57.2% alc./vol.
Distillé en 1970 et embouteillé en 2000.
André 87%
Toffee caramélisé, bois férocement brûlé, vanille et fruits. Arrivée pauvre d’où s’envolent les fruits après un certain temps – pruneaux, poires, raisins. Le bois envahit le nez et laisse peu de place aux fruits pour s’exprimer. A vraiment des ressemblances avec le Auchentoshan 3 woods. S’accompagne aussi d’une texture de poussière de bois un peu râpeuse. L’alcool est quand même très acceptable en bouche, arrondi par les notes vanillées, de toffee et de brioches. La finale est généreuse, d’une belle ampleur malheureusement compromise par une longueur qui laisse à désirer. Pour les amateurs recherchant les arômes boisées ainsi que les fruits et ayant un portefeuille bien garnis.
RV 86%
Ce qui débute dans le feu de la foudre peut se révéler un pour trop brûlé pour la conclusion. Au nez, vanille profonde de bourbon puis le bois brûlé un peu trop fortement du Auchentoshan 3 Woods, avec un étrange relent velouté semi végétal d’eucalyptus et de poires rouges et vertes. En bouche, beaucoup plus sec et vinaigré, avec de la craie un peu ordinaire avant que le bois s’installe, pour prendre définitivement le contrôle de l’expérience en apportant de la résine de sapin. Finale plus miellée et plus sucrée, malheureusement trop vite écrasée pas les tannins du bois. La sagesse du bois, malheureusement trop puissant pour le subtil Longmorn.