40% alc./vol.
André 81.5%
Oh… Beaucoup d’influences du bourbon au nez avec la livraison de pommes rouges, de réglisse et de fruits sauvages, anis, le sirop de maïs, miel, la planchette de cèdre rouge. La bouche est plus épicée, poivrée et le toute-épice, la réglisse rouge fraiche et la pelure de pomme, encore le sirop de maïs avec une finale un peu trop influencée par le bois et le poivre noir broyé. Forte sensation tannique également en fond de bouche. Bizarre cet embouteillage, hésitant entre son identité Canadienne et ses influences Américaines, au final, on en perd son latin.
Patrick 89%
Une belle surprise que ce whisky, pour moi qui aime le bourbon, et pour satisfaire ma dent sucrée. Bon, j’aime pas beaucoup le sucre, mais ici, il est dosé avec brio! Nez : Savoureux de parfum de bourbon sucré, avec une touche de fruits et de vanille. Vraiment alléchant. Bouche : Bourbon hyper sucré, avec un panier de fruits des champs, de la vanille et quelques épices du chêne. Finale : D’une belle longueur, épicée et légèrement sucrée.
Martin 83%
Nez: Hybride particulier, c’est certain. Très floral d’entrée de jeu. Réglisse, pommes et cornichons marinés. Maïs, vanille chêne et touche d’anis. Caramel et brin de poivre noir. Bouche: Sirop de maïs, vanille et chêne. Le rye frais mélangé au maïs dans ce cas-ci donne une impression marquée de cornichons à l’ail qui pénètre toutes les couches de la dégustation. Pas désagréable, mais certainement insolite. Finale: Assez courte, mais on garde nos repères sur les saveurs auxquelles le reste de la dégustation nous a habituées. Équilibre: Un monstre de Frankenstein bien étrange. Chacun des héritages ou identités, que ce soit canadien ou américain, se tient fièrement seul, et on pourrait croire que leur union serait bénéfique… mais quelque chose ne cadre pas tout-à-fait. N’empêche que j’y retrouve un côté pervers qui ne ne déplaît pas non plus. Allez savoir…