Belgian Owl 24 mois

46% alc./vol.
Fût #427-29-77, embouteillé le 25 février 2010.

André
Ce sont plus les agrumes qui mettent la table pour cette expression de 24 mois. Une larme de citron, de crème de meringue, d’eau de rose et de cannelle. Un joli mélange où chaque élément trouve sa place. La bouche est également plus fidèle au nez; une belle sensation crémeuse s’affirmant par des notes de vanille et de miel. La finale est un dessert bien présenté de poires poêlées, agrémentées de vanille, de miel et de morceaux de bananes.

Belgian Owl 36 mois

46% alc./vol.
Batch #23-11-10.

André
Raisins verts pressés, pommes vertes Granny Smith, accent de cannelle et de miel. La bouche confirme le nez; les pommes et les poires sont bien présentes mais l’ensemble s’approche plus d’un hydromel que d’un whisky. Finale de vanille et de sucre, notes mielleuses de bonbons Wherther’s.

Belgian Owl 36 mois • Batch LC836081

46% alc./vol.
Bottling LC836081

André 81%
Pommes vertes à la Glenlivet, sucre des emballages de gommes pour enfants, touche florale et vanillée, Poire William, herbe verte mouillée. Belle texture étonnante de souplesse pour un whisky si jeune. Mélange de poires et de sirop de fruits, sorbet au citron, bananes, bois sec et poivre, cidre de pommes vertes. Longue finale sur les saveurs mais une texture qui s’effiloche rapidement, poivrée et sur des notes de poires nappées de crème à la vanille et d’un twist de jus de citron.

Patrick 80%
Un whisky prometteur, mais encore trop jeune. Et définitivement beaucoup trop cher. Nez : Parfum sucré et vanillé, avec une petite touche fruitée. L’ensemble est frais, léger et semble assez jeune. Bouche : Oh boy, le new make est pas loin. Pommes vertes, cannelle, poires et épices du bois. Ou en fait, carrément de la planche de bois. Finale : D’une longueur moyenne, marquée par les épices du bois et l’alcool.

Martin 81%
Nez: Sucre en poudre et belle pommes vertes croquantes. Vanille et herbe, poire et fleurs. Semble un peu jeune mais plein d’espoir. Bouche: Fruité et sucré, touche de mélasse et de caramel. Poivre et épices. L’impression de new make n’est jamais bien loin ici. Finale: Acérée, jouissant d’une certaine longueur, sur des notes de bois, de fleurs, d’épices, de sucre et de citron. Pain aux bananes et brisures de chocolat. Équilibre: Un bel embouteillage pour son âge, qui donne bien hâte de voir ce que les belges auront à nous offrir d’ici quelques années.

Belgian Owl 48 mois

46% alc./vol.
Batch #14-02-11. Cask #270910.

André
Beaucoup plus souple en bouche; à la fois arrondi et aussi très affirmé. Bouche de caramel et de vanille, de poires, d’abricot et de chocolat blanc. Finale transite sur la crème brûlée, le caramel et le yaourt à la vanille. La finale est plus soutenue que dans les autres versions. Nous nous approchons d’un ensemble pas mal plus complet.

Patrick 78%
Nez: Cerise de terre, sent le pas-propre de lendemain de veille torride et de feuilles fraîches.  Bouche: Menthe, céréales et jus d’agrumes.  Finale:  Feuillue et mentholée.  Balance: Pas vraiment.

Martin 83.5%
Nez: Assez discret au départ, poires, vanille, crème et touche de fruits tropicaux. Cacao et abricots séchés. Pointe de cuir. Bouche: Frais et sucré. La texture et juste assez grasse pour conserver les saveurs en bouche. Poivre rose, bois et cerise de terre. Finale: Crème anglaise, chêne et poivre. Pain aux bananes avec brisures de chocolat. Assez soutenue pour un 48 mois. Équilibre: Assez prometteur, bien que ce soit plus ou moins dans ma palette. Points bonus pour avoir embouteillé à 46%.

Belgian Owl 53 mois

74.2% alc./vol.
Fût #427-29-86.

André
Nez de crème brûlée, de caramel poussé par un raz-de-marée d’alcool parfumé. Avec un peu d’eau, nous serons à même d’apprécier la douceur de la vanille apportée par le fût, les céréales. L’influence du fût est notoire. Les raisins apparaissent en bouche, jumelé au toffee et de la crème brûlée. Belle présence fruitée de nectarines et de tangerines. Finale étonnamment boisée avec un retour sur les noisettes. Il vous faut absolument faire l’expérience de le prendre au départ sans l’ajout d’eau, question de profiter de l’expérience. Rarement nous aurons eu l’occasion de prendre un whisky à ce pourcentage d’alcool et l’expérience est assez unique. Après avoir pris une petite pause (pour vous remettre de votre choc), je vous recommande de le diluer légèrement afin d’en abaisser le niveau d’alcool, ce qui en libèrera les arômes et rendra l’ensemble plus « approchable ».

Belgian Owl 60 mois

76.1% alc./vol.
Fût #4276140.

André 91%
Owly cow ! Pour qui sonne le glas et pour qui hurle le hibou… Le nez étonne de par sa douceur et sa délicatesse, les saveurs allant dans le même sens. On n’y retrouve rien de brut ou de costaud; poires poilées, vanille, un léger fond d’herbe mais rien qui dérange vraiment. On est à même de ressentir la puissance latente de l’alcool que l’on pourrait aussi aisément confondre avec des épices tant le nez est brusqué si il est plongé directement dans le verre. En bouche, une fois le choc de l’alcool estompé; ananas, poires, beaucoup de vanille, oranges/nectarines, miel. La finale est longue, comme un whisky avec un tel taux d’alcool peut l’être, un peu plus épicé mais contre balancé par l’apport important de vanille et des douces saveurs fruitées. Un décollage décoiffant et une longue descente planante. Idéal pour réaligner ses Chakras à la fin d’une difficile journée.

RV 90%
Quand le léger manque d’originalité vient d’une nouvelle distillerie probablement encore occupée à peaufiner son art, c’est que ça va assez bien merci. Très mielleux, le nez contient une pointe de blé qui colle au palais. En bouche, l’alcool est chaud sans être brûlant; cask strength sûrement mais on penserait le taux beaucoup plus bas. Avec des notes de cuir et de caramel Grenache à tartiner, ne serait-ce des raisins secs et des flocons de gruau encore dans la petite enveloppe. Très bon, la Belgique n’est pas que doué pour les pâtisserie, elle l’est aussi pour les whiskies de déjeuner. Patrick 90% Salade de fruit trop mixé et d’épices. En bouche, vanille, épices et un petit peu de cerises et de raisins secs. Belle finale avec des notes de blé qui s’étirent longuement. Complexe et très agréable à boire. On sent pas du tout l’alcool, ou en fait on jurerait avoir affaire à un taux de 4t-50%: J’en reprendrais un autre verre, plus gros de préférence.

Patrick 90%
Salade de fruits trop mixés et d’épices. En bouche, vanille, épices et un petit peu de cerises et de raisins secs. Belle finale avec des notes de blé qui s’étirent longuement. Complexe et très agréable à boire. On sent pas du tout l’alcool, ou en fait on jurerait avoir affaire à un taux de 4t-50%: J’en reprendrais un autre verre, plus gros de préférence.

Belgian Owl 8 mois

46% alc./vol.
Fût #407-87-31.

André
Plus soutenu et complet. L’alcool commence à prendre un rôle secondaire, éclipsé par le travail et les influences du fût. Toujours malté et accompagné de poires, de vanille et de beurre. La bouche est crémeuse et douce, les poires sont maintenant saupoudrées de cannelle se poursuivant en finale sur des notes vanillées d’où s’extirpent une vague florale très capiteuse d’une belle douceur. L’évolution qu’a connu l’ensemble en séjournant seulement 8 mois dans le fût est impressionnante. Un enfant possédant un potentiel certain mais manquant toujours d’un peu de maturité afin de trouver sa direction.

Belgian Owl Intense Single Cask #5698086

72.4% alc./vol.
Ex-fût de bourbon de premier remplissage – Edition 2018-08

Patrick 84%
Un whisky intense, c’est le cas de le dire! Un bon whisky, très boisé et relativement simple. Nez : Parfum sucré, boisé, avec de la vanille où le fût de bourbon est bien présent. Bouche : Considérant le taux d’alcool c’est avec une certaine crainte que je plonge! Ouf, intense, boisé, frais, avec de la vanille et, il faut bien l’admettre, l’alcool qui est l’éléphant dans la pièce. Ai-je dit intense? Finale: D’une longueur moyenne, ce qui est plutôt surprenant compte tenu du taux d’alcool. 

Belgian Owl New Make Spirit

46% alc./vol.
C’est en 2004 que se concrétisait le rêve de 3 partenaires, le distillateur Étienne Bouillon, le cultivateur Pierre Roberti et le financier Luc Foubert. Des débuts modestes pour cette micro-distillerie situé dans la région de Hesbay en Belgique, mais mûe par une énergie et une détermination sans frontière. Utilisant un vieil alambic Suisse du 19eme siècle et des produits du terroir local, la philosophie de Bouillon se rapproche drôlement des principes forts à Jim McEwan de Bruichladdich… Des produits de qualité, un respect du terroir et des gens qui contribuent à la création d’un whisky.

André
À être considéré comme un new make. Très céréalé, avec des notes de poires et de beurre. Nez éthéré, accents de beurre froid, de fruits secs et de cannelle. Finale très agréable au goût de bonbons au beurre et caramel, vagues de céréales sèches et d’orange. Un produit bien balancé d’une grande finesse, d’une belle pureté et d’une agréablement maturité pour un new make spirit.

Belgian Owl The Private Angels Limited Edition 36 months old Single Cask

70.3% alc./vol.
036/200, bouteille #220. Premier Belgian Owl distillé avec les mythiques alambics Caperdonich venus tout droit d’Ecosse. The 200 Private Angels – Série exclusive de 200 fûts. Etienne Bouillon, ce distillateur passionné, initiateur du projet, a rempli le premier fût du futur Belgian Single Malt Whisky, le 29 octobre 2004. Les premières ventes ont eu lieu dès décembre 2004 par le biais d’une vente online soutenue par la presse quotidienne écrite belge via une pleine page publicitaire.


André 91%
Avec un climat monotone et ennyeux, humide à souhait et pouvant amener Miss Méteo à la dépression nerveuse, comment aurait-on pu penser qu’un whisky gagnerait environ 8% de degré alcoolique en 36 mois??? Climat singulier de la région ou entrepôts relativements secs, mais plus de 70% d’alcool pour un whisky, disons que cela est définitivement hors-norme. Cadeau du proprio et distillateur Étienne Bouillon, ce whisky a autant de générosité que son propriétaire. Approche micro-distillery et très ‘’du grain à la bouteille’’, le nez est musclé et sur les stéroïdes alcoolisées. Il faut définitivement faire abstraction de l’important taux d’alcool qui vous agrippe le nez férocement. Au départ, les céréales et le twist agricole et small batch, les poires, le caramel, la meringue et la tarte au citron, le miel chaud. Sans dilution, j’avoues que ça déménage pas mal, alors j’ajoute quelques larmes d’eau. Poires, amandes, crème brûlée, beurre baratté (sans sel), la pomme verte, les céréales. L’apport du fût de chêne est important mais le spiritueux a tout de même su garder son épine dorsale unique. Le whisky développe de pulpeuses notes d’épices en finale de bouche pendant que l’alcool tient la note avec la même conviction que la cantatrice Bianca Castafiore drapée dans son étoffe de canelle et de gingembre. La qualité du distillat et le choix des fûts est visiblement (et gustativement) juste, le résultat est une expérience en soi. Attachez vos ceintures car lorsque que le pied appuiera sur l’accélérateur, vous aurez droit à toute une virée…

Patrick 88%
Avec un tel taux d’alcool, on ne peut pas se surprendre d’une telle intensité. Définitivement pas un whisky de tous les jours mais vraiment trippant à déguster! Nez : Savoureux parfum de céréales sucrées et légèrement fruitées, le tout avec une touche de meringue. Bouche : D’une rare intensité, avec des agrumes, des noix, un peu de bois, des pommes vertes, du chêne et énormément d’épices. Finale : Un peu sèche, épicée, boisée et marquée par les céréales.