Tomatin Contrast Sherry Matured

46% alc./vol.
Vatting de fûts de 1973, 1977, 1988, 1991, 2002 et 2006 – 5400 bouteilles.

André 85%
Quel bon concept… auquel j’aurais ajouté une troisième bouteille contenant un vatting de bourbon et sherry, ou encore mieux, les amateurs peuvent expérimenter eux-même! Nez de raisins secs, dattes et prunes, vieux livre avec couverture de cuir, caramel chaud, oranges, pommes rouges, gâteau au chocolat. Léger off-key dans le nez. La bouche est pas mal plus épicée que le nez le laissait supposer même si l’on retrouve la même palette aromatique annoncée. Prunes, dattes et raisins secs, chocolat noir, poivre et bois épicé. Texture un peu flat et qui manque d’amour. Finale éphémère sur le xérès franc et épicé.

Patrick 85%
Un concept fantastique que de présenter deux whiskys jumeaux ayant subi des maturations différentes. Je recommande l’ensemble sans hésiter à tous les amateurs de scotch! Ceci étant dit, ce whisky s’avère très agréable à boire – je dois admettre que même si je bois les deux bouteilles du duo en même temps, celle-ci tends à se vider plus rapidement! Nez : Un xérès intense, marqué par une grosse dose de raisin ainsi que du caramel et des pommes. Bouche : Toujours l’intense xérès, avec du caramel chauffé, de la cannelle, des clous de girofle, de la marmelade et une bonne pincée de poivre. Finale : D’une belle longueur, boisée et épicée.

Martin 86.5%
Nez: Raisins juteux, sherry goulu, cuir et bois de chêne. Prunes, pelure d’orange, marmelade et dattes. Toutes les notes précises d’un sherry cask classique, sans tomber dans la démesure. Bouche: Texture agréable qui pourrait être un peu plus huileuse, mais qui transporte bien ses saveurs telles le xérès, le raisin sec, le bois et la cuirette. Pommes mijotées et caramel. Je l’aime bien, particulièrement comparé à son comparse d’expérience en fûts de bourbon. Finale: Bien boisée et fruitée, elle ne nous laisse pas vraiment sur notre faim. Bien poivrée et vanillée. Équilibre: Un beau saut au-dessus de la version bourbon, quoique la comparaison entre les deux est une superbe expérience en soi. Je recommande.

Tomatin Cù Bòcan

46% alc./vol.

André 82%
L’apport du fût de virgin oak est bien en évidence au nez, crémeux et soutenu par les oranges et de bonnes notes d’agrumes. La tourbe est loin d’être évidente au nez, les notes du fût neuf cachent beaucoup des arômes les plus subtiles. La bouche est fruitée et offre un mélange inhabituel d’épices (gingembre, clou de girofle, poivre) et d’agrumes. La fumée s’affichera en finale de bouche avec plus de tonus, mais rien de très musclé. Finale douce avec un filet de tourbe dilué dans les agrumes. Après quelques embouteillages version « virgin oak » je peux commencer à dire que je ne suis pas fanatique du style, même si je ne peux expliquer pourquoi. Cet embouteillage ne fait pas exception à la règle.

Patrick 85%
Simple et efficace. Dans le style fumé et tourbé, on ne fait pas ici dans la subtilité, mais on s’en fout, ce n’est pas le but visé. Vraiment très bon. Nez : Fumée de tourbe cendreuse, avec une touche de bois brûlé. Bouche : Charbon et fumée de tourbe, avec une bonne dose d’épices chaleureuses, le tout porté par une belle texture huileuse. Toutefois, je dois admettre que le new make n’est pas si loin que ça… Finale : Longue, fumée et épicée.

Martin 81%
Jaune franc, entre limoncello et bouquet de mimosa. Nez: Céréales sûrettes avec une pointe de citron. Le bois de chêne, bien qu’un petit peu pourri, vole la vedette, soutenu par une petite tourbe extrêmement timide. Pointe de fleurs. Nez très jeune qui évoque par moments un new make. Bouche: Très sucré et fruité. Fruits rouges et épices. Quand même poivré avec une bonne dose de cannelle et de gingembre. Peu de corps mais plein de jeunesse. Finale: Petit retour de fumée sûrie, mais beaucoup trop gênée.On baigne ici encore un peu dans le new make. Équilibre: Un malt intéressant mais qui manque cruellement de raffinement. Tomatina devrait en imiter d’autres et laisser un peu plus de temps de maturation à leur expression de base, car pour le moment ça ne m’incite pas fort à explorer plus loin cette distillerie.

Tomatin Cù Bocàn Creation #1

46% alc./vol.
Agé en fûts de Stout de la Black Isle Brewery Imperial et de vin de Bacalhôa Moscatel de Setubal.

André 84%
Le nez s’ouvre sur des notes de tourbe terreuses et de virgin oak. Après quelques minutes d’aération, zeste d’oranges, bananes flambées, vanille. La bouche manque de corps, demeure fluide mais sans support gras ou chaleureux. Nous demeurons sur les notes de fruits à chair comme la mangue, les oranges et la banane qui s’accompagnent d’un soupçon de fumée, de poivre et de cannelle. Après quelques gorgées, notes de pelures de raisins et zeste de citrons. Finale poivrée et fumée qui s’étire longuement.

Patrick 87%
Un très bon whisky, avec un mélange de saveurs des plus intéressants. J’aime! Nez: Léger, cireux, avec des fruits mûrs et des herbes. La fumée est ici définitivement en arrière-plan. Bouche : Ici, au contraire, la fumée est à l’avant-plan, avec de belles épices, du tabac, du cuir, de la marmelade à l’orange et du beurre fondu. Finale : D’une belle longueur, fumée et épicée.

Martin 87%
Nez: Crème, caramel, fruits rouges et malt grillé. Raisins verts, vanille et bois. Bouche: Continuation du malt, notes de bière, de bois, de poivre et de fruits mijotés. Texture beurrée. Finale: La myriade de saveurs continue ici, guidée par les fruits et le poivre. Équilibre: Un bon dram pour de l’expérimental. Bien hâte de goûter leurs futures Créations…

Tomatin Cù Bocàn Creation #2

46% alc./vol.
Agé en fûts de shōchū japonais et de chêne européen vierge.

André 77%
Oh c’est bizarre ça… Étrangement, on repère l’épine dorsale des saveurs types de la distillerie mais avec quelque chose de difficile à identifier. Bois vert, citron, vanille et céréales séchées. En bouche; raisins verts et feuilles mouillées, virgin oak bien présent encore, miel et poires, citron vert. La texture est quelconque, pas diluée mais sans rien d’accrocheur. Pointe de fumée terreuse qui se perd dans le reste des autres saveurs. C’est un peu maigre comme présentation. Finale nonchalante et disparate, fraiche et un peu sèche.

Patrick 80%
Ouf, je suis content d’avoir expérimenté un whisky âgé en fût de shōchū, mais je ne suis pas impressionné. Le fait que ce soit un alcool avec un léger vieillissement fait en sorte que la saveur de l’alcool est beaucoup plus présente. Genre, un peu comme si on avait coupé mon scotch avec de la vodka. Nez : Fumée intense, avec l’alcool qui est très présent et une touche d’agrumes. Bouche : Fumée de tourbe, alcool, bois épicé, noix grillées, kiwi et lime. Finale : D’une belle longueur, fumée et épicée.

Martin 79%
Nez: Les arômes commencent plutôt sur la défensive. Céréales et fleurs blanches, jeune bois vert et vanille. L’alcool s’annonce bien aiguisé. Bouche: Sucre en poudre, poivre blanc, chêne gorgé de sirop simple, fruits des champs. L’alcool pique pas mal pour un 46%. Finale: Raisins blancs et poivre, vanille et bois humide. La chaleur et la longueur demeurent agréables, bien que la texture a des croûtes à manger. Équilibre: Malheuruesement l’influence du shochu est bien difficile à cerner. Dommage, un dram somme toute décevant.

Tomatin Cu Bocan Limited Edition Sherry Cask

46% alc./vol.
D’après la légende, Cù Bòcan a hanté les résidents isolés du village de Tomatin. Cette créature de l’enfer était présentée par son comportement de plus en plus imprévisible. Apercevoir le monstre ne se produit qu’une fois par génération et de manière terrifiante. Un employé de la distillerie, se promenant au coucher du soleil, fut un jour poursuivi par une imposante bête noire aux narines dilatées et aux crocs menaçants. Attiré malgré lui par le magnétisme de l’animal à la fourrure abondante, il s’arrêta et tendit sa main tremblante. C’est alors qu’il vit le fantôme – Cù Bòcan – s’évaporer devant ses yeux, ne laissant derrière lui qu’un nuage de fumée bleue dans un silence de mort …

André 83.5%
Un employé de distillerie qui voit des monstres en sortant de sa job le soir, me semble que ça sonne pas mal plus comme une histoire de bouesson ça… Au nez, étonnant combien le caramel est presque aussi puissant que le sherry. Vanille, caramel, prunes, sherry très rond et épicé, cannelle. Je cherche la tourbe… que je ne trouve pas. L’arrivée en bouche est veloutée, le sherry est puissant épicé et légèrement sec. Une fois la gorgée avalée, il y a un léger moment déséquilibré que j’attribuerais aux trop fortes épices avec que le whisky se restabilise. La tourbe se dévoile timidement en fin de bouche mais il est difficile de différencier la tourbe des épices plus pointues. Déstabilisant ce whisky… Les saveurs de sherry et de fruits reprennent un peu le dessus également en finale. La rétro-olfaction apporte de belles notes de chocolat au lait épicé. Un whisky intéressant à l’équilibre douteux. Je suis ambivalent quant au résultat final.

Patrick 92%
Un excellent whisky avec tout ce qu’il faut à la bonne place. Nez : Parfum de beaux fruits sucrés, avec un soupçon de fumée, un peu d’épices et une bonne dose de caramel. Un peu de bois, de vanille et d’orge complètent le tout. Bouche : Fumée et fruits mûrs et sucrés. Le tout est présenté avec une bonne dose de chocolat ainsi que des biscuits aux amandes. Finale : D’une belle longueur, fruitée, sucrée, épicée. On voudrait qu’elle ne finisse jamais !

Martin 85%
Nez: Un beau mélange de xérès et de caramel. Raisins, orange et fruits rouges. Doux et plaisant, caractère affirmé. Bouche: Raisins, feuille de tabac, compote de fruits des champs, épices, bois et caramel. Assez fort et audacieux. Presque maladroit dans sa puissance. Finale: Cacao, prunes et bois. La tourbe est extrêmement timide. Équilibre: Somme toute un sherry cask assez agréable, mais à un prix plus que déraisonnable.

Tomatin Legacy

43% alc./vol.

Patrick 81%
Nez : Guimauves, gâteau blanc et touche d’agrumes.  Bouche : Agrumes et pin.  Notes de pommes vertes et de chêne sucré.  A la 3ème gorgée, il finit toutefois par s’ouvrir et nous offrir une certaine profondeur…  Pas un p’tit facile ce whisky!  Finale : Assez longue et marquée par des notes de céréales pas fraîches.  Balance : Le fait que ce whisky porte la mention « scotch » indique qu’il a passé au moins 3 ans en fût.  Pourtant, il se compare plutôt bien à des whiskys de moins d’un an.

Martin 82%
Assez pâle, sans toutefois annoncer trop de déception. Nez: L’orge domine un tableau de fruits tropicaux. Poires, bananes, pêches et mangues. Au fond du panier se cachent un peu de chêne et de vanille. Bouche: Texture aqueuse sur des notes de céréales séchées et de vanille. Un peu de caramel, de pommes et d’épices, le tout sur un fond de boîte de carton humide. Finale: De longueur moyenne, on y discerne un peu de chêne, mais trop peu trop tard. Équilibre: Plutôt décevant, mais pas sans espoir. C’est tout de même un flagrant exemple que les critiques de whisky, incluant celle-ci, tiennent du subjectif. D’un autre côté, avec 94.5% on se demande ce qu’ils fument ceux qui écrivent la Bible du Whisky…

Tomatin Legacy

43% alc./vol.
Composé de 85% first fill bourbon casks et de 15% virgin oak casks

André 84%
Nez de fruits tropicaux et de vanille, oranges, ananas, beaucoup de citron, touche herbeuse verdâtre. Ensemble très frais et festif. La bouche est à saveur de sorbet au citron et de vanille, le tout couronné d’ananas fraichement coupés en dés, abricots et bananes, texture crémeuse hyper agréable. Les notes de chêne sont enrobées de vanille qui calme la donne épicée. Finale douce et langoureuse, very easy going, sur les notes d’oranges et d’ananas poivrés. J’adore, comme whisky entrée de gamme, une valeur sure!

Patrick 86%
Un beau whisky frais et efficace, parfait pour commencer une soirée, surtout sur le patio durant une chaude journée d’été ! Le style de whisky que j’aime de plus en plus. Nez : Du gâteau blanc, voire des guimauves, et quelques agrumes. Frais et estival. Bouche : Du beau bois sucré et vanillé, une touche d’agrumes, des ananas et du gâteau éponge. Finale : D’une longueur moyenne, fraîche et légèrement boisée.

Martin 85%
Nez: Melon miel et vanille, bois, citron, meringue et fleurs blanches. Bouche: Toujours miel, fleurs, bois et quelques épices. Agrumes, fruits tropicaux et sucre blanc. Finale: Plutôt aqueuse, surfant sur de timides vagues de poivre, de chêne, d’agrumes et d’ananas. Légère boucane poussiéreuse. Équilibre: Pas mauvais, mais encore une fois un no-age-statement qui reflète un peu l’état de l’industrie.

Tomintoul 12 ans 2010 Oloroso Sherry Cask – Batch 2

46% alc./vol.

Patrick 91%
Ça, c’est un superbe “sherry cask”, superbement équilibré et savoureux. Nez : Délicieux parfum de fruits mûrs et sucrés nappés de chocolat. Appétissant ! Bouche : De beaux fruits savoureux, du fudge, de discrètes épices, et un peu de bois. Finale: D’une belle longueur, boisée et légèrement fruitée.

Martin 88%
Nez: Raisins secs, fruits des champs bien mûrs, cassonade et vanille. Chocolat noir, café, bois et zeste d’agrumes. Bouche: Sirop d’érable, raisins, cassonade encore, touche d’épices et cuir lointain. Légère cannelle avec la planche de chêne astringente. Finale: Chaude et fruitée, longue et agréable. Le chêne laisse bien des tannins, mais ils sont amadoués par les épices et l’infime tourbe. Équilibre: La finale semble avoir un peu de misère à garder le cap, mais le reste de l’expérience fait de ce dram un beau moment.

Tomintoul 12 ans Oloroso

40% alc./vol.
Le spiritueux est élevé dans une combinaison de fûts de Bourbon américain et de barrique de chêne de “recharge” (“refill hogshead”), des fûts ayant préalablement contenu du Sherry Oloroso.

André 88%
Le sherry cask est très discret mais joue aussi un rôle très important dans la rondeur de ce superbe embouteillage. Beurre, lait et très crémeux. Les cerises apparaissent et prennent place très confortablement. La bouche est généralement fruitée mais c’est surtout la l’équilibre général qui est vraiment impressionnant. Le nez n’est vraiment pas annonciateur du thème général de l’embouteillage mais il n’en préserve que la surprise de la bouche et de la finale.

Patrick 79%
Nez très léger, avec un peu de sucre et une touche plutôt subtile de fruits. En bouche, l’alcool est assez marqué, soupçon de fruits et une pointe de bois. La finale est courte et sucrée. Manque de relief, balance un peu off… Bof.

Martin 84%
Nez: Notes en général timides, mais avec des arômes plutôt doux. Raisins dodus, bois de chêne, pâte de fruits, caramel, vanille, crème anglaise et chocolat blanc. Bouche: Salade de fruits rouges, raisins juteux, dattes, orange et cacao. Texture un peu trop aqueuse à mon goût, toutefois les saveurs sont au rendez-vous. Finale: Belles épices, un peu mentholée sur des pointes de bois frais et de vin. Équilibre: Un malt agréable, la finition est somme toute bien ficelée, mais on se tire souvent dans le pied quand on se limite à 40% d’alcool. The gentle dram en effet.

RV 88%
Contrairement à trop de cask finishes où l’ex-liquide s’oppose au nouvel envahisseur, Tomintoul a trouvé ici un très judicieux allié. Le “gentle dram” se dote ici d’une arrivée olfactive pas nécessairement gentille, pleine de fruits et de sherry surpuissant, mais dans une bon alliance. Le reste du whisky roule ensuite exactement dans la même suite, tout de bon gout, avec une charpente de malt bien visible, très équilibrée et peinturée par le sherry.

Tomintoul 15 ans with a Peaty Tang

40% alc./vol.
La distillerie est installée dans le Speyside, dans la région de Glenlivet, près de Tomintoul, qui est le plus haut village des Highlands. L’environnement naturel y est exceptionnel, niché entre les sources de Ballantruan, la rivière Avon et les monts Cromdale. L’eau y est d’une pureté rare, et c’est dans ce cadre idéal qu’est produit depuis 1964 le whisky Tomintoul, surnommé The Gentle Dram, propriété de la société Angus Dundee. Issu d’une longue lignée de maître-distillateurs, Robert Fleming dirige l’intégralité de la production de l’un des single malts les plus doux et équilibrés d’Ecosse. Deux fois par an, il supervise l’édition très personnelle de versions peated.

André 81%
Vole en dessous du radar de jour mais adepte du bondage les weekends. C’est l’impression que laisse ce whisky Gentle Dram version Veuve noire. Nez végétal et très vert, citronné aussi et bien sûr, fumé de tourbe herbacée. Herbe verte mouillée, chlorophyle, citron et pommes vertes, cocottes de pins. La bouche manque cruellement de texture (blame on the low abv), pastilles casse-grippe au menthol, herbe verte, pommes vertes, oranges et citron, vanille et poivre. Finale herbacée et verdâtre, camphrée mais très courte. Le même whisky unchillfiltered et boosté à 46% aurait été une toute autre bête.

Patrick 85%
Un très bon whisky, le genre de whisky tourbé parfait pour la semaine, ou pour en prendre un deuxième. Nez : Fumée de tourbe pure et appétissante, avec des touches discrètes de fruits tropicaux. Bouche : La fumée de tourbe est ici plus discrète, mais tout de même agréable, avec de l’herbe, des fruits tropicaux et une touche de chocolat blanc. Finale : Plutôt courte, plutôt herbacée.

Martin 87%
Nez: La tourbe ici est plus discrète que ce à quoi je m’attendais. Elle nous permet toutefois de découvrir de belles notes d’herbe verte, de vanille, de melon, de meringue et de douce fumée de tourbe qui revient gaiement au trot. Bouche: Malt mielleux et tourbe douce. Chocolat blanc et crème. Bois et fleurs. Finale: Pas trop acérée, belle longueur, les saveurs sont à la hauteur du reste de l’expérience. Équilibre: Le traitement tourbé par vieillissement en fût est on ne peut plus à la mode, quoique pas toujours réussi. Il me fait plaisir de vous confirmer que cette expression ne fait pas partie des échecs.