40.2% alc./vol.
André 75%
Nez muet mis à part la vanille, le miel, les oranges sanguines lointaines et du sucre à glacer. Même après 10 minutes à aérer, rien à faire, c’est plat niveau saveurs et platte (tout court) au nez. La bouche est disparate et diluée un max, aucune structure aux saveurs qui sont déjà pauvres. Si Clynelish a servi à la base de ce whisky, le côté waxy de la distillerie n’est pas de ce dernier épisode. Céréales séchées sucrées, miel et vanille, lointain xérès, pommes poires, oranges… Je dois sérieusement creuser pour trouver. Finale courte, diluée et flat, sauf pour une rétro-olfaction de cannelle éventée et une sensation bizarre tannique passagère. Ça fait penser au dernier épisode de la série qui s’est terminé en queue de poisson.
Patrick 84%
Un Johnnie Walker qui gagnerait à joindre la gamme des « réguliers ». Nez : Le parfum d’un Johnnie Walker, mais dominé par les fruits tropicaux. Reste, la petite touche de fumée que j’aime tant dans les Johnnie est toujours là! Bouche : Des fruits tropicaux intenses, des épices, du bois, de la vanille et une touche de fumée. Finale : D’une belle longueur, marquée par la douceur du whisky de grain, et par les agrumes du scotch.
Martin 80.5%
Nez: Léger new make et alcool de grain. Orange, malt et sucre en poudre. Vanille royale. Assez quelconque. Plat et avec bien peu d’intérêt. On mise sur la gimmick Game of Thrones encore, mais on ne performe guère mieux que le White Walker. Bouche: Caramel, sucre en poudre, fruits tropicaux, vanille et chêne humide. Le grain transparaît tous azimuts. Épices et acétone. Bof. Finale: Courte et sèche, le grain prend toute la scène, laissant bien peu de lumière aux autres éléments. Équilibre: Bien ordinaire, à l’image de la saison finale de Game of Thrones.