M&H Classic Single Malt Whisky

46% alc./vol.
Le Single Malt Classic de la jeune distillerie M&H est le tout premier whisky israélien. Ce Single Malt, vieilli sous le soleil de Tel Aviv, découle d’un assemblage d’anciens fûts de bourbon à 80% et d’anciens fûts de vin rouge STR à 20% (STR pour Shaved, Toasted and Re-charred) donc des fûts grattés, grillés et brûlés. M&H relève le défi de créer les premiers whiskies du pays au sein d’une distillerie urbaine, jeune et exploratoire. Elle tire profit des conditions climatiques variées et extrêmes d’Israël où les températures varient de 16 à 40 degrés et où 300 jours d’ensoleillement par an provoquent une part des anges qui s’élève de 9 à 11% par an!

André 80%
Fleurs vanillées et mielleuses, pommes poires, abricots, poires, notes de caramel aussi. Nez classique comme son nom l’indique. Pour un whisky de 3 ans, on n’a pas l’impression au nez et en bouche. La bouche livre une étonnante texture veloutée, sur les saveurs d’oranges, de miel, de sirop de poires et d’abricots, pointe épicée boisée bien équilibrée, fruits à chair, poivre, gingembre, zeste de citron. Finale de pommes et de poires au miel, bois de chêne séché, plus charpentée côté épices, qui s’accompagne aussi d’un feu d’artifice de poivre concassé.

Patrick 82%
C’est un bon whisky, mais je n’ai vraiment aucune idée du buzz. J’imagine que lorsque tu peux te payer le Docteur Swan, tu dois avoir aussi un bon budget marketing. Tout ça pour dire que je suis plutôt déçu de mon achat. Nez : Le bouquet de fleurs au complet, avec une touche mielleuse et vanillée, le tout enrobé d’une solide couche de chêne sec. Bouche : Toujours le bouquet de fleur et le miel enveloppé de chêne sec, mais avec ici une pincée de poivre. Finale : D’une longueur moyenne, épicée et très boisée.

Martin 79%
Nez: Assez sucré et floral, avec des notes supplémentaires de fleurs et d’herbe. Miel dilué, pommes, pêches et vanille, avec une pointe de poivre rose. Pas mal, mais rien d’absolument renversant. Plus on s’y attarde, plus le côté fruité de ses fûts de vin se fait sentir. Bouche: Miel et eau d’érable commencent la course avec une touche de chêne, mais son côté jeune, métallique et fortement épicé vient casser cette belle lancée. Finale: On colle avec une impression métallique d’alcool poivré, presque tabasco ou sriracha même. Le miel, les fleurs et le bois ne sont que de lointains souvenirs. Équilibre: Ce qui semblait quand même prometteur dégringole rapidement. Il parait que leurs expressions plus vieilles en valent la peine. Je l’espère.

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