurs qui rappellent les raisins secs et les prunes, la compote de fruits sauvages. Vingt minutes dans le verre et la texture est beaucoup plus ronde, presque huileuse, posée, l’alcool plus discret aussi. La finale demeure tout de même tannique et passablement sur le bois carbonisé et les notes de poivre et de gingembre.

Patrick 89%
Le parfum m’a sérieusement déçu, mais en bouche, c’est définitivement au point. Nez : Parfum de fumée, de poivre et de new-make-de-micro-distillerie-pas-capable-d’attendre-3-ans-que-le-whisky-soit-prêt. Bouche: Une grosse dose de fumée de tourbe très poivrée et joliment salée, portée par une belle texture huileuse. Finale : D’une belle longueur, intense et fumée.

Highland Park 13 ans Àrvaenn Viking

64.9% alc./vol.
Distilled 2004, Bottled 2018, Cask #6707, 1st Fill Sherry Puncheon. Single cask exclusive pour l’aéroport de New York.

André 88%
On ressent rapidement la force latente de ce whisky, nappé dans ses draps de velour couleurs sherry opulent, d’oranges sanguines et de pâte de fruits, les figues et les prunes. On laisse reposer un quart d’heure et les tonalités de caramel brûlé et de chocolat émergent lentement. J’ai l’image des barres de chocolat Cadbury Fruits et noix, de sherry opulent et hautain, gros fruits secs mis à macérer dans l’alcool, le bois de chêne est bien ressenti aussi, le fût de sherry dans le fond du chai de vieillissement sur le sol de terre humide, tannins relativement prononcés aussi. Le puissant alcool masque les saveurs et aromes les plus fragiles, chocolat au lait, épices. Longue finale, sans brusquerie mais très puissante, léger sulfur en rétro-olfaction.

Patrick 90%
Wow! Intense, mais pas autant qu’on pourrait le craindre d’un whisky aussi fort en alcool. D’ailleurs, c’est assez incroyable un tel taux d’alcool pour un whisky de 13 ans. J’aime. Nez : Parfum dominé par les effluves de xérès, du caramel, des biscuits, de la vanille. Bouche : Du beau xérès, de belles épices, du bois brûlé, un peu de caramel et de belles céréales. Finale : D’une belle longueur, avec un beau mélange d’épices, de fruits et de saveurs sucrées.

Martin 90%
Nez: Planche poussiéreuse du fut de xérès. On ressent le même genre de trépidation quand on se verse un A’bunadh. Léger vent de tourbe florale, soutenu par cerises, figues et dulce de leche. Bouche: Belle texture, les épices mettent en valeur noix et bois brûlé. Poussière et sherry. Miam! Finale: Chaude et puissante, quoique moins agressive que je ne l’anticipais. Bois, dattes et raisins sous une couche de poivre fraîchement moulu. Équilibre: Un excellent frappeur, candidat de choix pour les nuits froides de février.

Highland Park Voyage of the Raven

41.3% alc./vol.
Dans la mythologie Viking, le corbeau était un puissant symbole de victoire dans la bataille, de réussite dans un voyage et de fidélité au dieu Odin. Intelligents et pleins de ressources, les corbeaux étaient les guides de confiance de ces premiers voyageurs alors qu’ils quittaient les côtes du Nord à la recherche de nouveaux horizons. Très appréciés pour leurs compétences en navigation, les corbeaux sont devenus des symboles de bonne fortune sur de nombreuses traversées. Élevé dans une plus large proportion d’ex-fûts de sherry de premier remplissage.

André 89%
Wow… Ça fait longtemps qu’une édition Duty-Free de HP m’a autant surprise. Quel nez goulu, gorgé de cerises, gâteau aux fruits, chocolat amer, sherry opulent soyeux, fumée de tourbe légèrement terreuse parfumée de bruyère. La bouche est incroyablement relevée pour un taux d’alcool si près de la limite minimale; poignée de cerises noires tout juste récoltées, fumée de tourbe puissante aromatisée de chocolat noir amer, raisins secs, bleuets, cannelle et gingembre très relevées, sensation un peu sèche et presque tannique en fond de bouche. En rétro-olfaction, une touche de sulfur et une pincée de poivre. Finale hyper épicée, poivrée, notes de fruits séchés et de fumée de tourbe terreuse.

Patrick 82%
Une autre raison d’éviter les produits exclusifs aux magasins duty-free. En résumé, tous les artistes sont en scène, mais le rideau refuse de lever. Nez : Discrets fruits mûrs, des noix et une touche de cannelle et de gingembre. Le tout avec une goutte de miel. Bouche : Fruits mûrs d’une belle intensité bien mesurée, un peu de bois brûlé, de la cannelle et du gingembre, le tout avec une pointe de miel et une fumée discrète. Par contre, l’ensemble est tellement dilué qu’il faut être sérieusement en manque d’Highland Park pour y trouver du plaisir. Finale : Courte et sans intérêt.

Martin 88.5%
Nez: Sherry généreux, cerise, dattes, chocolat noir et tabac à pipe. Planche de chêne bien trempée. Agrumes, zeste d’orange sanguine. Wow! Infime fumée de bruyère. Bouche: Miel et cerise, bois et xérès, vanille et chocolat à l’orange. Épices bien dosées à la fin. Terreux et amer, mais dans le bon sens. Finale: Longue et chaude, pas trop oppressante. Poivrée et fruitée à souhait. On se laisse bercer par le xérès. Équilibre: Un solide ajout au portfolio Duty-Free de HP. Un beau NAS pour épater la visite.

Highland Park 16 ans Twisted Tattoo

46.7% alc./vol.
Recette provenant d’un mélange de 70 fûts first fill bourbon barrels et de 153 fûts ayant servi à la maturation de vin Espagnol Rioja.

André 83%
Beau nez attirant, beaucoup de tourbe que prévu, de grosses poignées de fruits rouges aussi, de la compote de fraise et de framboise, cœur de pomme rouge, belle vanille onctueuse aussi, prunes et abricots, miel chaud, le bois brûlé aussi. La bouche est très étrange, je n’irais pas jusqu’à dire débalancée mais définitivement bizarre et avec un agencement de saveurs et de sensations difficiles à suivre; tourbe terreuse et bois carbonisé, sensation minérale genre poussière de pierre qui reste sur les dents, oranges et fruits secs, prunes poivrées, raisins mauves qui s’accompagnent d’une solide baffe d’épices et de réglisse noire. La texture est vraiment liquide, presque diluée, je parle de texture et non des saveurs. La finale laisse une sensation tannique développée par le red wine cask, ensemble franc et très poivré même si fruité. Après la gamme des guerriers et divinités Viking, quelques embouteillages de mythologie, un amplificateur et maintenant des tattoo, ce whisky est aussi difficile à suivre que la gang de marketing de la compagnie.

Patrick 88%
Un très bon scotch, avec un superbe mélange de saveurs! Nez : Oh, ça sent bon, ça! Une belle fumée de tourbe délicate, un peu de vanille et de miel, des fleurs et une belle dose de fruits. Bouche : Toujours la délicate fumée pour commencer, puis de belles épices, de la vanille, des fleurs, du miel, du bois brûlé et quelques fruits. Finale : D’une belle longueur, marquée par un kaléidoscope de saveurs.

Martin 87.5%
Nez: Tourbe herbeuse et séchée, malt très fruité, raisin et miel, touche de cuirette. Pomme de tire et vin rouge. Bouche: Bois et sherry, belles épices, enveloppe agréable de fumée de tourbe. Léger caoutchouc. Finale: Tourbée, boisée et poivrée. Bel éventail de saveurs. Légère agressivité au niveau de l’alcool. Équilibre: Un superbe Highland Park. C’est rare que je me plains de cela, mais j’ai l’impression qu’autour de 43% on aurait pu aller chercher davantage de richesse.

Highland Park 10yo Rebus – 30th Anniversary of John Rebus

40% alc./vol.

André 79%
Nez un peu quelconque avec ses notes de champ d’herbe verte mouillée, pommes vertes et de céréales maltées trmepées dans le miel, d’ananas, quelques fruits tropicaux bien effacés, gousse de vanille, poires. Pauvre texture en bouche, diaphane et sans passion, oranges distantes, fruits tropicaux, une pointe de citron et de poires, le tout saupoudré de cannelle et d’un trait de caramel et de vanille. La bouche se développe sur des notes épicées après quelque temps d’où s’extirpent des saveurs de grains de poivre broyés dansant dans un léger filtre de fumée lointaine. Finale sèche et épicée, courte. On célèbrera pas bin tard…

Patrick 80%
J’ai déjà pensé que les gens d’Highland Park étaient incapables de faire autre chose que de superbes whiskys. Ben coudonc, ils sont humains comme tout le monde et il semble qu’eux aussi ont des mauvaises journées. Bref, pas mauvais, mais la moitié de mon échantillon de 25ml a fini dans l’évier. Je plains ceux qui en ont une pleine bouteille à boire! Nez : Parfum de whisky cheap, avec des notes d’agrumes et de fleurs. Bouche : Un peu mieux, avec des fleurs de la vanille et du malt. Après quelques gorgées, on trouve aussi des épices et une subtile pointe de fumée. Finale : Courte, légèrement épicée et fumée.

Martin 80%
Nez: Herbe verte et bruyère, malt légèrement mielleux et eau de rose. Pétales de fleurs blanches. Assez sobre et doux. Fruits tropicaux. Bouche: Sucre en poudre, épices et miel. Poivre citronné. Vanille et bois, vent de boisson cheap. Finale: Épicée, astringente et empreinte d’alcool éventé. Déception. Équilibre: On nous a habitués à mieux chez HP. Ils sont il faut croire parfois victimes eux aussi des éditions spéciales vides de goût.

SMWS 55.46 Royal Brackla 16 ans

58.1% alc./vol.
“Complex layers of fruit and wood”, Distilled 26/09/2000 from First Fill French Oak Hogshead, 293 bottles.

André 91%
Prunes, cerises noires, gâteau auc fruits, raisins secs, chocolat noir. Délectable avec une impression de saveurs compactes et franches, entières. On perçoit une belle onctuosité au nez, moelleux et confortable avec une fine couche tannique en background. Ça fait quelques éditions de la SMWS version French Oak Cask que j’évalues et j’avoues être vraiment hyper surpris de la qualité générale de tout ces produits. En bouche, gâteau Forêt Noire avec une sauce chaude aux raisins et une coulée de cerises. Superbe onctuosité en bouche qui est rapidement relevé par l’imposante vague d’épices, principalement le gingembre. Pop Tart aux raisins et cerises. Finale épicée et franche avec une explosion de raisins tanniques.

Patrick 85%
Pour amateur de xérès chevronné, qui n’en a jamais assez. C’est riche, intense et on y retrouve toutes les saveurs typiques d’un tel vieillissement. Nez : Fruits mûrs, xérès, chocolat noir et épices du bois. Bouche : Oh, c’est ici que ça se passe! Un beau chocolat épicé, voire pimenté, parsemé de fruits mûrs, servi sur une planche de bois carbonisée. Finale : D’une belle longueur, boisée, fruitée et chocolatée.

Martin 93%
Nez: Gâteau aux épices, fruits séchés, raisins foncés et juteux du fût de sherry. Riche et vieux à la fois, onctueux et sévère à la fois. Bouche: Raisins rouges, mûres et cerises noires, le tout balancé par un chêne omniprésent. L’alcool pourrait en effrayer certains, mais ici il supporte admirablement bien le tout. Texture solide au rendez-vous. Une poignée d’épices de feu nous garde sur le qui-vive. Finale: Longue, chaude, boisée et épicée. Toutes les saveurs précédentes, surtout les beaux gros raisins bien gorgés de vin, reviennent au galop sans nous brusquer. Le tout demeure une expérience au-delà des attentes. Équilibre: J’ai toujours été relativement fan des fûts français, comme dans le Glenlivet 15 ans, mais ici à la sauce SMWS, ça fait plus que décoiffer.

SMWS 4.233 Highland Park 11 ans

64.2% alc./vol.
“Asian-Style Barbecue” – Distilled 31.01.2006 from Refill Ex-Bourbon Hogshead, 300 bottles.

André 84%
Ananas, poires, citron, vanille, amandes roulées dans le caramel, en plus d’une touche maritime salée et aérienne. La bouche est aiguisée par le puissant taux d’alcool. Notes de miel et d’ananas, fruits tropicaux, vanille et épices ardentes. Ensemble un peu sec et vif. Finale offrent une touche de gingembre et de fumée lointaine. On ne m’a pas habitué à des Highland Park avec des saveurs autant coupées au couteau.

Patrick 88%
64.2% d’alcool!! Ça doit être le scotch de plus de 10 ans le plus fort en alcool que j’aie jamais bu! C’est intense, mais pas autant que le taux d’alcool le laissait présager. Nez : Tout d’abord, d’évanescentes notes d’agrumes juteux, puis on trouve que le whisky porte bien son nom, avec des arômes de porc sucré habilement brûlé sur le BBQ. Bouche : Toujours les agrumes au premier abord, mais avec aussi des pommes vertes. Puis, rapidement, une grosse vague de fumée de tourbe épicée emporte le tout. Finale : D’une belle longueur, fumée et épicée.

Martin 87%
Nez: Céréales, citron, vanille, sucre doré, caramel et noix mélangées. Sel de mer et bruyère. On reconnait bien HP, mais ici de quoi se spécial s’en vient. Bouche: Fruits tropicaux, sel marin, herbe, bruyère, fumée et caramel. Vanille et poivre infernal. Belle sécheresse et intensité. Sauce BBQ. Wow! Finale: Épices en puissance à l’avant-plan , suivi de fumée, de sucre, de pommes vertes et de gingembre. Ou de cannelle? Équilibre: Un solide HP. La SMWS déçoit rarement. La complexité y est, mais la subtilité habituelle de HP est un peu à côté de la plaque. J’aime pareil.

SMWS 42.44 Tobermory 9 ans

58.5% alc./vol.
“Winter Warmer” – Distilled 02/2008 from Refill Ex-Bourbon Hogshead, 323 bottles.

André 88%
Huile et tourbe terreuse, sel de mer, très verdâtre comme présentation, poisson fumé, lime et citron, fumé de BBQ, nez très franc, bois séché nappé de vanille. La bouche est onctueuse, très huileuse et un peu crasseuse, avec de la belle grosse tourbe remplie de terre mouillée, pansements, notes fraiches de citron, fumée de BBQ sur la plage, sel de mer et une bonne livraison d’épices (clou de girofle et gingembre intenses) et de sucre caramélisé. L’alcool rend le whisky un peu franc même si adouci par l’effet huileux. Longue finale, maritime, tourbée et salée, herbeuse aussi.

Patrick 93%
Un whisky grandiose, qui me fait penser en fait à un Bowmore beaucoup plus vieux. Nez : Oh wow, que ça sent bon ça! Des fruits de mer sur le BBQ, avec une belle marinade fruitée et sucrée. Bouche : Une tonne de sel, de la fumée, de la cendre, du goudron et des agrumes. Finale : D’une belle longueur, fumée et salée.

Martin 89.5%
Nez: Tourbe verte et huileuse, sucre en poudre, charbon de bois, citron, vanille et terre. Un beau mélange, bien dosé, rien ne prend tout-à-fait le dessus. Bouche: Vanille huileuse, poivre blanc, vent maritime, fumée, citron et sel. Le taux d’alcool rattrape assez rapidement le dégustateur, mais plantez-vous bien les pieds, le voyage en vaut la peine. Finale: Cendreuse, longue et épicée. Notes de feu de camp, de chêne brûlé, de charbon, de tourbe, de vanille, de pierre lavée et de citron sucré. Équilibre: Bravo, un autre trophée pour la SMWS qui ne cesse de les accumuler.

Glenmorangie 22 ans 1971 – 150th Anniversary

43% alc./vol.

André 94%
Pelures de pommes rouges et réglisse rouge, agrumes, citron, papaye, pêches, kiwi, une touche de cannelle et d’anis et de belles notes rondes de sherry. On prend le temps et on revient au verre après 10 minutes et… caramel, toffee, oranges confites, papaye, melon au miel, vin licoreux. Arrivée tout en douceur en bouche, texture ronde et moelleuse. L’amalgame de saveurs de fruits divers est étonnant; papaye, melon au miel, pêches, kiwis, sherry. Une touche de fumée en finale de bouche qui s’accompagne d’une solide bouffée d’épices et de poudre de cacao, gingembre, melon au miel, papaye. De l’intensité raffinée.

Patrick 94%
Pas le Glenmorangie habituel, mais wow! On y retrouve toute la maîtrise dont Glenmorangie est capable, avec une complexité rarement vue. J’adore! Nez : Quand le parfum d’un whisky te fait baver… De beaux fruits séchés, un mélange de fruits des champs et de fruits exotiques. Le tout avec une belle petite touche boisée. Bouche : Ooooooh. Toujours le mix de fruits mentionné précédemment, avec du bois, quelques épices et une bonne dose de caramel. Finale : D’une belle longueur, épicée et fruitée.

Martin 94%
Nez: Fruits séchés depuis longtemps, bois ultra-sec, vineux à souhait, presque poussiéreux. Clémentines, fruits de la passion, zeste d’orange. Xérès dans le piton. Léger savon. Bouche: Texture généreuse, boisée et fruitée. Raisins secs, dattes et sherry. Cannelle et orange. Fortes épices. Finale: Bien ronde et fumée, elle ne va pas à l’encontre du reste de l’expérience. Poudre de cacao. Équilibre: Quand même très solide dès qu’on le verse. Mais si on attend 5-10 minutes avant de se lancer, le plein portfolio de saveurs se présente à nous. Je ne suis pas accoutumé à voir des Glenmorangie dans cette ligue à part. Suave et intense à la fois, comme tout bon Glenmo.