Longrow Tokaji Finish

55.6% alc./vol.
Le Tokaji est un vin doux Hongrois et le Longrow est le single malt de double distillation très tourbé de la distillerie Springbank. Une rencontre exceptionnelle. Embouteillage limité à 2400 bouteilles à l’échelle mondiale.

André 77%
Ça donne pas une belle impression de la Hongrie… et je me demande si de un, soit nous avons une bouteille défectueuse où si les représentants de Longrow voulaient tester leur niveau de stress au risque d’envoyer ça sur le marché. Ça sent le fût ayant eu des problèmes, un peu dans le genre d’odeur de fromage et de souffre qu’on a retrouvé dans l’édition vintage 16 ans de Bowmore. Cela donne un mélange plutôt hétéroclite de fromage fumé servi sur une assiette de bois pourrie. La bouche est plus fruité, des bananes et de cacao mais je pourrais comparer ça à manger une assiette de fruits à côté d’un champ d’épuration de fosse septique. Une énorme déception – et une des rares – des Longrow. Le prix payé rends le tout encore plus amer.

RV 79%
Une curiosité malhabile qui arrive toute bizarre sur le terrain, qui commet des erreurs et qui ne se contente que d’un simple à sa dernière présence au bâton. Fendant et grossier, le baril de maturation semble pourri et sûri de sucre, avec une arrière-vague de caramel. En bouche, c’est tout simplement vraiment mauvais, malgré un début de finale intéressant, avec un étrange mélange de miel et de rayonne qui tente de rattraper le désastreux début, trop peu trop tard. Un ticket payé trop cher pour assister à une défaite d’une équipe que j’aime voir jouer.

Patrick 75%
Ca puuuuuue! Ouch! Selon Bruno de la SAQ, un mauvais fût a été utilisé car le Tokaji, un vin de dessert Hongrois dans le style Sauternes, ne devrait pas dégager un tel parfum. Définitivement une odeur de moisissures, et en cherchant, cela peut nous rappeler un fromage… En bouche, le fromage se révèle être tourbé, salé et sucré tout à la fois. À la 2ème gorgée, un léger fruité semble vouloir sauver le tout et permet en effet à l’ensemble d’aller chercher quelques points additionnels. La finale s’étire heureusement sur ce côté fruité, mais sans tout à fait réussir à nous faire oublier le fromage. Ma recommandation? Pour cette somme, achetez 2 bouteilles d’une marque concurrente et quelques fromages, vous passerez ainsi une excellente soirée à faire une vraie dégustation whisky-fromage.

Longrow Rum Wood Expression 16 ans

54.2% alc./vol.
Limité à 6000 bouteilles, il serait né à la suite d’une découverte de Jim Murray de vieux barils oubliés dans un coin des chais de Springbank.

André 84%
Vanillé généreusement, fort en bouche allié d’un menthe verte bonbon. L’accord entre l’alcool et le sucre est bien balancé, ce qui le rends très agréable. Sans surprise mais loin d’être désagréable. À mon avis, le haut taux d’alcool est trop fort pour la légèreté sucrée du rhum cask. Même si le Master blender a jugé que l’embouteillage idéal devait être supérieur à 50%, j’aurais vraiment préféré le déguster à 46%.

RV 89%
Une belle petite surprise épicée qui en plein blizzard transforme la gorge en île du sud. Pin mugo vert, mais sans la cocotte traditionnelle du Longrow. Nez trop fût de bourbon mais insuffisamment rhum. Par contre, au goût, presque parfait avec canne à sucre et cannelle en arrivée et finale en retour sur l’écorce de pin ainsi qu’avec une pointe de miel. Malgré son âge, elle se ferait toujours carter car elle est loin de les faire.

Patrick 87%
Au nez, léger, fruité, plutôt délicieux, jus de fruits pour adultes. Vivifiant. Le rum demeure subtil. Bonne finale, mais court. On ne sens définitivement pas l’alcool. Aurait pu faire définitivement mieux (5-6 points de plus) avec un nez davantage marqué et un arrière-goût plus long.

Longrow 7 ans Gaja Barolo Cask Finish

55.8% alc./vol.
Embouteillage vieilli 18 mois dans des barils de vins de la région de Piedmont en Italie. Édition limitée à 12100 bouteilles.

André 80%
Le nez ne me plait pas. Sent le baril frais fait, un PEU dans le style du Glenmorangie Artisan Cask. Sent l’alcool à friction et la vanille et à la limite vineux. Forte arrivée en bouche, descend rapidement, après, c’est le calme avant la tempête. Comme dans un livre d’Agatha Christie où l’on cherche mais ne trouve pas, ce single malt est une bizarrerie en soi. À l’image du Colonel Moutarde qui a tué Mrs Peecock avec un chandelier, je dirais plutôt que c’est le Gaja Barola qui a tué le Longrow dans la distillerie Springbank. Désolé, mais même en étant singulier, celui-ci ne passe pas le repêchage. J’ai l’impression d’avoir lu un mauvais roman Polar.

RV 87%
Difficile à classer, un peu à l’image du Jura Superstition mais dans tout autre registre. Vraiment pas subtil, il est facile a discerner les composantes lorsque l’on sait c’est quoi. Plus il respire, plus la cocotte de pin typique de Longrow sort. Très nuancé en bouche avec un beau piquant sur la langue et une belle finale fumée, lustrée et douce de bois. Murray le compare a se prendre pour Napoléon dans un asile; si c’est ca, donnez moi un entonnoir pour me servir de chapeau, je pars à la futile recherche du laissez-passer A38, mais je ne veux pas immatriculer une galère.

Longrow CV

46% alc./vol.
Un embouteillage de malt de 7, 10 et 14 ans de barils de sherry, bourbon, porto et rhum. Longrow est le single malt tourbé et distillé deux fois de la distillerie de Campbelltown Springbank.

André 90.5%
Terreau d’empotage et paillis d’écorce de noix de coco. La bouche est superbe, soyeuse et d’une belle exubérance. Assez déboussolant ce Longrow… En respirant, la tourbe émerge, la fumée nait en gagnant en ampleur accompagné du chocolat. Le tout se poursuit en finale sur des notes fruitées d’oranges et de nectarines avec un rappel citron0lime discret mais apportant un infime retour acidulé très plaisant, drapé de noisettes et de Nutella.

RV 87%
Très vineux à l’ouverture, mais une huile d’aiguilles de pin sur terre humide de boisé de conifères où repose un pin touché par la foudre. Se développe timidement sur un fumé nuancé, suivi par une touche de sherry assez courte. La finale est excellente avec un retour sur les aiguilles de pin, par contre agrémenté de bois plus frais, comme si les racines de l’arbre avaient été découvertes. Un scotch des plus sylvicole, le genre que l’on traînerait en renfort pour aller chercher l’arbre de Noël dans 2 pieds d’épais de neige un 9 décembre. Un coup de hache, une gorgée…

Patrick 89%
Délicate fumée-tourbée-salée au nez. Au goût, un agréable xérès s’ajoute à la fumée-tourbée-salée. Le tout baigne dans une vapeur de conifère surprenante et agréable. Un whisky très bien équilibré, qui demande qu’on en prenne une autre gorgée… et une autre… et une autre… Coudonc, qui a vidé la bouteille?

Longrow 14 ans Heavily Peated

46% alc./vol.

André 89%
What a sneaky peaty whisky. Le nez est maritime sans être nécessairement tourbé, du moins de la façon que l’on est habitué de se faire présenter la tourbe. Plutôt fruits tropicaux et jus de citron, salade de fruits dans leur jus, sur une tapisserie de sel et de tourbe singulière, un peu terreuse. On sent la tourbe de façon latente mais c’est plus en bouche qu’il se caractérisera comme étant un whisky « heavily peated ». Mais cette tourbe est à la fois féline et douce, terreuse et sucrée, très inhabituelle. Feeling huileux en bouche soutenant les éléments. Finale où la tourbe prend en importance; bois de feu de plage mouillé, sel et quelques fruits. Excellent, distinctif et challengeant pour l’amateur de whisky.

RV 91.5%
Ce n’est pas parce qu’on fait dans le heavy qu’on se contente de bûcher sur la grosse corde. Dès les premières secondes, Longrow habituel donc de pin, mais aussi un peu plus doux, donc de pain. En bouche, textures, saveurs et pour un whisky lourdement tourbé, enfin cette tourbe se dévoile sans être celle d’Islay, beaucoup plus forestière que maritime. L’aftertaste (de longueur efficace) est parsemé de cerises. Pour quelque chose qui se veut tourbé de manière importante, c’est vraiment plus fin et appréciable que les essais douteux à accents de marketing.

Patrick 91%
Nez : Grosse fumée de tourbe sale et grasse. La mer non plus n’est pas loin, avec une note de filet de pêches mal lavés. Bouche : Toujours la tourbe sale et la mer, mais le tout semble avoir été tartiné sur une tranche de pain qui n’aurait pas passé assez de temps au grille-pain. A la troisième gorgée, quelque chose me rappelle la forêt… Et une poignée de terre! Finale : Longue, épicée, savoureuse. Balance : On aime! Intense, complexe, bien balancé, tout y est! Seul le prix, définitivement trop élevé pour un 14 ans, casse un peu le party.

Longrow 10 ans Peated

46% alc./vol.

André 89%
Ce mélange si unique et distinctif de Longrow; feu de branches de pin sur des mottes de tourbe que l’on aurait fait sur le bord de la mer. La douce brise de l’Atlantique soufflera jusque dans vos narines son caractère salé et maritime. Un whisky très complexe et à développement qui réussira à combler les amateurs les plus avides et ce à chaque étape de la dégustation. La bouche démontre une belle fraicheur, un twist de citron nappé de tourbe. Y’a aussi une `légère vague d’oranges et de nectarines qui s’échappe pour un mince instant, ensuite terrassé par une marée de braise rougeâtre et de tourbe assaisonnée de pin. Très long en bouche, démontrée par une finale très persistante. Une belle complexité, de l’équilibre, de la singularité mais un prix qui refroidit quelque peu.

Patrick 85%
Tourbe et pin au nez, on se croirait dans la forêt, avec une touche sucrée. On se croirait dans la forêt, à se faire cuire des guimauves a saveur de fraises (si ca n’existe pas, ca devrait être inventé!) sur un feu de tourbe! Le goût n’apporte pas de surprise additionnelle, si ce n’est qu’on a l’impression d’avoir à faire à un whisky beaucoup plus jeune. En effet, il gagnerait à être légèrement « arrondi » par le chêne. Pour la moitié du prix, j’en apporterais toujours une bouteille avec moi lorsque je vais à la pêche, mais à ce prix là (surtout pour un 10 ans!), il restera sur la tablette.

RV 89.5%
Les casks strength c’est bien beau, mais les vêtements de semaine peuvent être encore plus sexy que les tenues de gala. Longrow tel que j’aime me l’imaginer, tout plein d’aiguilles de pin encore vertes avec une tourbe lointaine qui se retrouve autant au nez qu’en bouche. La finale, vraiment longue considérant l’âge relativement jeune de la bouteille, est quant à elle agrémentée d’une cerise aigre, d’une avancée de vin et de vinaigre, avec de la pierre de sel en rétro-olfaction. Preuve d’une superbe simplicité franche et efficace.

Hazelburn 12 ans

46% alc./vol.
Hazelburn est le dernier né de la distillerie Springbank. Sa première distillation eu lieu en 1997 et la première mise en bouteille en 2005. Il porte lui aussi le nom d’une distillerie locale disparue en 1925. Le malt est intégralement séché à l’air chaud, et la maturation se fait à 100% dans des fûts de Bourbon. La distillerie pratique une curieuse et unique double distillation et demie ; la troisième distillation est en effet effectuée à partir d’un mélange des distillats issus de la première et de la deuxième distillation. Le whisky produit n’est pas filtré à froid, ni coloré artificiellement.

André 86.5%
Toast multi-grains légèrement brulées, caramel chauffé, chocolat noir. Bouche épurée (triple distillation ?) avec une belle wave très particulière où se démarquent avec ferveur la présence du bois du fût, les notes chocolatées et un genre de raisins des Glenfarclas (particulièrement du Glenfarclas 40 ans). Finale tranquille, remontée par le taux d’alcool où les influences boisées et de chocolats au caramel s’entrelacent amoureusement.

Patrick 88%
Nez suave et riche. Arômes maltée, vineuse avec une touche boisée. Au goût, toujours les le malt et les fruits, des cerises avec un raisin vineux. La finale est d’une longueur moyenne, mais laisse une agréable sensation de chaleur en bouche. Le tout est parfaitement balancé. Sans être une superstar par sa complexité, il est facile d’approche et se mérite des points supplémentaires car en fermant les yeux, j’avais l’impression de me retrouver dans un chalet au fond du bois, assis près du feu.

Martin 88.5%
Nez: Malt goulu et chêne vineux. Le nez transpire le caramel boisé avec une pointe de vanille. Bouche: Texture d’un poids moyen mais bien balancée. Chêne, vin, épices, raisin rouge. Le grain malté est dans l’oeil du cyclone. Finale: Longueur moyenne, mais sur de langoureuses notes de raisin, de bois d’épices, de chocolat et de caramel. Équilibre: Un malt très bien construit, avec une palette qui n’est pas sans rappeler certains grands Glenfarclas…

Kim 85%
Pour une raison obscure, je trouve qu’il sent étrangement la tequila, voire même une margarita, avec une bonne dose de sel autour du verre. C’est très inspirant. Au goût, on retrouve encore la margarita, mais servie dans une barrique. C’est doux et très boisé, avec un soupçon de réglisse rouge. Je le comparerais à un gars de shop gentil et honnête, mais qui manque un peu de raffinement.

RV 82.5%
La fille du boulanger: pas les mêmes gênes que le reste de la famille, mais des traits déjà observés dans le village des whiskies. Au nez, on s’y méprendrait presqu’avec le caramel et le bois ultra-carbonisé du Auchentoshan 3 Woods, quoiqu’avec du miel (en respirant profondément) et le raisin du Glenfarclas. Il conserve sa noirceur au goût avec du porto et du chocolat, puis le bois caramélisé qui reprend le dessus avant d’être conclu par un aftertaste de pin et cèdre, pas tout à fait étranger à Springbank. En souvenir, j’en garde néanmoins un caramel brûlé presque aigre, un peu comme si l’on avait fait un vatted de Jura, de Springbank et de Glenfarclas. Pas mauvais, tout de même différent de sa sœur Springbank, mais rien d’original.

Murray McDavid Glen Scotia 16 ans 1992

46% alc./vol.
Distilled 1992, Bottled 2008, Château Climens Cask Finish, Limited Edition of 2500 bottles.

André 82%
Nez onctueux rempli de fruits tropicaux et de petits fruits sauvages. Melon au miel, melon d’eau, cerises, oranges et raisins verts. Belle texture en bouche, la salade de fruits tropicaux en conserve, ensemble est bien sucré et attirant, puis verse dans les épices plus prononcées et le sherry tannique avec une pointe de souffre et de sel de mer. Après plus de 30 minutes dans le verre, ça sent le vin rouge, ça surprend un peu compte tenu que le Château Climens est un vin blanc licoreux. La ligne directrice de la finale de bouche est légèrement débalancée, les épices jumelées au sel de mer pis le vin tannique est difficile à suivre. Mauvais choix de cask finish?

Patrick 88%
Au nez, salade de fruits Del Monte (les petites cannes vertes) avec une touche épicée rappelant le bourbon. Au goût, un vrai party dans ma bouche! Un mélange de fruits, sucre, sel et épices vraiment bien équilibré.

Martin 82%
Nez: Miel et céréales, foin et fruits séchés. Melon, fruits des champs et raisins verts croquants. Bouche: Texture agréable, notes de raisins secs, d’orange et de caramel. Cuir, fumée et casonade. Un peu de sel marin et de xérès viennent cerner le tout. Finale: Longue, épicée et assez tannique. On garde certaines notes mais on tombe un peu dans le dallot de l’amertume. Dommage. Équilibre: Un bel exemple d’un vieux dram qui peut mal tourner si on dépasse le temps de vieillissement idéal ou si on choisit un fût de finition qui ne sied pas au malt qu’on a sous la main. C’est quand même pas horrible!

RV 82.5%
Framboises et agrumes trempées dans la fondue a l’érable; odorat très invitant et très sucré avec du sirop de pêche. En bouche, le grain sort beaucoup plus et fait produire de la salive, avec une faible attaque, à peine cendreuse. Malheureusement, le tout commençait trop bien, et plus on monte rapidement au début plus on semble tomber de haut si le reste n’atteint pas les mêmes sommets.

Glen Scotia 14 ans

43% alc./vol.
Campbeltown, 1832. L’Écosse est connue non seulement pour son whisky, mais également pour ses fantômes ; la distillerie Glen Scotia en abriterait un dans ses murs : il s’agirait de celui d’un ancien propriétaire, Duncan McCallim, qui se suicida en 1930 en se jetant dans le loch après avoir perdu une importante somme d’argent. Fondée en 1832, la distillerie connut une existence paisible tout au long du XIXème siècle, mais la distillation fut interrompue en 1984 avant le rachat de Glen Scotia par Gibson International, un groupe de distillateurs canadien. Après une nouvelle mise en sommeil, la distillerie reprit ses activités en 1996 sous la houlette de Loch Lomond Distillery Co. Ltd. qui modernisa l’appareil de production ; les bâtiments ont néanmoins su garder un petit air victorien, la salle de distillation passant même pour être d’origine. Un atelier de tonnellerie est toujours présent à Glen Scotia comme l’attestent les outils présentés en exposition aux visiteurs.

André 82%
Vanille française, crème soda dégazéifié, sucre. Bouche trop liquide, légèrement aqueuse. En bouche, il affiche trop de retenue et ne sait pas se relever, surtout en finale où il s’effondre littéralement sur lui-même dans de fades notes herbeuses aux accents maritimes timidement salées .

RV 84%
Whisky déjeuner aux allures de céréales à couleurs pas très naturelles. Le nez au style Balvenie, de grain mielleux et de crème soda fait que je ne m’attend pas à être challengé par la bouche. Celle-ci se décline de manière limpide, très fruité et sucré, à quelque part entre le Mekong et le Balvenie. Enfin, la finale poussiéreuse et sucrée termine l’expérience de manière représentative de l’ensemble.

Patrick 85%
Légère tourbe sale, adoucit par le miel et les grains. En bouche, l’arrivée est onctueuse, fumée et légèrement tourbée. La finale, d’une longueur moyenne, est marquée par la fumée et une touche de poussière. Toutefois, il gagnerait à avoir été embouteillé à un taux d’alcool plus élevé. Une belle trouvaille, d’une distillerie qui gagnerait à être connue, ce qui lui donnerait peut être le courage de créer une version plus virile de ses scotchs.

Longrow 14 ans 1992 Sherry Cask Finish

46% alc./vol.

André 88%
Écorce de pin, fumé et tourbé. Très agréable et apaisant. Un scotch à prendre sur une grosse chaise au coin du feu de foyer? Mais quel malheur, difficile à trouver car produit une seule fois par année à la distillerie Springbank.

RV 88%
Peat vert, écorces de pin.

Patrick 90%
Peat vert au nez; Fumée; Ca c’est pourquoi j’aime le whisky! Me rappelle le Connemara Peated, mais en plus mature!