40% alc./vol.
Édition discontinuée, au départ destinée au marché asiatique et au duty-free puis ensuite distribué en Europe.
André 87%
Nez doux et effacé, avec beaucoup de caramel, une pointe de cèdre et un background de rye docile. La texture en bouche étonne dès le départ, le caramel crémeux et soyeux, le cèdre est toujours en place, un peu d’épices (gingembre, tout épices) et de fruits rouges associés au rye. J’aime le calme de la présentation et la douceur des saveurs, la texture crémeuse, le rye juste en sourdine. Finale un peu courte, un peu trop caramélisée à mon goût. Comme Canadian Whisky représentatif du style idéal pour initier aux Canadian whiskies, le rye est très approchable et bien dosé, les saveurs familières et agréables.
Patrick 87%
Nez : Parfum typiquement… Canadian Club : Un mélange de céréales agréable, une pointe de petits fruits rouges (mélange de fraises et cerises?), le tout assemblé par un soupçon de vanille et d’épices boisées. Bouche : Pas surprenant que cette marque soit si populaire, c’est si facile à boire!! Les fruits sucrés sont très présents, baignant dans le caramel et la vanille. Finale : D’une longueur moyenne, s’étirant sur les notes fruitées et, dans l’ensemble, agréable. Balance : Ce whisky a poussé le côté sucré-fruité à la limite de ce que j’aime, mais sans dépasser la dite limite grâce à un équilibre sans faute. Une bouteille que je viderais rapidement.
Martin 89%
Nez: Classique vent de whisky canadien. On comprend la règlementation qui dit « saveurs traditionnellement attribuées au whisky canadien ». Fruits rouges, grain, bois, touche d’acétone, mais vraiment une touche. Sirop de table, cèdre et pointe de seigle. Bouche: Ultra doux, l’expérience repose sur des notes de bois, de caramel, de vanille, de crème, de fruits mijotés dans leur sirop. Léger accent de poivre rose et de cannelle. J’adore. Finale: Sucre en poudre, vanille, sirop simple, chêne et rye. Framboises. Légère fumée boisée. Équilibre: Une belle réussite pour une marque à qui les gens attribuent habituellement des whiskys dits « bottom shelf ». Ce 15 ans d’âge marque une renaissance remarquable de la catégorie du whisky canadien.