50% alc./vol.
8 ans. Vieilli en ex-American whiskey casks don’t 25% sera affine en Pessac-Léognan wine casks.
André 89%
Savoureux whisky alliant force et complexité. Nez d’oranges sanguines et d’abricot, de miel chaud, de fumée de tourbe crasseuse et terreuse. L’effet des wine cask est bien statué en bouche; cerises, framboises et raisins secs, dattes, terreau humide, caramel, sel de mer, oranges, abricots, chocolat noir, fumée crasseuse et industrielle. La texture est divinement moelleuse, légèrement tannique et terreuse. La finale est douce mais longue, très poivrée, minérale, maritime et parsemée de fruits rouges séchés, de forte fumée de tourbe et de chocolat noir.
Patrick 87%
Un whisky qui m’a déçu les premières fois que j’y ai goûté. J’ai ensuite oublié la bouteille quelques mois et aujourd’hui, en écrivant mon évaluation, je retrouve, à ma grande surprise, un très bon scotch! Nez: Fumée de tourbe, orge et une touche de vanille sucrée. Puis, après quelques secondes, s’y ajoute un peu de cendre de feu de camp. Bouche : De la fumée de tourbe adoucie par de la vanille sucrée et du beau bois sec. Finale: D’une belle longueur, fumée, épicée et chaleureuse, avec une subtile note sucrée. 2e tasting: 83% : Un bon scotch d’une belle intensité, mais sans feu d’artifice non plus. Nez : De la grosse fumée de tourbe, ou plutôt de l’orge fumé, de la cendre et… Un peu de carton mouillé. Bouche : De la fumée de tourbe, du poivre et du chêne sec. L’ensemble est assez chaleureux mais la texture n’est pas impressionnante pour un whisky à 50% d’alcool. Finale : D’une longueur moyenne, fumée et boisée.
Martin 88%
Nez: Tourbe bien sûr, mais enrobée de vanille et de fruits sucrés. Un petit côté herbeux et cendré s’ajoute plus on y prend son temps. Bouche: Tourbe verte, vanille, sucre en poudre. Touche de poivre, de cannelle, de citron et de pierre lavée par l’eau de mer. Finale: Bien soutenue, avec des notes de cendre, de tourbe, de vanille et de poivre blanc. La texture s’essouffle un peu en fin de parcours. Équilibre: Un bien bon dram, un peu fumé peut-être pour certains, bien qu‘il faut avouer que Bruichladdich connait bien son public cible.