Glenrothes 27 ans 1979 The Centenary Distillation

56.6% alc./vol.
Single Cask #13459, bouteille 385 de 492.

André 92%
À cette couleur tellement foncée, pas de doute sur l’utilisation du fût de sherry que le nez confirmera avec force. Fruits séchés, pelures de dattes et de raisins, oranges très mûres. La bouche est douce mais puissante, saveur de cuir, de fruits et de vanille. Celle-ci est »bold », les fruits secs omniprésents, quelques épices éparses aussi, qui apparaitront progressivement en s’enroulant de toffee. La finale est longue et menée par le mélange fruité enrobés de toffee et soutenue par le taux d’alcool savamment dosé. Un superbe embouteillage, bien représentatif des éléments qui définissent bien la distillerie.

RV 91.5%
Vivre dans un château doit être merveilleux, une fois la facture acquittée et les corridors aérés. Au nez, il faut le laisser respirer un peu car à l’ouverture, la surpuissance du caramel brûlé a de quoi faire passablement peur. Après une bonne période d’oxygénation, les oranges sortent, encore couvertes de caramel brûlé. Sur la langue, enfin la marmelade d’orange explose, et le brûlé trop fort au nez est amadoué grandement par le chêne sec qui vient donner à l’exercice une splendide succession de saveurs d’orange et même de framboise d’automne (moins d’eau, plus de sucre) sur le bout de la langue. La finale, à la hauteur de l’âge, reste un peu trop sèche a mon gout, mais amène aussi des notes de cannelle. A 575$, c’est superbement meublé mais davantage une location qu’un achat, quoique par héritage…

Patrick 94%
Nez riche et suave faisant penser à une avalanche de fruits mûrs. Caramel, oranges , cigares, vanille… Un arôme quasi-tropical faisant penser à un vieux rhum! En bouche, une chaleur sublime, une sensation de pure jouissance! Les fruits se bousculent toujours pour notre attention, au travers des effluves de caramel chauffé, vanille orange et cigares! La finale s’étire looooongueeeemeeeeent pour notre plus grand plaisir. Quelle richesse, complexité… Définitivement un scotch tropical! Son coût plutôt salé le mettra probablement à l’écart de la plupart des bourses, et c’est bien dommage.

Glenrothes Alba Reserve

40% alc./vol.
Alors que Glenrothes utilise habituellement une combinaison de fût de de chêne ayant préalablement servi au sherry Espagnols et aux bourbons Américains. Les fûts de chêne blanc américain (Quercus Alba) qui ont été assemblés pour réaliser le Alba reserve avaient tous contenu au préalable du bourbon. Mais, ce n’est pas pour autant qu’elle renie ses origines, bien au contraire, elle les revendique haut et fort. En effet, Alba signifie Écosse en gaélique.

André 87%
Influence du fût de bourbon très présente, s’affirmant par la vanille crémeuse et les amandes accompagnées de ces belles notes fruitées (orange, abricot) et de sucre à la crème. Bouche mielleuse, onctueuse mais aussi étroitement liée avec le bois mouillé ou le brin de scie, coupée par une journée de pluie. Il y a aussi une apparition passagère et bizarre en bouche de type cendreuse ou de poussière mais qui s’éclipse rapidement. Finale de très belle longueur sur des arômes de miel, de vanille et de crème. Un Glenrothes hors-norme mais qui apporte aussi une belle latitude à cette distillerie qui nous offre habituellement des produits qui se ressemblent beaucoup au niveau des arômes, surtout celles des fruits distinctifs habituels à Glenrothes.

RV 86%
Abattre l’orge de manière ordonnée rend le grain encore plus agréable? Vive les moissonneuse-batteuse cachère! Un peu plus épicé que les autres Glenrothes, la poussière olfactive est aussi précédée d’un fruité de cerise. En bouche, l’ensemble est assez réglo avec du grain et du caramel mais quand arrive l’aftertaste, it’s oh so sweet. Le fruit de baies rouges et d’orange se poursuit assez longuement pour un whisky no age statement, qui parait d’ailleurs plus vieux qu’il ne l’est probablement. Une très belle bouteille de tous les jours: un verre lundi, mardi, mercredi, jeudi, 2 verres le vendredi (TGIF après tout)…

Patrick 84%
Fruits mûrs, noix de coco et vanille au nez, mais un peu fade. En bouche, l’arrivée est par contre très intense! Fruits, chêne, un peu de de sucre, beaucoup d’épices. Le tout est très bien équilibré, mais encore une fois, aurait gagné à être embouteillé à un plus fort taux d’alcool.

Glenrothes Bourbon Cask Reserve

40% alc./vol.

Patrick 82%
Un scotch exceptionnellement facile à boire, du moins pour les mateurs de caramel et de chocolat. Nez : Caramel intense avec une touche de bois. Pas très complexe, mais vraiment très sucré. Bouche : Caramel, chocolat et notes de bois brûlé et épicé. Mais surtout le chocolat en premier lieu, et ensuite le caramel. Finale : D’une belle longueur et boisée.

Martin 84%
Nez : jeune mélasse en fond de trame, ce qui n’est jamais de bonne augure. On essaie de se rattraper en surfant sur orge, fleurs blanches et vanille, mais une sorte de poussière de craie minérale nous retient les pieds. Un brin de citron. Bouche : caramel et citron. Orge et vanille. Fleurs et herbe. On marque beaucoup plus de points à cette étape, et ce malgré sa texture trop aqueuse. Finale : courte, mais baignant dans le miel, les fleurs, les épices et la vanille. Équilibre : le fût de bourbon est un beau traitement pour ce Glenrothes, mais je ne peux m’empêcher de penser que ce scotch aurait été meilleur à 43 ou 46 % d’alcool.

Glenrothes Minister’s Reserve

43% alc./vol.
Édition disponible seulement en boutique hors-taxes. Fruits d’un assemblage contenant une grande poroportion de Spanish Oloroso Sherry Cask ayant vieilli pour une période minimale de 21 ans.

André 90%
J’ai toujours adoré les anciennes versions très sherry de Glenrothes et de voir cette distillerie rester dans l’ombre de Macallan m’a toujours aussi désolé. Bien que leurs dernières parutions sont dans l’ensemble décevante, on peut trouver encore des surprises telle que celle-ci sur la marché, dans les duty-free de surcroit, souvent boudé par les Whisky Lovers. Nez : Raisins secs, cassonnade et caramel, abricots, cerises noires, oranges, fruits secs, une touche de cannelle et de réglisse aussi. L’ensemble est very thick et intense, presque noble dans l’approche. La bouche est costaude, bien relevée par épices, pâte de fruits, raisins et dattes, chocolat au lait, cosses d’oranges, cerises noires. Belle texture collante onctueuse, chocolat au poivre et cannelle, pommes rouges, gâteau aux fruits, caramel brûlé. Finale pâteuse, café au lait et biscuits aux fruits secs, une pincée de poivre et de la cannelle ainsi que de la réglisse. Superbe embouteillge. Un beau cadeau à vous offrir si vous le voyez en duty-free.

Patrick 90%
Du superbe Glenrothes, riche et savoureux! J’aime, un superbe whisky pour tous les jours. Nez : Un beau parfum alléchant de fruits tropicaux bien mûrs, du caramel écossais, des fleurs et de la vanille. Bouche : Oh, c’est bon! De belles épices chaleureuses, des fruits mûrs tropicaux nappés de caramel et d’une touche de fleurs. Finale : D’une belle longueur, sucrée et savoureuse.

Glenrothes Peated Cask Reserve

40% alc./vol.
Édition vieillie en fût ayant contenu du whisky tourbé de l’Ile d’Islay.

André 87%
Backbone du Glenrothes avec les saveurs de toffee et de fruits secs un peu brunâtres, fruits rouges, céréales nappées de miel, chocolat au lait. Nez très doux, la tourbe très discrète fait plus penser à un chocolat chaud que de la tourbe phénolique. Je tente de me rappeler l’Impression que j’avais eu voilà quelques années lorsque j’avais goûté le Balvenie Islay Cask et ce whisky me donne la même impression, de fumée de tourbe tricky, très vague au nez mais relativement présente en bouche. Très difficile d’expliquer cette sensation. On a l’impression que la tourbe est intégrée à l’ensemble plutôt que d’être une saveur distincte. La bouche est généreusement épicée, cela surprend même un peu. J’ai lu que cela pouvait rappeler les barres de chocolat Mars et je suis crissement d’accord. Alors dans l’ensemble la bouche livre un mélange de barre de chocolat, de caramel-toffee, de petits fruits rouges séchés et une fine touche de fumée de tourbe très nivelée, de miel mélangé d’épices. J’adore la quiétude des arômes et saveurs en général, l’intégration feutrée de la tourbe très appropriée au style de Glenrothes et la finale épicée et bien soutenue. Un style particulier, une approche hasardeuse fort bien réussie. J’aime beaucoup!

Patrick 89%
Un très bon whisky, très complexe. Une belle surprise venant de Glenrothes. Nez : Agrumes, touche de fumée et une note boisée. Le tout, complété par de discrètes touches de fruits et de vanille. Bouche : Belle fumée, épices et chêne. Puis, les agrumes et quelques fruits subtils apparaissent. Complexe, frais et savoureux. Finale : D’une longueur moyenne et marquée par la fumée.

Martin 86.5%
Nez: Caramel, fruits séchés avec une fine volute de boucane. Toffee nappé d’une touche de mélasse. À peine de chocolat au lait. Bouche: Caramel, fruits et chocolat. Bonbons sucrés et épices. Bois à peine fumé. Belle balance des saveurs. Finale: André m’a volé ma barre Mars. Ça ferait un joli accord d’ailleurs. Équilibre: Un Glenrothes différent, mais à la hauteur de la réputation de la distillerie et des attentes de ses fans.

Glenrothes Robur Reserve

40% alc./vol.

André 83%
Nez habituel fruité à la signature de Glenrothes, avec ce petit côté poussiéreux que l’on retrouvait dans les anciens embouteillages. Pruneaux et raisins secs, un peu de discrètes épices. Belle douceur en bouche, encore les fruits; oranges, fruits secs, toffee. Finale en pente douce, sans éléments supplémentaires à ceux présentés précédemment au nez et en bouche. Un Glenrothes représentatif sans hauts faits d’arme et aussi sans ratés.

Patrick 87%
Beaux fruits au nez, chêne… Définitivement vieilli en fut de xérès. En bouche, les fruits et le xérès prennent énormément de place. Une touche d’épices et de poivre vient lui donner un peu plus de profondeur. En finale, le chêne revient en force et s’étire moyennement. Un très bon whisky qui gagnerait à être embouteillé à un taux d’alcool plus élevé.

RV 88%
Est-ce que le master distiller s’en tient à son style par prudence ou assurance? C’est l’orange du Glenrothes, encore plus en version marmelade que les autres éditions. L’arrivée est large, puissante, une immense orange lisse et confite ayant écrabouillé un peu de menthe. On conclut le tout par du concentré d’oranges, légèrement brûlé par son caramel mais aucunement par le chêne du baril. L’orange est un peu trop en focus dans cette version, mais chose certaine, elle est délicieuse.

Glenrothes Select

43% alc./vol.
La distillerie Glenrothes -ou Glen Rothes, les deux orthographes étant possibles- fut fondée en 1878 par James Stuart, gérant de Macallan. En 1897, Highland Distillers la rachète et nomme John Smith directeur…poste qu’il conserva durant 31 ans ! Agrandie en 1898, la capacité de production de Glenrothes doubla et passa à 1 300 000 litres par an. Victime comme tant d’autres d’un incendie, une partie de la distillerie partit en fumée en 1922. Les derniers aménagements furent la reconstruction des locaux de production en 1980 ainsi que l’ajout de deux alambics supplémentaires en 1989. En forme d’oignon, 5 wash stills et 5 spirit stills produisent actuellement 1,6 millions de litres d’alcool par an. Le «Select Reserve» est la première version officielle provenant de l’assemblage de malts de plusieurs années de distillation.

André 80%
Arrivée fruitée – citrons, agrumes, oranges & pointe de raisins suivie par les épices. Finale moyennement longue au goût de caramel et de fruits confits. Agréable et désaltérant.

RV 81%
Teinture à base de cire d’abeille et vieux bois. Pointe de miel et d’anis, avec léger feuillu, du style feuilles de framboisier séchées. Arrivée en bouche avec très doux fumé et sucré, mais c’est en début de finale que le sucre est à son meilleur. Après 2-3 secondes, il est remplacé par le feuillu sucré. Scotch bien balancé, avec une personnalité un peu trop fade mais qui saura être apprécié par la plupart des gens.

Patrick 81%
Fruits mûrs, agrumes et vanille. En bouche, la première chose qui nous frappe est la douceur du whisky. Toujours les fruits mûrs, les agrumes et la vanille, avec une légère touche d’épices. Toutefois, il manque définitivement d’intensité… Il aurait gagné à être embouteillé à un plus fort degré d’alcool. Un bel ensemble, mais avec un léger déséquilibre…

Glenrothes Sherry Cask Reserve

40% alc./vol.

André 77%
Sherry un peu austère au départ mais avec qui on se lie d’amitié fort rapidement. Nez d’oranges habituelles à la Glenrothes, nappées de chocolat et de sucre blanc. Un gâteau aux fruits couronné d’un coulis de vanille fraiche que l’on vient tout juste de sortir du four et un verre de sherry dans la main d’où s’échappe de dodues notes fruitées. Dommage d’avoir tant domestiqué ce whisky avec un taux d’alcool si bas, cela ampute ses nuances et sa texture et le rend trop plat en bouche. Jolies notes de chocolat blanc aux oranges saupoudré d’épices, beaucoup de sherry maintenant un peu trop calme. La finale est claire, on est à même de ressentir la dilution à l’eau d’où peinent à s’extirper quelques timides notes de sherry évaporé et d’oranges épicées. Un Glenrothes sous anesthésie générale, un peu soporifique. Je me croirais au Clap en train de regarder un film de répertoire Bulgare sous-titré en anglais.

Patrick 90%
Wow, superbe! Une balance quasi-parfaite, se boit presque comme de l’eau! Nez : Chêne, xérès et chocolat noir. Bouche : Épices, bois, fruits intenses, chocolat, caramel ainsi qu’une touche de gingembre et un zeste d’orange. Finale : Orange et gingembre, mais surtout le chêne.

Martin 81.5%
Ambre bronzé près de l’orange cadmium. Nez: Fort plaisant, quoiqu’un peu trop placide à mon goût. Orange, orge, miel et framboises. Le côté cuiré du sherry cask m’échappe. Bouche: Texture quelque peu aqueuse, mais les premiers parfums arrivent rapidement sur la langue. Le xérès éclate un peu plus ici. Fruits rouges, chêne et épices. L’orange y est encore, cette fois-ci avec un peu de cacao. Finale: Pas nécessairement courte, mais peu présente, peu intense. Quelques épices astringentes sur une planche de bois trempée dans le jus de raisin nous tiennent un moment, mais sans plus. Équilibre: Dommage, un NAS dilué à 40%. Il y a un potentiel, mais on a l’impression que la distillerie a eu peur de l’exploiter.

Glenrothes Three Decades

43% alc./vol.
Glenrothes lance déjà des éditions Vintages depuis quelques temps et au cours des 17 dernières années, les tablettes ont vu apparaitre des embouteillages provenant des années 1970, 1980 et 1990. Le plus ancienne version datant de 1971 et la plus récente de 1998. Le Glenrothes Three Decades célèbre la parution des ces éditions en combinant, dans un seul embouteillage, du whisky de trois décennies. Offert auparavant exclusivement en Duty Free, cette édition est désormais offerte au grand marché mais demeure très difficile à se procurer. Nous avons trouvé celle-ci en Allemagne.

André 89.5%
Panier de fruits axé principalement sur les oranges (les fameuses oranges de Glenrothes) et compote de fruits, pelures de raisins, chocolat au lait, un peu d’épices et de vanille se transformant plus en odeur de sirop d’érable en respirant. Un peu de miel aussi. Le feeling un peu poussiéreux des anciens Glenrothes est de retour. L’alcool assèche un peu l’ensemble mais la texture est superbe et soyeuse, d’une incroyable douceur. La bouche est elle aussi fruitée, avec beaucoup de candeur mais sans trop de puissance, merci à l’équilibre étonnant qui n’est relevé que quelques notes d’épices bien disciplinées. Finale sur le tapis de fruits et la tranquillité des sous bois. J’adore le calme et le réconfort de ce single malt, surtout en ces premières journées de l’hiver.

RV 87%
Une autre grande dame de Glenrothes, pas la plus savoureuse de la famille mais qui mise sur les contrastes pour sortir du lot. Orange, cerise, sirop d’érable confère une odeur douce de Glenrothes assez typique. L’arrivée est peut-être un peu fumée mais surtout occupé par la cannelle qui se joint à la vanille et à d’autres épices sucré avec le chêne de la finale. Manque un peu d’aftertaste, joue dans les même plate-bande, mais ne serait-ce que pour la différence entre le nez et la bouche, vaut bien un petit détour.

Patrick 87%
Parfum de doux caramel et petite touche de fruits. En bouche, d’abord un puissant sucre, marqué par le caramel, les cerises et autres petit fruits mûrs. Trèèèès doux. La finale est très sucrée, très caramel, avec un soupçon d’épices. Bien balancé, facile à boire, j’aime.

Glenrothes Vintage 1985

43% alc./vol.
Embouteillé en 2005.

André 89.5%
Panier de fruits des champs, oranges & nectarines (sans surprises) sur fond de bourbon. Nez généreusement attirant, moelleux et agréablement doux. En respirant, un bon souffle de brûlé apparait furtivement. En bouche, un combat entre le côté « panier de paille » et les fruits sucrés s’installe, jumelé d’un genre d’effet granuleux, de grains secs. Notes de tarte au citron en finale avec garniture de meringue brûlée. Le mélange du sucre des fruits et de l’acidité du citron est superbe de par sa balance et son équilibre. Un single malt tout en finesse et en variantes. Un exercice sur la subtilité des nuances plutôt que sur l’affichage des différences.

RV 92%
Une belle petite brunette bucheronne avec de la bienséance. Pas trop sucré, orange, sirop d’érable, bois et du raisin sec à l’instar de certains excellents rhums. L’arrivée est la plus crémeuse de tout le range de Rothes, avec de la crème caramel, du raisin sec et du chêne en très bel équilibre. La finale qui se poursuit dans le raisin est évidemment très longue, avec un retour sur le bois, accompagné de miel et de vanille, et d’un caramel assez fort sans l’être trop. Tout ce qu’il faut pour plaire, un tout sexy whisky-rhum féminin.

Patrick 89%
Au nez, du vieux Glenrothes! Dans le sens de « fruits mûrs, caramel, vanille, mais avec une touche de chêne définitivement plus marquée. Au goût, du GROS caramel pas subtil, sur lequel on a versé quelques gouttes de coulis aux fruits et caché quelques épices de bourbon… Il s’en dégage une belle chaleur, surtout lors de la finale qui est très agréable. Bon, à défaut de nous offrir un whisky à un taux d’alcool intéressant en le faisant vieillir quelques années supplémentaires, les gens de Glenrothes sont parvenus à nous offrir un whisky digne de la qualité du produit de la distillerie. Bravo!