46% alc./vol.
Entre janvier 1995 et mai 2001, on a distillé pendant seulement 6 semaines à la distillerie, les bouteilles de cette période ne sont donc pas légion. Le Oloroso 98 est une des très rares embouteillages des distillations de 1998. Édition limitée à 9000 bouteilles.
André 88.5%
Oranges, abricots et pêches, mélange de feuilles vertes et de raisins. Très frais au nez, tout en simplicité. Ressemble plus à un single malt des Highlands qu’un Islay. L’arrivée est inoffensive mais l’explosion qui se développe en bouche par la suite est inattendue et surprenante. La finale est tout en chocolat à la menthe légèrement chauffé.
Patrick 88%
Nez marin, fruité… Comme si on mangeait une compote de fruit sur une plage d’Islay. Arrivée plutôt délicate et fruitée rapidement suivie par un crescendo de sel et de fumée. Touche épicée de bourbon en finale qui complète très bien le tout. Très bien équilibré, c’est définitivement ce qui le démarque… Belle démarche au niveau du choix du fut.
Martin 89%
Nez: Vanille et xérès, chocolat noir et raisins secs. Poivrée et clou de girofle sur lit de fruits rouges. Très appétissant. Bouche: Miel, vanille et eau d’érable à l’arrivée, suivi de petits fruits séchés, de pain d’épice et de dattes. Le fût de sherry vient ici indéniablement prêter son influence irrésistible. Finale: Miel et chocolat noir sont les piliers de la finale, sur lesquels reposent des notes de chêne, de poivre et de cannelle. Équilibre: Un autre tir de précision pour Bruichladdich, bonifié par l’utilisation maîtrisée du fût Oloroso.
RV 81.5%
Tourbe et épices sucrées, plus suave et velours en texture, avec une touche d’ivoire de piano. Arrivée de bois, puis un genre de porto vraiment pas à mon goût vient casser la mélodie. Le bridge d’avant-finale est discordant et semble très mal tuné, mais le breakdown de tourbe douce avant la finale vient étire le son vers une finale plus élégante. Mais le souvenir de la fausse note subsiste une fois la toune terminée.