50% alc./vol.
Distillé en 1999 et embouteillé en 2008, tourbé à 4PPM, vieillissement en fûts de sherry.
André 81%
Bois sec et whisky de grain, miel, cire, amandes grillées, toffee. Arrivée sèche puis mielleuse, pâte d’amande puis bonne poussée de sherry. Accrocs dans la balance en bouche, un peu d’ambivalence et ensemble mal défini. Finale épineuse et rêche, asséchée par l’alcool que même les notes de miel et de sherry ne réussissent pas à contrebalancer.
RV 81%
Ce champ n’est ni doré, ni une terre promise, mais plutôt le coin de terrain difficilement exploitable qu’on laisse au dernier de famille. Généraliste Speyside entre pré d’herbe et fabrique de mélasse. Au niveau papilles, le caramel est bizarre, calme, avec des allures de Glendronach. Par contre le whisky se conclut de manière tristement morne, cette fois-ci à mi-chemin entre les whiskies des Lowlands et les blends ordinaires.
Patrick 77%
Nez marqué par un fruit bizarre et trop mûr. Ca pue un peu en fait. En bouche, on devine une finition en ex-fûts de vins un peu trop longue. On sent un côté d’herbe coupée, humide et qui a commencé à se décomposer légèrement. La texture est très douce en bouche, ce qui est une belle surprise compte tenu du taux d’alcool. La finale s’étire longuement sur le vin et l’herbe en décomposition. Pas d’erreur majeure, simplement pas dans ma palette de goût. Quelqu’un veut finir mon verre?