43% alc./vol.
Distillé en 1992 et embouteillé en 2007. Édition limitée de 838 bouteilles.
André 85%
Elle est douce et herbeuse la douce plaine des Lowlands Écossaise. Herbe vanillée, miel, jus de citron dilué à l’eau, ça me fait penser à de la chlorophylle, le côté verdâtre, les feuille et l’herbe fraiche, les grains de céréales nappés de vanille et de miel. La bouche est fraiche et assaisonnée d’épices, feeling mentholé, puis vague de vanille et de miel d’où ressurgissent les épices un peu pointues. L’ananas ou les pommes vertes peut-être, les poires. Finale poivrée et un peu plus perchée, belle texture en bouche, la vanille s’accroche quand même et ambrasse les saveurs citronnées avec passion. Un embouteillage qui démontre le style autant de la distillerie que de la région.
Patrick 80%
Nez de céréales mouillées et légèrement sucrées. En bouche, toujours les céréales, mais avec une note de vanille brûlée. La finale, plutôt courte, s’étire sur ses même notes. Ok, une bonne base pour un blend. Le whisky est bien équilibré, sans fausse note, mais sans non plus réinventer quoique ce soit. Ordinaire.
Martin 81%
Ambre jaune pâle peu ragoutant. Nez: Orge humide avec vanille et légère poche suintant des lowlands. Bouche: Surprenant au départ avec de jolies notes de vanille, miel et sucre en poudre. Les céréales sont quand même au rendez-vous, avec un peu d’agrumes et de pêche. Finale: Quelques épices agréables, mais le tout disparaît un peu trop vite et ne laisse pas d’impression durable. Équilibre: Un whisky qui me laisse vraiment sans émotion.
RV 87%
L’habit ou le casque ne fait pas la sœur. Pas mauvais, c’est tranquille et rempli, mais alors vraiment rempli de vanille française, qui me pointe vers certains whiskies canadiens. En bouche très affirmé quoiqu’indéfini avant une pointe de sherry qui s’empare des parois des joues et du bout de la langue. La finale commence de manière très surprenante avec des agrumes et de la pêche, qui persiste en finale qui tient davantage des single malts que des rye. À prime abord, j’avais l’impression de faire face à une bouteille qui serait la maîtresse de mon verre; or, la petite coquine surprend en se faisant douce, malléable et agréable.