47.8% alc./vol.
Bottle #1, First Fill Bourbon Cask.
André 94.5%
Une de mes éditions préférées en SAQ, pas donné pour un 12 ans, mais une valeur sure à ne pas négliger. Si une des éditions Balvenie peut se targuer d’être la plus authentique, cette version gagne la palme haut la main. Suggestion; une dégustation 12 ans DoubleWood side by side avec le single cask 12 ans bourbon et 15 ans sherry et ça sera l’illumination de comprendre la conception et l’apport de chaque fût dans la réalisation des assemblages. Nez très attrayant, sucré avec exubérance, céréales Sugar Crisp, vanille et crème brûlée, oranges, céréales mouillées, pommes rouges, un trait d’épices, petit accent de bois brûlé, miel, caramel, noix de coco râpée, ananas, et bananes en purée. Les saveurs fusionnent littéralement en bouche et travaillent ensemble de façon magistrale. Cellic-ci offre un bon kick d’alcool, juste assez puissant qui coupe un peu les saveurs uniformes qui reprennent rapidement le dessus après quelques secondes en bouche. Mélange de purée de pommes, caramel, coconut, ananas, oranges, bananes, café au lait, miel, vanille, épices et céréales. Longue finale un peu oaky et épicée où le taux d’alcool est un peu plus présent. Un délice du nez à la finale. Buy, buy, buy! Pendu au verre pendant plus d’une heure…
Patrick 84%
Un whisky relativement complexe, mais dont la subtilité est noyée dans l’alcool. Oui, oui, oui, je sais, je sais! Habituellement, je pourfend les whiskys trop dilués, mais ici, nope. Trop fort en alcool. Ou peut-être est-ce juste un whisky trop délicat. Nez : Sucré, miel, crème brûlée, noix de coco et bananes. L’ensemble est sucré, fruité et léger. Bouche : Du beau chêne, du miel, de l’ananas, des bananes et des épices. Et surtout, l’alcool semble beaucoup plus fort que 47.8%! Finale : D’une belle longueur, sucrée et épicée.
Martin 85.5%
Nez: Crème champêtre, pommes, miel et fleurs. Touche de malt grillé, de crème brûlée à la vanille et de bois. À peine fumé. Le taux d’alcool à presque 50% ne se montre pas le bout du nez. Bouche: Raisins verts et rouges, xérès, agrumes et chêne. Les épices ici se manifestent un peu plus intensément. Le bois gorgé de xérès relâche une pointe d’acétone qui rend un bout de cette expérience un peu décevante. Finale: Fortes notes de cannelle, de bois et de vernis. Les épices et le xérès tentent un peu de sauver la mise, mais trop peu trop tard. La chaleur et la longueur sont toutefois au rendez-vous. Équilibre: Je ne sais pas si c’est son degré d’alcool, mais on dirait que sa puissance vient le déséquilibrer un peu et lui offre quelques notes off-key.