40% alc./vol.
Brennerei-Zentrum Bauernhof, Zug, Suisse.
André 93%
Aiguilles de pin ou d’arbres quelconque. Cocottes et antiseptique parfumé. Menthe Chlorophylle, camphre, bonbons sucrés. Jeune en bouche, taux d’alcool présent mais savamment contrôlé. Présent au palais au niveau de l’effet donné, mais sans consistance au niveau du liquide lui-même. Finale sucrée, très forte en vanille et sucre à glacer, s’étirant sur la plante verte mentholée. Si on laisse respirer le verre une quinzaine de minutes, le mentholé disparait et laisse la place à un superbe fruité, le taux d’alcool semble diminuer dramatiquement en bouche. Unique en son genre !
RV 74.5%
Schweizer? Nein. Scheiss. Sirop d’abord aux cerises puis aux raisins, un peu comme le Red Stag mais à base de single malt faible au lieu de bourbon ordinaire. Arrivée trop crasseuse et raisins, et ça se poursuit en aftertaste, beaucoup trop sucré. Mis à part sa texture en bouche à peine originale, on dirait un malt sans personnalité auquel on aurait voulu ajouter du goût en ajoutant un extrait de jus en canne congelé McCain. En tant qu’à faire un blend, je pense que je pourrais faire mieux avec le Golden Wedding et du jus de pomme de Rougemont, au moins ça aurait la particularité d’être local.
Patrick 75%
Herbes de Provences et épices. L’arrivée est répugnante (impossible de ne pas grimacer), mais la finale est agréablement surprenante (maltée, fruitée, fines herbes) et bien équilibrée. Comment donner une note à un tel whisky, lors qu’on se dit « zut, je vais devoir passer de nouveau au travers de l’arrivée du goût pour mieux évaluer la finale » ? Allons-y avec la technique Murray : 22 pour le nez, 10 pour le goût, 23 pour la finale, 20 pour la balance.