40% alc./vol.
André 76%
Seigle, canneberges et léger brûlé. En ventilant, ces mêmes arômes laissent rapidement la place à l’alcool qui domine un tapis d’épices. La bouche est nulle à chier, sauf le mélange de cerises et de compote d’orange jumelé au seigle très rêche. La finale, sèche, est aussi sans exubérance ni surprises.
RV 80%
Sait ce qu’il est et ne se prend pas pour un autre: Windsor est un canadien cheap au nez, avec plein de vanille et de caramel, rien de très fancy. Avec le temps, les agrumes émergent mais le rye demeure en puissance, or j’apprécie que son nez passe du ouash à bien correct. Si moelleux qu’on voudrait presque le croquer, avec un petit goût de noix de Grenoble. La finale est un tout en rye un peu aigre et l’aftertaste est très ordinaire. La bouteille en plastique et l’étiquette old style sont peut-être très ordinaires, mais au moins Windsor ne se vente pas d’être une grande marque ou d’être la plus reconnue contrairement au Schenley OFC à qui je le juge plus balancé, donc supérieur.
Patrick 60%
Au nez, vodka bon marché, vanille, caramel et agrumes. Au goût, eurk. Me fait penser à du new make de whisky de seigle et maïs qui aurait été vieilli quelques semaines… Finale de sucre de canne carbonisé. A éviter.