Game of Thrones Johnnie Walker – A Song of Fire

40.8% alc./vol.

André 78%
Sur les grains de céréales à la cannelle, le poivre et les oranges trempées dans le caramel. La tourbe de Caol Ila est loin au nord, melon au miel, poires et ananas, oranges, fruits rouges séchés, la tourbe et la cannelle poivrée sont plus présentes en bouche qu’au nez. Texture sucrée, presque artificielle, plus consistante que dans le Ice mais c’est pas le gros char… Finale sur la cannelle, on dirait presque une boisson aromatisée, sucrée puis poivrée et tourbée.

Patrick 88%
Le Johnnie Walker que je voudrais avoir à la maison, pour pouvoir prendre quelques heures pour l’évaluer comme il faut tellement il est complexe! Nez : Du beau xérès chaleureux, avec des fruits mûrs, du caramel un peu trop sucré et de la vanille. Mais c’est quand même appétissant. Bouche : Du xérès chaleureux, du bois épicé, une touche de vanille et de caramel, le tout porté par un beau whisky de grain crémeux. Finale : D’une belle longueur et chaleureuse.

Martin 83.5%
Nez: Grain et caramel, plus feutré et doux que le Song of Ice. Poires, oranges et légère tourbe. Bois sec et fruits rouges bien goulus. Bouche: Jus de raisin, texture un peu plus plaisante, même si on est loin du succès. Mais comparé au Song of Ice, on est quand même sur une pente montante. Chêne et cassonade, le grain est toujours au coeur du blend, mais on aime bien surfer ses saveurs de vanille et de cannelle. Finale: Courte, mais forte sur le grain et le bois, ave on dirait même quelques ressemblances avec un whisky canadien. Équilibre: Bien des lacunes, dont la première est de miser sur une franchise en perte de vitesse comme Game of Thrones. On est quand même un échelon au-dessus de son jumeau le Song of Ice.

Game of Thrones Johnnie Walker – A Song of Ice

40.2% alc./vol.

André 75%
Nez muet mis à part la vanille, le miel, les oranges sanguines lointaines et du sucre à glacer. Même après 10 minutes à aérer, rien à faire, c’est plat niveau saveurs et platte (tout court) au nez. La bouche est disparate et diluée un max, aucune structure aux saveurs qui sont déjà pauvres. Si Clynelish a servi à la base de ce whisky, le côté waxy de la distillerie n’est pas de ce dernier épisode. Céréales séchées sucrées, miel et vanille, lointain xérès, pommes poires, oranges… Je dois sérieusement creuser pour trouver. Finale courte, diluée et flat, sauf pour une rétro-olfaction de cannelle éventée et une sensation bizarre tannique passagère. Ça fait penser au dernier épisode de la série qui s’est terminé en queue de poisson.

Patrick 84%
Un Johnnie Walker qui gagnerait à joindre la gamme des “réguliers”. Nez : Le parfum d’un Johnnie Walker, mais dominé par les fruits tropicaux. Reste, la petite touche de fumée que j’aime tant dans les Johnnie est toujours là! Bouche : Des fruits tropicaux intenses, des épices, du bois, de la vanille et une touche de fumée. Finale : D’une belle longueur, marquée par la douceur du whisky de grain, et par les agrumes du scotch.

Martin 80.5%
Nez: Léger new make et alcool de grain. Orange, malt et sucre en poudre. Vanille royale. Assez quelconque. Plat et avec bien peu d’intérêt. On mise sur la gimmick Game of Thrones encore, mais on ne performe guère mieux que le White Walker. Bouche: Caramel, sucre en poudre, fruits tropicaux, vanille et chêne humide. Le grain transparaît tous azimuts. Épices et acétone. Bof. Finale: Courte et sèche, le grain prend toute la scène, laissant bien peu de lumière aux autres éléments. Équilibre: Bien ordinaire, à l’image de la saison finale de Game of Thrones.

Compass Box The General

53.4% alc./vol.
Cuvée limitée à seulement 1698 bouteilles dans le monde, The General est un blend créé par John Glaser à partir de plusieurs assemblages de whiskies très âgés. Chacun des deux lots principaux était composé d’un mélange de single malts et de single grains dont la recette exacte avait été oubliée depuis des années. Un des blended est composé pour 2/3 de la recette de whiskies âgés de 40 ans, vieillis en ex-bourbon casks, achetés de Gordon MacPhails. L’autre tiers est un blended de 33 ans d’âge vieilli en ex-sherry butts. La seule chose qu’il était possible d’en dire avec certitude, c’est que ces premiers blends avaient été vieillis dans des fûts de chêne américain et des fûts de xérès. Après quelques semaines d’expérimentation, l’équipe de Compass Box a réussi à marier ces deux blends, pour en créer un troisième, plus complexe, plus riche et avec un caractère “antique”.

André 94%
Céréales au miel, citrouille, cerises et dattes, oranges, raisins secs, crème brûlée, cire d’abeille pour polir les meubles, abricots et poires. Hyper délicat et complexe. La texture en bouche est UNIQUE, juste WOW! Le bois est bien ressenti mais hyper bien dosé. Notes de coconut séché, de caramel et crème brûlée, de fruits secs – raisins, dattes, prunes, cerises, oranges, cire d’abeille, cassonnade, noix cuites au four, belles épices équilibrées dont le gingembre, la cannelle et le poivre. Les notes de chêne sont sublimes et montrent bien que le whisky s’est tissé serré pendant de longues décennies avec le fût. Longue finale toute en douceur, un peu tannique avec un fort retour sur le vieux xérès costaud mais distingué. Exquis, simplement.

Mackinlay’s Shackleton Rare Old Blended Malt Scotch Whisky

40% alc./vol.
Version plébéienne du blend de l’Antarctique reproduit par Richard Paterson en 2013

Patrick 84%
Un bon blend, mais étant à des lieues du Mackinlay, plutôt décevant. Bref, je n’aurai pas de misère à vider ma bouteille, mais on ne me reprendra pas à en acheter une autre! Nez : Parfum marqué par le whisky de grain, du chêne, des fruits délicats et une touche de fumée discrète. Bouche : Une belle fumée de tourbe évanescente, du chêne, des fruits délicats et de discrètes épices. Le tout paraît relativement jeune. Finale : D’une longueur moyenne, un peu fumée et épicée.

Martin 83%
Nez: Arômes mélangés de grains et d’orge, de bourbon et de xérès, un vrai de vrai blend quoi. Légère fumée qui tente de percer, juste assez pour garder le cap sur un profil typique de scotch. Un peu de fruits, un peu d’herbe. J’avoue que j’aime bien. Bouche: Fruits juteux et tourbe fraîche. Un peu jeune au goût, mais pas trop déplaisant. Sa texture pourrait être plus poussée par contre. Finale: Beaucoup plus tourbée que ce à quoi je m’attendais. Bois, fumée, orge, grain et fruits rouges. Équilibre: Si le pari était de rendre le blend de l’antarctique abordable, c’est réussi. Facile d’approche? Je ne sais pas, l’original avait plus de caractère. Celui-ci? À son prix, je peux difficilement me plaindre, mais je peux aussi boire autre chose.

Famous Grouse Ruby Cask

40% alc./vol.
Originalement UK exclusive, maintenant disponible aux USA.

Martin 83.5%
Nez: Vent de céréales, de fruits rouges et de caramel salé. Le porto tant attendu se fait timide, sûrement dû au fait que c’est des port-seasoned casks, et non pas d’authentiques port pipes. Il y a quand même un petit quelque chose de bien ici, qui élève la classique gélinotte huppée à un autre niveau. Bouche: On sent ici une tentative de texture. On y est presque. Épices, gâteau aux fruits, vanille et chêne. Les saveurs sont fortes, mais un peu moins bien balancées que je ne l’aurais souhaité. Comme s’il fallait tout nous servir le plus rapidement possible, un peu comme si au restaurant on vous apportait le plat principal alors que vous n’avez pas encore fini votre entrée. Finale: Boisée et épicée, on termine dans une élégance précaire avec les fruits rouges, le vin et le caramel. Équilibre: Malgré que l’effort de vouloir en mettre plein la vue est très senti, voire même forcé, je ne peux pas trop en vouloir au producteur quand je vois des blends comme ça essayer de se démarquer.

Jim McEwan’s Symphony No.01 Blended Scotch Whisky

46% alc./vol.

André 49%
Non, je n’ai pas fait erreur et inversé le 9 et le 4… J’imagine que lorsque que tu picole un peu trop lors de la création de ton blend pis que tu donnes le ok pour embouteiller tel quel c’est ça que ça donne. Ce whisky peut servir pour éduquer les amateurs de whisky, pour leur montrer ce qu’est un mauvais whisky et aussi afin de démontrer que même les gens les plus expérimentés de l’industrie ont leur période sombre. Le nez n’est pas vraiment agréable et c’est difficile de passer outre les effluves d’alcool cheap et de quelque chose qui est presque vinaigré. Céréales aux noix et miel, gâteau aux fruits laissé sur le comptoir rendu bien sec, notes d’oranges trempées dans le caramel aussi. On dirait un whisky de grain cheapette. En bouche, grosses céréales maltées, fond de fruits secs (fond étant le bon mot). Sérieux même mon cerveau se demande si le Johnny Walker Red Label est meilleur que ça. Je me dis que peut-être à le laisser dans le verre plus longtemps aiderait mais, non, peine perdue. L’auto-torture continue et je reprends une autre gorgée… et là, j’ai une bonne dose de sel de mer et de souffre qui apparait par dessus les céréales et les fruits secs. Un vin rouge qui a mal tourné? Seule chose qui change au nez à l’aération est que les notes de toffee et de caramel prennent de plus en plus d’importance. En bouche, ce sont les notes de souffre qui sont maintenant plus évidentes. La finale est malheureusement trop longue, fruits, caramel et céréales. Je n’ai pas souvenir d’avoir jeté un verre de whisky qui apposait la signature de McEwan. C’est chose faite.

Patrick 69%
Un whisky qui était peut-être bon à quelque part… Puis on a utilisé un mauvais fût, un mauvais bouchon ou autre… Nez : Ça commence par des fruits, du caramel, des noix… Puis une touche de vinaigre. Bouche : Pfff, du bois, des épices, des fruits et… Du vomi de bébé. Finale : Trop longue. Le vomi s’étire.

Martin 71%
Nez: Un grain acéré malhabile nous accueille, avec des vagues de fruits et de caramel. Un peu de vin au bout de l’expérience, mais rien de bien excitant. Bouche: Le grain acide, suivi de sucre et de fruits, touche de chêne pour ensuite qu’on se perde dans un torrent d’épices mal contrôlé. Finale: Longue, portée dur des notes de bois, de soufre, de cuivre, le tout qui se noie encore dans l’intensité des épices. Équilibre: Ce n’est pas très très bon. Je ne serai pas aussi peu dithyrambique que mes acolytes, mais je crois que le pas entre un whisky de Jim McEwan et le verre que je tiens à la main demeure une distance irréconciliable.

Black Bottle 15 ans

43% alc./vol.

André 86%
Quel bon blend qui fait preuve de complexité et de réserve dans sa présentation. Le nez est doux, fruité et floral avec une touche maritime, beaucoup de miel et de vanille, influences du fût de bourbon, puis de fruits sauvages séchés et d’un peu de fumée de tourbe discrète et de noix grillées. Le nez est hyper onctueux même si l’on détecte de bonnes notes céréalées au nez. Le miel me fait penser à celui d’Highland Park, ce côté de miel de fleur hyper doux et collant au bon taux de sucre. La bouche ne trahit pas l’annonce du nez, une texture divine, crémeuse et sucrée au miel, puis un mélange de fruits séchés fumés au bois de cerisier. On a aussi droit à un accent maritime salé et de galets séchés au soleil en finale de bouche qui assèche la bouche, la texture en est d’ailleurs victime et le whisky s’affadit rapidement en finale de bouche. Un bon blend, très easy going, de belle conception et agréable à savourer.

Patrick 89%
C’est un bon scotch ça! Un beau blend tourbé tout en balance et en équilibre. J’aime! Nez : Beau parfum de fumée de tourbe, avec des fleurs, du sel et un peu de vanille. Alléchant. Bouche : Une belle fumée de tourbe bien mesurée, avec quelques fleurs, un peu de caramel et de belles épices. Finale : D’une longueur moyenne, épicée et fumée.

Martin 88.5%
Nez: C’est parti! Malt grillé, miel et fleurs. Quelques fruits tropicaux accompagnés d’une infime fumée douce. Caramel salé? Bouche: Miel et tourbe, sel et vanille. Touche de cuir et de raisins juteux. Finale: Épicée et boisée, cette finale pourrait perdurer un peu plus. La fumée se fait de plus en plus présente. Équilibre: Un super beau blend avec un bel ensemble de saveurs. L’intensité y est, même que je suis surpris de son âge, je me serais attendu à plus subtil de la part d’un 15 ans d’âge.

Big Peat 10 ans Limited Edition

46% alc./vol.
En 2009, nous faisions la connaissance de ce pêcheur d’Islay au style unique. Big Peat, le premier whisky de la gamme Remarkable Regional Malts embouteillé par Douglas Laing fête son 10ème anniversaire. Inspiré par l’univers du « scrap booking » ce nouvel embouteillage nous offre un design commémoratif de l’Ile d’Islay.

André 88%
Quel nez! Tourbe intense et terre mouillée, sel de mer et poivre concassé, vanille, enbruns maritimes provenant de la mer déchainée. En bouche, la tourbe, même si bien définie est plus ronde et approchable que les édition précédentes, l’effet du vieilissement plus long probablement. Accents maritimes, cendre de foyer refroidie, lime et citron, terre mouillée, gras de viande cuite sur le BBQ coulant sur les grilles, une touche de poivre et de réglisse noire, pommes vertes, ananas, noix grillées. Bel équilibre général et une texture qui contredit la relatice jeunesse du whisky. Belle longue finale cendreuse et tourbée, maritime et salée. Un bon dram de soirées d’hiver pas trop glaciales.

Patrick 90%
On ne se trompe pas avec un Big Peat! Le 10 ans le rends simplement plus raffiné, en autant qu’on puisse utiliser une telle expression pour un Big Peat! Nez : Fumée de tourbe fraîche et intense à la fois, avec des notes herbeuses, de poivre, du créosote et une bonne dose d’air marin. Bouche : D’une superbe intensité, avec de la fraîche fumée de tourbe poivrée et salée, avec une touche d’herbe et de créosote. Finale : D’une belle longueur fumée et salée.

Martin 90%
Nez: Tourbe gazonnée et citronée. Sel de mer, algues, poivre noir et terre mouillée. Quelques volutes de vanille et d’orge viennent complémenter le moment. Bouche: Tourbe, citron, pierre, eau de mer, herbe et terre. Vanille, bois et poivre. Beaucoup de saveurs à première vue contrastées, mais qui s’accordent ici à merveille. Finale: Longue, tourbée, fumée, mais avec une bonne dose de poivre, de sel, de gazon, de citron et de bois sucré. Équilibre: Un tout bien ficelé, avec un taux d’alcool qui n’étouffe pas ses saveurs dans un oubli épicé, à la hauteur du 10e anniversaire de ce blend maintenant légendaire.

Timorous Beastie 12 ans Cask Strength

54.4% alc./vol.
Timorous Beastie 12 ans CS est une édition limitée du célèbre blended malt, embouteillée à son degré naturel et soigneusement élaborée à partir de fûts sélectionnés de single malts des Highlands. Ce premier batch est embouteillé à 54.4% sans coloration ni filtration à froid. Vieilli en ex-fûts de Bourbon, Édition limitée de 3000 bouteilles.

André 86%
Noix cuites au four trempées dans le miel, poires nannpées de crème vanillée, céréales maltées, pommes vertes, caramel, chocolat noir et une touche citronnée. Bien que variées, les saveurs penchent beaucoup dans le même coin du spectre aromatique. L’atout majeur de ce whisky c’est sa texture en bouche, de très haute qualité, hyper huileuse et qui nappe la bouche en préservant de la morsure d’alcool. En bouche, j’ai maintenant des notes d’herbe séché qui s’ajoutent aux saveurs de miel, d’oranges, poires, de vanille, caramel et de citron. Une fois la barrière huileuse transpercée par l’alcool, celle-ci picotte un peu partout en bouche et s’accompagne d’épices et de poivre. Finale poivrée, acérée et alcoolisée, herbe séchées et citron.

Patrick 87%
Un très bon whisky, mais étant fan du Timourous régulier, je m’attendais à beaucoup plus. Enfin, j’aime quand même, surtout si je considère la vitesse à laquelle la bouteille se vide. Nez : Orge et épices, avec une touche de sucre rappelant des guimauves et une petite pointe fruitée des plus subtiles. Bouche : Sucre d’orge accompagné d’une tonne d’épices, de miel, de noix et de fruits mûrs et subtils. L’ensemble, quoique complexe, est dominé par les épices du bois. Finale : D’une longueur moyenne, marquée par le sucre et les épices.

Martin 86%
Nez: Malt grillé, miel et amandes. J’aurais pu aussi dire Cheerios au miel et aux noix. Pommes, caramel et vanille. Plus de fleurs que de fruits, ce qui m’étonne un peu quand je pense au Beastie original. Quand même solide. Bouche: Caramel et confiture de framboise. Miel et poivre rose. Raisins juteux et bois de chêne. Pelure d’orange et cacao. Petit cuir fumé nous rappelant à qui on a affaire. Finale: Bien qu’on sache que c’est un embouteillage cask strength, la morsure d’alcool se fait plus timide qu’anticipé. Belles vagues de raisin, de bois et de poivre. Orange et chocolat au lait. Équilibre: Je ne serais pas prêt à dire que cette version brute dépasse vraiment l’expérience de la version à 46.8%, mais on ne peut pas vraiment chialer, une mention d’âge et quelques degrés d’alcool de plus. Je ne refuse pas un verre de la sorte.

Big Peat Fèis Ìle 2019 Edition

48% alc./vol.
Édition limitée de 3300 bouteilles composée de single malts provenant des distilleries Ardbeg, Bowmore, Caol Ila and Port Ellen, fermée en 1983. Cet embouteillage commémoratif présent le visage de 400 Big Peat’s « Pals » (Copains de Big Peat) du monde entier, après que les fans de la marque ont déposé leur selfie en ligne via un concours sur le site de Douglas Laing.

André 87%
Influences maritimes affirmées, sel de mer et filets de pêche séchant près du quai, pitch à toiture, feu de foyer allumé avec des bûches encore mouillées qui dégage de bonnes salves de fumée grasse. Après ce nez attrayant, on attend beaucoup de la bouche qui déçoit rapidement avec sa texture diluée. Bonnes saveurs de citron frais pressé et une fraicheur attrayante, tourbe verdâtre et cendre de feu refroidit au matin, aspect médicinal, varech, sac de jute, agrumes. Finale un peu courte au départ mais qui gagne en longueur à chaque gorgée supplémentaire. Feu de camp, varech, sel de mer et tourbe verdâtre camphrée. Un bon dram de semaine qui manque un peu de torque.

Patrick 89%
Oh que c’est bon ça! Riche et complexe, porté par une belle texture. Une belle bouteille de plaisir liquide. Nez : Fumée de tourbe intense, avec une bonne dose d’huile à moteur et des agrumes. Bouche : De la belle fumée de tourbe, du bois épicé, de l’huile à moteur, du poivre et un peu d’agrumes. Finale : D’une belle longueur, fumée et poivrée.