43% alc./vol.
75% de maïs, 15% de seigle, 10% d’orge
André 79%
Les salves d’alcool avec peu de vieillissement se présentent d’emblée au nez. Mélange de bois verdâtres et sec aussi, céréales séchées, vanille. Assez générique comme présentation. Je laisse le whisky s’aérer un peu et un certain équilibre prend place. De belles notes de rye assaisonné de fruits rouges, de réglisse et de cannelle apparaissent progressivement et masquent un peu la jeunesse du whisky. La bouche est douce et sucrée, j’ai des images de cassonnade et de sirop d’érable parsemé d’épices. La texture est cireuse surtout avec l’apport du rye et de l’anis. Courte finale ou l’alcool encore jeune reprend progressivement place et une grosse rétro-olfaction de rye épicé et poivré.
Patrick 83.5%
Un peu mieux que la batch précédente, alors si ça continue ainsi, ça va être extraordinaire dans pas long. Et d’ici là, ça demeure un jeune whisky bien plaisant. Nez: De la vanille, du chêne frais et de belles céréales dominées par le maïs. L’ensemble est frais et jeune. Bouche: Du gros chêne épicé avec un de saveurs de céréales où le « mashbill » s’exprime clairement, soit surtout du maïs, et un peu d’orge et de seigle. Finale: D’une longueur moyenne, présentant un mélange de bois brûlé et d’alcool.
Martin 82%
Nez: Vanille et Play-Doh en partant, vague de mélasse de jeune new-make. Grain, chêne et touche de rye frais. Bonne dose de fougue et d’agressivité. Bouche: Mieux qu’au nez. Une fois la jeunesse passée, les grains, le chêne et la vanille sont au rendez-vous. Les épices sont bien là, le bois frais, les céréales. Sucre blanc. Finale: Peu longue, surtout dû au fait que la texture n’est pas encore tout à fait à point. Les saveurs sont bien là, quoiqu’un peu éphémères. Équilibre: J’aime bien. On est pas encore rendus là, mais comme on dit, c’est pas la destination qui compte, c’est le voyage…