Glenglassaugh the Spirit Drink that Blushes to Speak its Name

50% alc./vol.
Édition limitée, bouteille #927 de 8000.

André 75%
Définitivement un new make spirit, mais avec quelque chose de pas naturel. Au nez, c’est sucré et vanillé avec un twist d’affinage, un mélange de raisins et de céréales. À mi-chemin sur la route de devenir un single malt tant au niveau des arômes que du vieillissement. Alors faut-il le considérer comme tel. N’eut été de la draft de chlore en rétro-olfaction, suivant la finale à saveur de peppermint, j’aurais aimé.

Patrick 80%
Étrange… Sucré, touche de sève de conifère, vanille et quelque chose de bizarre que je n’ai jamais vu. En bouche, arrivée faisant penser à une boisson gazeuse, bois de cèdre et d’érable, cerises et fond d’épices. En finale, épices et planches d’érable. Très original, sans fautes, mais définitivement pas mon style.

Martin 82%
À peine orangé et rosé. Nez: Fumée et vin rosé. Difficile de masquer les puissants arômes du new make avec un si court vieillissement. Orge et mélasse. Bouche: Orge, cassonnade, mélasse et épices, chêne et vin rosé sec. Petits fruits. Finale: Épicée et puissante, le chêne et les notes de new make sont tout ce qu’il en reste. Équilibre: Expérience intéressante, mais le manque de vieillissement et le taux d’alcool élevé en font quelque chose qui manque de finesse et qui est un peu trop agressif à mon goût.

RV 82%
Une curiosité trop jeune, bonne à connaitre sans l’adopter. Débutant par une cerise bizarre très loin des single malt, l’arrivée pimentée de malt qui tombe un peu à plat est suivie d’une finale de cerise, de pacane et de nectarine assez correcte. Bizarre mais pas mauvais, j’aimerais d’avantage gouter soit à une finition en baril de bourbon plus standard, ou dans la même finition âpres des années de finitions traditionnelle.

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