Mortlach 14 ans Travel Retail Exclusive

43.4% alc./vol.
Maturation en Refill Bourbon & Ex-Sherry Casks.

André 86%
On a pas mal tous une mauvaise impression par rapport aux embouteillages duty-free, du style que ça sert à passer du stock bas de gamme et je dois avouer qu’au fil des années, j’ai pu constater que c’était souvent le cas à quelques exceptions près. Cet embouteillage fait mentir cette impression et offre une solide qualité. Nez; Viande rouge avec sauce caramélisée et flocons de chocolats à l’orange, une pincée de gingembre, crumble aux pommes, sherry, cannelle. La bouche est onctueuse, beaucoup de notes de caramel et d’oranges, encore la compote de pommes et la viande marinée bien cuite, chocolat, sherry épicé, cannelle et poivre. Je trouve les épices de cette version plus affirmées que dans le 15 ans de GM. Longue finale, bien relevée par l’anis, la cannelle et le gingembre et les notes de fruits rouges.

Patrick 91%
Mortlach fait mentir la règle qui veut que les distilleries passent leur mauvais stock dans les aéroports. Un excellent whisky, avec tout ce que j’attends de cette distillerie. Nez : Un riche xérès chaleureux, avec la petite note de viande rouge bien cuite typique de Mortlach et des oranges subtiles. Bouche : Des oranges, du xérès, toujours la viande rouge et de belles épices savoureuses. Finale : D’une superbe longueur, avec du sucre, des épices, des fruits mûrs et plein de bonheur!

Mortlach 16 ans

43.4% alc./vol.

André 89%
Cosses d’oranges roulées dans le gingembre, sherry vieillot, léger accent de viande rouge sur le bbq typique, raisins secs. Superbe texture en bouche, liquide mais qui a du corps du côté des saveurs; chocolat au lait, fruits secs, raisins, prunes, cerises, oranges, viande de bois, pelures de pommes rouges, caramel, appuyé par une cascade de gingembre et de poivre broyé ainsi que du toffee et du miel, une touche de réglisse peut-être aussi. Longue finale épicée plus sur la constance des saveurs que sur la force de celles-ci avec un brin d’effet tannique et terreux.

Patrick 93%
Oui, je suis vendu à Mortlach. Mais c’est justement une arme à double tranchant : la barre est haute! Nez : Un bon steak de viande des bois avec un coulis aux bleuets, clou de girofle et autres épices. Unique et appétissant. Bouche : Semblable à ce que j’ai détecté au nez, mais on a ajouté à l’ensemble un trait de caramel et une goutte de vanille. Finale : D’une belle longueur, sucrée et légèrement épicée.

Martin 89.5%
Nez: Malt grillé, xérès goulu, bois vineux. Raisins secs, chocolat au lait, vanille et pâte de fruits. Riche et alléchant. Un joyau du Speyside. Bouche: Texture un peu fade, mais on réussit à se rattraper avec la richesse des saveurs. Pelure d’orange, fruits mijotés, miel, épices et vin fortifié. Du bon jus comme on dit. Finale: Épices, surtout le gingembre, céréales et chêne. Cerises noires, caramel et dattes. Nuage de mokaccino. Équilibre: Solide expression de Mortlach, qui malgré son récent retour en piste ne cesse de nous épater.

Mortlach 18 ans

43.4% alc./vol.

André 86.5%
Signature du Mortlach, épices singulières baignant dans le toffee, cannelle, gingembre, terre mouillée, fruits séchés, vieux bois de chêne gorgé de sherry noble et rustique. La bouche est légèrement sèche, passablement épicée et l’amalgame de saveurs est très intéressant ; oranges, fruits séchés, toffee, et les épices du nez (cannelle et gingembre). En respirant, notes de morceaux de pommes trempées dans le chocolat fondu, café au lait. Superbe texture visqueuse sur fond d’épices, cela rappelle presque certains vieux bourbons américains avec un fond tannique et un peu sec. La finale est sèche, épicée mais offre de savoureuses notes de vieux sherry boisées. Un whisky savoureux mais un peu trop conservateur dans son approche.

Patrick 93%
Un extraordinaire whisky, parmi les plus complexes et bien balancé que j’aie jamais bu. Mortlach mérite bien sa réputation! Nez : Riche parfum de fruits mûrs, de chocolat et de cuir. Bouche : Superbe! Cuir, chêne brûlé, épices, fruits mûrs et chocolat. Tout y est, même une touche de miel et de caramel vers la finale. Finale : Longue, savoureuse, complexe et bien balancée.

Mortlach Rare Old

43.4% alc./vol.

André 83%
Nez attirant et doux; noix, caramel, orange et sherry, cannelle, gingembre. Les odeurs du nez se retrouveront aussi en bouche sans aucunes surprises, la texture est soyeuse et visqueuse, pleine de toffee et de caramel. Les épices ont plus de présence qu’au nez, le whisky est aussi plus sucré, avant que n’apparaissent un petit poivré jumelé de fruits secs et de sherry. Les épices se décuplent encore en finale et la douceur et la texture huileuse du whisky contraste fortement avec ses saveurs. La finale est moyennement longue, épicée et assaisonnée de fruits secs et de sherry. Un whisky prudent et conservateur, de belle conception mais aussi sans points forts.

Patrick 89%
Un très bon dram, très bien balancé. Idéal pour le lounge. Nez : Parfum opulent, avec des prunes fraiches et juteuses et une touche de noix et de caramel. Bouche : Toujours les fruits, mais aussi avec de belles notes épicées venant du chêne. Aussi, après quelques gorgées, on ne peut ignorer le goût de la viande rouge (cuisson medium!). Finale : D’une belle longueur, marquée par le chêne et le poivre.

Martin 85%
Belle robe riche et ambrée pour une entrée de gamme de distillerie. Nez: Orange et citron, rayon de miel et marguerite, figues et noisettes. Assez intéressant et attirant. Son fût de xérès ne fait pas de doute. Bouche: Texture chaude et huileuse. Miel et toffee, réglisse rouge et noire. Poivre noir, chêne et raisins. Très bon, mais garde tout de même un caractère un peu timide. Finale: Moyenne avec des pointes de caramel, de cuir, de cannelle et de fruits secs. Sherry. Équilibre: Un tram très appréciable, malgré qu’on dirait qu’il a été conçu comme une valeur sûre. Pourtant, 43.4% je n’appelle pas cela prendre des risques.

Mortlach Special Release 2023

58% alc./vol.

Patrick 94%
En exigeant un tel prix pour un whisky sans mention d’âge, mes attentes étaient élevées! Riche, savoureux, complexe, superbement équilibré. J’ai toujours été fan de Mortlach, et ce whisky ne fait que renforcer ce sentiment. Nez: OMG! Un parfum comme j’en ai rarement senti: Sublime, le mot est faible. Du melon, de la poire, du sucre et une note d’épices très subtile qui contribue à la balance du tout de manière magistrale. Bouche: Toujours la poire et le melon, servis sur une planche de chêne épicée, quelques gouttes de caramel et du sucre blanc. Le tout est porté par une superbe texture huileuse. Finale: D’une superbe longueur, débordante de fruits, de chêne et d’épices. D’une rare complexité.

Mortlach Special Strength

49% alc./vol.
Travel Retail Exclusive

André 90%
Unique comme nez et comme présentation, Mortlach est capable du meilleur et du pire mais ici, on a droit au tapis rouge et la place aux premières loges. Nez feutré mais à la puissance latente. Oranges, vanille, dattes et raisins secs, épices de bonne force, poivre concassé sur la viande de BBQ distinctive de la distillerie. La bouche est exquise, texture incroyablement soyeuse et grasse, poires et pêches, vanille, abricots et dattes, raisins secs, puis les pommes rouges, l’orange et encore les raisins séchés. La finale de bouche est robuste, beaucoup de poivre et de gingembre, astringence épicée recouvrant les fruits secs. Cette édition est la suite logique de Rare Old, pour amateurs de whisky plus musclé. La signature distinctive de la distillerie est évidente et le voyage au pays des saveurs nous amène dans des contrées peu visitées. Ceci étant dit, Mortlach est un single malt singulier qui ne plaira pas à tous, je ne le dis pas péjorativement ou en plaçant certains amateurs sur un piédestal mais disons que l’éventail de saveurs est un nay or yeah, c’est un whisky (dans son style) qui rappellera le Laphroaig; sans compromis, que l’on aime ou pas, mais qui ne laisse définitivement personne indifférent.

Patrick 93%
Unique et savoureux, à chaque fois que j’y goûte je suis incapable de me contenter d’un seul verre ! J’en abuserait facilement si cette bouteille était plus facile à dénicher. Pour amateurs raffinés et éclairés. Nez : Riches petits fruits rouges mûrs, pommes, prunes, vanille, noix et caramel. Complexe. Bouche : Bleuets et cerises bien mûrs, épices du bois, miel et toujours la saveur si unique de Mortlach, celle du steak, cuisson medium ! Finale : Longue, riche et intense, marquée pas un succulent xérès.

Martin 89%
Très riche et ambré. Nez : orge et miel, un peu de foin, un peu de vanille. Légère influence du sherry. Bouche : texture riche et soyeuse. Épices, raisins, céréales et xérès. Finale : assez chaude et longue, avec des notes de raisin, épices, chocolat noir. Encore un peu d’orge et de noix. Équilibre : une excellente bouteille de Mortlach, une distillerie dont les embouteillages officielles sont de plus en plus surprenants. Un NAS en plus.

Mossburn Island Cask Bill No1

46% alc./vol.
Blended Malt Whisky – Vieilli par trois types de bois différents, soient ex-whiskey américain, bois carbonisé et ex-bourbon. L’affinage final s’est effectué en foudre de 200 litres constitué de lattes de bois de chêne provenant de 1st fill bourbon casks ainsi que des têtes de fûts de chêne Européen.

André 87%
Wow, intéressant ce blended Malt. On dirait un mélange de Arran et de Caol Ila. Au départ, le nez est très orienté sur les fruits tropicaux, les poires, l’ananas, le jus de salade de fruits, une touche citronnée également. À l’aération, des notes de tourbe brute et industrielle émergent avec lourdeur, on a droit à un aspect maritime indéniable et des notes terreuses et grasses assez importantes. Sa faiblesse repose sur sa texture un peu trop fluide et sans aspect gras ou huileux sur lesquelles les saveurs s’accrochent afin d’aider à la longueur en bouche. Côté saveurs, notes de flocons de noix de coco séché, d’oranges, citrons, poires et ananas, vanille, miel, tourbe maritime grsse et terreuse qui ne monopolise par la bouche par contre. Finale sur les fruits tropicaux et la fumée de tourbe maritime. Une vraie belle surprise, autant pour les hardcore fans du style ou pour initier le neebie aux whiskies des Iles salins et tourbés.

Patrick 87%
Un très bon whisky, idéal pour ceux qui ne veulent pas se casser la tête : On y retrouve de la fumée de tourbe, du sel et des épices et pas grand-chose de plus en terme de complexité. Bref, comme rapport qualité / prix, il y a mieux, et la seule raison d’acheter ce produit est justement son prix, alors on repassera. Un achat que je regrette, mais que je n’aurai quand même pas de mal à passer. Nez : Fumée de tourbe évanescente, d’herbe mouillée, d’un peu de sel. L’ensemble paraît toutefois être assez jeune. Bouche : Une belle fumée de tourbe assez intense, du bois brûlé à profusion, de belles épices et un peu de sel. Finale : D’une belle longueur, avec de l’herbe jaune, de la fumée et une tonne d’épices.

Martin 86%
Nez: Belle petite tourbe au sommet, avec un peu de chêne et de fruits tropicaux. Un brin de sel marin accompagne le tout. Comme island blend, ça touche la cible. Bouche: Texture un peu moche, mais rachetée par des notes de citron, de tourbe et de bois. Épices, agrumes et herbe mouillée. Finale: Les saveurs précédentes essaient de s’accrocher, mais partent un peu trop vite, nous laissant avec un léger vide. Noix de coco. Équilibre: Pas mal mieux que le blend Speyside de cette même marque. La texture fade nous laisse peu de saveur en bouche, quoique je n’ose pas imaginer ce que ce whisky aurait goûté à 40% d’alcool.

Mossburn Speyside Cask Bill No2

46% alc./vol.
Blended Malt Whisky – Vieilli par trois types de bois différents, soient ex-whiskey américain, bois carbonisé et ex-xérès oloroso.

André 79%
Hyper générique comme whisky. Nez fruité et sucré, aspect céréalé aussi. Ananas nappé de crème à la vanilles, cosses d’oranges, céréales séchées, une infime touche de xérès bien lointaine, raisins secs. La bouche est ennuyeuse et les saveurs prévisibles car rappellent grandement le nez sauf pour la finale d’épices pétillantes et acérées. La texture est par contre agréable et livre une certaine onctuosité. J’ai l’image d’un biscuit au gruau fourré de fruits secs et d’ananas séchés saupoudré de cannelle, de miel aussi. Courte finale, sur les épices et les fruits secs.

Patrick 84%
Je suis déçu de mon achat. Ça va être facile à boire, mais pour le même prix, je sais qu’il y a beaucoup mieux. Bref, un bon whisky, mais je serais incapable de vous expliquer pourquoi vous devriez vous en acheter une bouteille. Nez : Le chêne carbonisé et le xérès font sentir rapidement leur présence, avec aussi des fleurs, des épices et une touche de miel. L’ensemble d’arômes cache tout de fois plus ou moins bien qu’il s’agit d’un scotch assez jeune. Bouche : Toujours le xérès et le bois brûlé en avant plan, avec une bonne dose de vanille et d’épices, une touche de fleurs et du miel bien discret. Finale : D’une belle longueur, marquée par le bois brûlé et les épices.

Martin 79%
Nez: Céréales et crème, malt doux, agrumes, chêne et touche de fruits. Vraiment rien d’impressionnant pour le moment. Bouche: Céréales douces, crème et vanille, un peu d’herbe et de bois. On voit ça arriver des milles à la ronde. Finale: Les mêmes saveurs fades et prévisibles continuent un peu ici, sur une longueur bien ordinaire. Équilibre: Un blend du Speyside d’une insignifiance flagrante. La seule chose qui me convainc qu’on essaie de faire des efforts c’est son embouteillage à 46%. Ce n’est malheureusement pas assez pour en justifier l’achat versus quelques bons single malts d’entrée de gamme.

Mount Everest Whisky

42.8% alc./vol.
Voici qu’il y a 15 ans déjà, la distillerie McClelland de Glasgow a produit les premières bouteilles du Mount Everest en collaboration avec la distillerie Shree de Katmandou.

André 71%
Nez de whisky de grain et d’alcool neutre. Dans le verre, il colle aux parois et donne l’impression que l’on s’apprête à boire une verre d’huile incolore. Nez très sucré (style Canadian whisky) mais sans grande personnalité, surtout axé sur l’apport d’alcool…C’est très « basic » comme whisky. La finale est elle aussi sur des notes de grains et de céréales. Aucune texture en bouche et on cherche une finale et un aftertaste digne de ce nom. L’allié idéal pour saouler les sherpas à pas cher. Une simple curiosité.

RV 77%
Non. Ce qu’il de plus poche dans le Glenmo nectar d’or, pain sucré pas désagréable mais sans plus, avec arrière goût de ciboulette. Ca sent le pas clean. En bouche, visqueux et suite dans le pain presque moisi mais sucre et finale à moitié entre mauvaise pâte à pain et mauvais whisky japonais. Rien de très manqué mais ca ne garantie pas le succès non plus.

Patrick 78%
Au nez, pain blanc sucré et mouillé. Touche de clou de girofle et d’oignons. En bouche, arrivée très sucrée, au point de le confondre avec un alcool de dessert, rappelant une imitation (trop) bon marché de sauternes. En rétro, rappelle pendant quelques instants un whisky canadien. La finale, très sucrée, est plutôt courte. Heureusement. Un peu trop sucré à mon goût, mais très original. A essayer pour sortir des sentiers battus, mais aussi pour nous rappeler pourquoi certains sentiers sont justement plus fréquentés.

Mount Gay XO

43% alc./vol.
Barbades. Reserve Cask Rum

Patrick 90%
Un superbe mélange de sucre et d’épices, d’une complexité un d’une balance incomparable. Mount Gay semble bien mériter sa réputation d’excellence. Nez : Parfum suave de caramel, touche de vanille, panier de fruits des champs et fond végétal subtil. Bouche : Chêne brûlé, caramel, poivre et quelques épices. Finale : D’une belle longueur et chaleureuse.