45% alc./vol.
Vieilli dans des fût de bourbon de premier remplissage, Benromach 2005 Hermitage a ensuite été affiné pendant 27 mois dans des fûts de vin ayant contenu la prestigieuse Appellation d’Origine Contrôlée Hermitage. Edition limitée à 4200 bouteilles.
André 79.5%
Savoureux nez, très influence par le cask finish de vin bien annoncée par sa couleur très particulière, cuivrée et rougeâtre. Nez fruité et vineux, mélange de vanille nappée de caramel. Bol de fruits rouges, chocolat noir un peu amer. La bouche est un peu tannique, puissante sur les fruits rouges mais nuancé par de belles épices, surtout la cannelle. Poires passées à la poêle, cerises noires, pommes rouges, chocolat. Léger déséquilibre au niveau texture où les effets du cask finish sont peut-être un peu trop ressentis. La finale offre de belles cosses d’oranges accompagnées de notes de chocolat. Quelques sursauts de cannelle et une touche de poivre ferme la finale un peu abruptement. Rétro-olfaction de fine tourbe avec notes de sherry chloré pas très agréables. Un bon dram, débalancé par le cask finish trop présent.
Patrick 78%
Un presque-bon whisky où la finale vient tout ruiner. Dommage, c’était bien parti. Nez : Savoureux parfum où le vin domine agréablement avec un beau fruité et un succulent sucre caramélisé. Bouche : Ici encore, le vin domine et procure une sensation très tannique à l’ensemble. Le tout est accompagné de quelques notes de bois brûlé et de chocolat noir. Finale : C’est malheureusement ici que ça se gâte, avec une finale marquée par le chlore et le soufre.
Martin 83%
Cuivre riche, presque de l’huile à trompette. Nez: Orge grillée, toffee brûlé, cuir et raisins secs. Overdose de riche et onctueux vin fortifié. Dattes, figues et pruneaux. Bouche: Texture fade, mais qui laisse place à des seveurs de chêne, de raisin rouge, de musc et de cuir tanné. Caramel, poivre et toffee anglais. Finale: Fumée, cuir, tabac en feuille, muscade et poivre rose. Équilibre: Impossible de manquer l’affinage. Le nez est exceptionnel, mais on dirait qu’on nous en force presque trop dans la gorge avec le reste.